Y’en a marre des salaires des patrons du CAC 40

Posté par ippolito le 8 août 2012

Rémunérations: les 10 patrons français qui gagnent plus de 240 fois le Smic

Comme chaque année, Proxinvest et ECGS, deux sociétés de conseil aux investisseurs institutionnels spécialisées dans les assemblées générales, ont épluché les rapports annuels pour déterminer précisément la rémunération de nos grands patrons. Compte-tenu des délais de parution des résultats annuels, les chiffres qu’ils apportent sont donc décalés dans le temps: il s’agit des revenus 2010.

Les conclusions de Proxinvest ne laissent guère de place à l’interprétation: la rémunération totale des dirigeants a bondi. Concernant les sociétés du CAC40, la hausse moyenne s’établit à 34% pour un montant moyen de 4,11 millions d’euros. On se rapproche doucement mais sûrement du niveau record de 2006, à 5 millions d’euros.

 Mais la conjoncture n’était pas la même. Si l’on regarde un indice plus large, le SBF 120, correspondant aux 120 plus grosses entreprises de France, l’ordre de grandeur est le même: la rémunération totale moyenne atteint 2,08 millions d’euros, en augmentation de 31% entre 2009 et 2010. En revanche, la moyenne dans le SBF 250 est en baisse de 17%. Et encore, ces chiffres ne tiennent pas compte des retraites « chapeaux » (sur-complémentaires de retraite).

Chaque année, Proxinvest réalise un « test », regardant les patrons qui ont gagné plus de 240 fois le SMIC (soit 4,6 millions d’euros par an). Ils sont dix à être dans ce cas. Découvrez-les dans le diaporama ci-dessous.

Jean Paul Agon (l’oreal) 10,7 M €

Bernard Arnault (LVMH) 9,7 M €

Carlos Ghosn (Renault) 9,7 M €

Bernard Charles (Dassault Systèmes) 9,5 M €

Franck Riboud (Danone) 7,7 M €

Maurice Levy (Publicis) 6,2 M €

Christopher Viehbacher (Sanofi Aventis) 6,1 M €

Arnaud Lagardère (Lagardère SCA) 4,9 M €

Henry de Castries (AXA) 4,9 M €

Lars Olofsson (Carrefour) 4,8 M €

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Y’en a marre des prix des médicaments

Posté par ippolito le 8 août 2012

Le prix des médicaments payé par les ménages en hausse entre 2000 et 2010

Alors qu’entre 2000 et 2010, le prix « brut » des médicaments, c’est-à-dire leur prix de marché, a baissé, dans le même temps leur prix « net », acquitté par le consommateur après prise en charge de la Sécurité sociale, a augmenté, souligne une étude de l’Insee, mercredi 18 juillet.

Sur la période, les prix bruts des médicaments ont baissé en moyenne de 1,8 % par an, en raison essentiellement du développement des génériques, indique cette étude de l’Institut national de la statistique. Ces médicaments représentaient 15 % du montant des ventes réalisées en décembre 2010.

 Pour autant, entre 2000 et 2010, le prix « net » de l’ensemble des médicaments, qui correspond à la partie du prix acquittée par le consommateur après prise en charge de tout ou partie du coût par la Sécurité sociale (hors mutuelle) a, lui, augmenté de 0,6 % par an en moyenne.

« DÉREMBOURSEMENTS PARTIELS »

Cette hausse s’explique par de nombreuses mesures « intervenues dans le cadre d’une politique de maîtrise des dépenses de santé (instauration de franchises sur les boîtes de médicament, baisses de taux de remboursement, déremboursements…) », souligne l’Insee. 

L’Institut rappelle notamment l’ »importante vague de déremboursements partiels » et « la mise en place du tarif forfaitaire de responsabilité », destiné à promouvoir les médicaments génériques, intervenus en 2003. 

De même en 2008, la hausse du prix « net » des médicaments de 4,9 % s’explique par l’instauration d’une franchise médicale de 0,5 euro par boîte de médicament remboursable achetée, souligne l’Insee.

En 2010, les médicaments constituaient le principal poste de dépenses brutes de santé, note l’Institut. François Hollande a indiqué sa volonté de réduire les prix et les dépenses de médicaments pour endiguer le déficit de la Sécurité sociale.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/07/18/le-prix-des-medicaments-paye-par-les-menages-en-hausse-entre-2000-et-2010_1734997_3234.html

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Y’en a marre des dépassements d’ honoraires

Posté par ippolito le 7 août 2012

Médecins : vers la fin des honoraires abusifs

Le gouvernement a annoncé mercredi qu’il allait mettre un terme d’ici la fin de l’année aux dépassements d’honoraires abusifs de certains médecins et chirurgiens. Une pratique qui tendrait à se généraliser et mettrait en danger l’accès de tous aux soins.

Le gouvernement français veut mettre fin aux dépassements abusifs d’honoraires des professionnels de la santé d’ici la fin de l’année. L’annonce a été faite mercredi par la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, à l’issue du conseil des ministres.

 « Les dépassements d’honoraires, sujet absolument essentiel pour les Français, ont plus que doublé entre 1990 et 2010 », passant de « 900 millions à 2,5 milliards », a-t-elle indiqué, évoquant « de véritables entraves à l’accès aux soins ».

« Assurer l’accès aux soins »

« Le gouvernement, a-t-elle ajouté, poursuit deux objectifs: le premier est de mettre un terme d’ici la fin de l’année 2012 aux dépassements abusifs et de renforcer leur sanction. Le second est d’assurer l’accès aux soins en endiguant la progression des dépassements et en favorisant cet accès aux tarifs de la Sécurité sociale (…). 

Il va être demandé à l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (…) d’engager, avant la fin du mois de juillet, une négociation avec les représentants des médecins libéraux sur la base de ces objectifs, pour obtenir un engagement commun. Si la négociation n’aboutissait pas à des résultats significatifs d’ici l’automne, le gouvernement prendrait les mesures qui s’imposent ». 

Des études ont montré que la pratique consistant à demander des honoraires supérieurs aux bases de remboursement de l’assurance-maladie se généralisait en France, compromettant l’accès à la santé. L’ancien gouvernement de droite avait pris un décret en début d’année censé limiter cet usage. En 2010, les dépassements d’honoraires se sont élevés à 2,5 milliards d’euros selon les chiffres de l’Assurance maladie.

http://www.rmc.fr/editorial/276968/medecins-vers-la-fin-des-honoraires-abusifs/

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Y’en a marre des sous préfectures

Posté par ippolito le 7 août 2012

Sous-Préfectures : servent-elles encore à quelque chose ?
Alors les Socialistes au pouvoir vont-ils s’y mettre ????

Il y a déjà belle lurette, et ce avant les élections, que j’ai écrit ici ou ailleurs ( sous d’autres articles, d’autres bloc-notes) que je pense que l’État a un gisement très conséquent d’économies à réaliser à propos des sous-préfectures.

J’habite dans un département de 551 922 habitants et nous y disposons d’une préfecture et de deux sous-préfectures.

La première sous-préfecture est située à 23 kilomètres de la préfecture…. La seconde à 53 kilomètres…… Ces deux sous-préfectures sont elles mêmes distantes de 49 kilomètres….

Outre son Sous-Préfet, chaque sous-préfecture dispose d’un Secrétaire Général et d’un nombre variable de fonctionnaires.

Les Sous-Préfets sont pour la quasi totalité des Énarques. Réduire le nombre de Sous-Préfets permettrait aussi de réduire le nombre d’élèves à l’ENA.

Et ainsi de suite…..

Car en effet, les sous-préfecture, pour le commun des citoyens, ne sert plus à grand chose.

Outre des distances parfois ridicules entre elles, comme ci-dessus, ces citoyens sont le plus souvent invités à utiliser internet pour l’obtention des documents administratifs qu’ils sollicitent.

Il y a donc sûrement un nombre important de départements où l’on pourrait aisément se passer de ces sous-préfectures.

Autre élément non négligeable ( au contraire…) d’économies substancielles : les bâtiments.

En règle très générale, ces sous-préfectures ne sont pas installées dans des taudis……

La vente ou la location de telles bâtisses pourrait rapporter gros à notre « État en faillite ».

Alors les Socialistes au pouvoir vont-ils s’y mettre ????

Toujours est-il que Manuel VALLS, le Ministre de l’Intérieur a déjà par deux fois évoqué le sujet. Début juillet, il déclarait qu’il « redéfinirait les missions et l’organisation des sous-préfectures ».

Le 31 juillet, il a été encore plus précis : « Il n’y aura pas de statu quo concernant le nombre de sous-préfectures ».

Et ce 3 août, une autre haute autorité politique est revenue à la charge : le vice-président (PS) du Sénat et président du conseil général de la Drôme, Didier Guillaume, a estimé que des sous-préfectures devraient peut-être fermer.

Le chantier d’économies potentielles est important puisqu’au jour d’aujourd’hui, la France ne compte pas moins de 240 sous-préfectures….

 http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sous-prefectures-servent-elles-120823

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Y’en a marre de la hausse du SMIC

Posté par ippolito le 7 août 2012

Smic : coup de pouce et coup de bambou

 Sans effet significatif sur le pouvoir d’achat, la hausse du smic pèsera sur les marges des entreprises, déjà extrêmement basses, et sur l’emploi. 

Zéro pointé ! Plus encore que les 2 % de hausse, tel est le chiffre à retenir à propos de l’annonce de François Hollande concernant le smic. En effet, rarement une décision politique aura suscité autant de désapprobation de toutes parts. Salariés, employeurs, syndicats, organisations patronales… pas un protagoniste de ce mélodrame pour exprimer un semblant de satisfecit face à l’arbitrage rendu par la nouvelle majorité. 

Voilà pourquoi il convient de parler de triple faute de la part du président de la République : tandis que sa mesure n’aura aucune incidence réelle sur le pouvoir d’achat des couches populaires, elle risque de contribuer à l’asphyxie de PME déjà en grande difficulté tout en entraînant la destruction de plusieurs dizaines de milliers d’emplois.

En tête de la cohorte des déçus, nous trouvons donc les smicards eux-mêmes. Et il faut reconnaître qu’ils n’ont guère de quoi sabler le champagne… C’est là tout le paradoxe de l’une des premières décisions prises par le gouvernement socialiste censées incarner plus de justice sociale. Pour un salarié à plein-temps, ces 2 % d’augmentation équivalent à un gain net mensuel de 21,50 euros.

Reste que, en vertu de son indexation sur l’inflation, le smic s’apprêtait de toute façon à être relevé de 1,4 % le 1er janvier 2013. Ce qui fait dire à certains que le gouvernement accorde en fait un “coup de pouce” réel de 0,6 % et non pas de 2 % – soit 6,45 euros mensuels.

Du côté de la gauche radicale et des centrales, on ironise à tout-va, bien sûr… « Chaque mois, les smicards pourront ainsi s’offrir une place de cinéma à tarif réduit pour rêver à une autre vie », tempête le porte-parole du PCF, Olivier Dartigolles. « Cela représente une baguette de pain par semaine », calcule de son côté la CGT. 

Quant à la représentante de Force ouvrière, Marie-Alice Medeuf-Andrieu, elle fustige cette « revalorisation peanuts ». Si la nouvelle majorité espérait ainsi s’attirer les bonnes grâces de ses alliés traditionnels, elle en est pour ses frais.

Puisque la somme atterrissant dans la poche des employés s’avère si minime, il paraît logique de conclure que celle qui s’apprête à quitter le portefeuille des employeurs ne risque pas de les mettre sur la paille. D’un strict point de vue mathématique, c’est sans doute exact. Gare à ce genre de raccourcis, toutefois. Dans certaines entreprises, la situation économique reste si précaire que le moindre enchérissement du coût du travail peut avoir des conséquences dramatiques (lire le témoignage de quatre dirigeants page 46).

Cotisations patronales comprises, cette augmentation de 2 % représente un surcoût global horaire de 0,21 euro. Soit tout de même la bagatelle de 31,50 euros par mois et par salarié, que des secteurs aux marges déjà microscopiques vont devoir appliquer à plus du tiers de leurs effectifs. « C’est le cas notamment des PME de l’agriculture, du gardiennage et de la propreté industrielle, note Thierry Bellot, commissaire aux comptes et président du Centre d’information sur la prévention des difficultés des entreprises. 

Si cette hausse très modérée ne suffira pas à engendrer à elle seule des faillites, elle risque parfois d’incarner la goutte d’eau susceptible de faire déborder le vase. Ce d’autant plus que les smicards ne sont pas les seuls concernés. Afin de ne pas modifier l’échelle des bas salaires, les employeurs vont également faire un geste envers les salariés du niveau juste au-dessus. 

Et n’oublions pas les charges patronales, appelées à progresser mécaniquement en même temps que les rémunérations nettes perçues. Enfin, ne serait-ce que d’un point de vue psychologique, le symbole tombe au plus mauvais moment pour certains patrons, qui se sentent déjà étranglés par des coûts en constante augmentation… »

Le risque de voir 50 000 emplois supprimés

Toujours ce même sentiment, chez nombre d’entrepreneurs, d’être pris pour des vaches à lait. Après avoir découvert il y a quelques semaines le relèvement imminent des cotisations patronales afin de financer le retour de la retraite à 60 ans, les voilà une fois de plus ponctionnés. À qui le tour la prochaine fois ? Une hausse des cotisations Urssaf ? De nouveaux impôts locaux ? La CGPME (Confédération générale des petites et moyennes entreprises) alerte les pouvoirs publics sur le fait qu’« à ce stade, tout prélèvement supplémentaire contraindrait les entreprises à des arbitrages douloureux au détriment de l’emploi et de l’investissement ». Voilà qui nous amène à la troisième faute de François Hollande.

Alors que le chômage poursuit une irrésistible ascension depuis de nom breux mois, le chef de l’État sort de sa poche une mesure débouchant sur son aggravation chaque fois qu’elle a été tentée. C’est en tout cas l’implacable constat du Groupe d’experts sur le smic. Selon ce collectif d’économistes indépendants (consulté obligatoirement avant chaque hausse légale annuelle), le coup de pouce présidentiel risque d’aboutir à environ 50 000 destructions d’emplois. « N’en déplaise à certains médias davantage préoccupés par l’idéologie que par l’information, notre calcul n’a rien d’ésotérique, précise Francis Kramarz, directeur du Crest (Centre de recherche en économie et statistique) et membre du groupe d’experts. Il est notamment basé sur les comparaisons de mesures entre les années de hausse du coût minimum du travail, telles que 1993 et celles de baisse, telles que 1996. 

Et pour affiner la fiabilité de nos conclusions, nous ne nous sommes pas contentés d’étudier le phénomène pour les seuls smicards. Les salariés non affectés par cette hausse entrent eux aussi dans le champ d’analyse. Il ne s’agit certes que d’une prédiction liée à des observations passées, mais la probabilité qu’elle se réalise n’en est pas moins élevée. »

Quelques chercheurs proches de l’extrême gauche, tel Denis Clerc (auteur de la France des travailleurs pauvres), réfutent les travaux de Francis Kramarz et de ses collègues. Laissons ces économistes s’étriper pour nous intéresser à des observations plus empiriques. 

Comment réagissent les PME en situation de grande précarité lorsqu’elles doivent faire face à un relèvement du coût du travail ? Sans aller jusqu’à licencier dans la minute même où le smic augmente, certaines suppriment les heures supplémentaires et le recours à l’intérim. D’autres renoncent à titulariser les CDD ou à embaucher leurs stagiaires. C’est le plus souvent ainsi qu’un geste symbolique sur le salaire minimum conduit très vite à pénaliser l’emploi. « Ce qui a d’ailleurs des conséquences funestes pour les moins qualifiés et les moins expérimentés, relève Francis Kramarz. 

Car les employeurs sont bien obligés de compenser de telles économies en demandant à ceux qui restent d’améliorer leur productivité, de donner un coup de collier supplémentaire. » Une réaction logique, mais qui joue toujours en défaveur des jeunes et des tra vailleurs sans formation.

Et si le temps était venu de tenter autre chose que cette revalorisation artificielle car déconnectée de la croissance ? Et si le pouvoir en place – quel qu’il soit – se décidait à rester sourd aux revendications annuelles des syndicats qui feignent d’ignorer que le salaire minimal brut français figure parmi les plus élevés de l’OCDE ? 

« Des pistes existent et elles méritent au moins qu’on y réfléchisse, estime le commissaire aux comptes Thierry Bellot. Dans la mesure où c’est bien plus le coût total du smic que la rémunération réellement perçue par le smicard qui pénalise l’employeur, il serait par exemple possible de ne plus faire porter la totalité des cotisations sociales par les entreprises. » Une idée fort intéressante, en effet. Sauf qu’en termes politiques, elle porte le nom de… TVA sociale. Autant dire que l’Hexagone devra encore patienter quelques années avant de la tester.

Frédéric Georges-Tudo

http://www.valeursactuelles.com/actualités/économie/smic-coup-de-pouce-et-coup-de-bambou20120705.html

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Y’en a marre de nos élus

Posté par ippolito le 7 août 2012

La hausse de salaire d’une maire UMP fait polémique

L’opposition de gauche à la maire UMP de Montauban et ancienne députée Brigitte Barèges, crie au scandale depuis jeudi soir. Cette ancienne figure de la droite populaire à l’Assemblée nationale, battue aux dernières législatives, a quasiment triplé ses indemnités municipales.

De 1.400 à environ 3.700 euros net. C’est l’augmentation votée par le conseil municipal de Montauban jeudi soir du salaire de la maire UMP Brigitte Barèges. Une hausse qui suscite la colère de l’opposition.  

Du côté de Brigitte Barèges, on justifie cette délibération comme une juste compensation de la perte par cette dernière de ses indemnités parlementaires après sa défaite aux législatives du 17 juin. Il s’agissait, pour son entourage, de rétablir les indemnités municipales de Brigitte Barèges décrétées jusqu’alors par la loi plafonnant les indemnités en cas de cumul des mandats, à un niveau conforme à celui d’une ville de près de 60.000 habitants.

« Indécent » pour le chef de l’opposition

Selon ses adversaires, Brigitte Barèges a procédé de même quelques jours auparavant pour porter ses indemnités de présidente de la communauté d’agglomération à 3.000 euros. Au total, elle conserverait ainsi à peu près les mêmes revenus de ses mandats qu’avant la perte de son siège de députée. « Je trouve très indécent que Mme Barèges se multiplie (…) ses indemnités de maire alors que les gens sont en situation de souffrance », a déclaré le chef de file socialiste au conseil municipal, Claude Mouchard.

Dominique Salomon, conseillère municipale PRG, ne trouve pas « anormal » une augmentation, mais « dans des proportions raisonnables. De là à revenir au niveau de ses indemnités de députée, je trouve ça vraiment indécent ». Tous deux s’émeuvent du moment choisi par Mme Barèges, « au creux de l’été » selon les mots de Dominique Salomon.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Le-hausse-de-salaire-d-une-maire-UMP-fait-polemique-538804

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