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Y’en a marre de la hausse des loyers

Posté par ippolito le 1 novembre 2012

Les loyers augmentent toujours plus vite que l’inflation

L’indice de référence des loyers, utilisé pour la révision des loyers d’habitation, a progressé de 2,15% sur un an, contre 2,20% au 2e trimestre, selon l’Insee.

Au premier trimestre 2012 la progression de l’IRL avait été de 2,24%, soit la plus forte hausse depuis le premier trimestre de 2009. (AFP)

L’indice de référence des loyers (IRL), utilisé pour la révision des loyers d’habitation, a progressé de 2,15% sur un an au troisième trimestre, marquant un léger ralentissement par rapport à la hausse du deuxième trimestre (+2,20%), a annoncé vendredi 12 octobre l’Insee.

« Au troisième trimestre 2012, l’indice de référence des loyers atteint 123,55. Sur un an, il augmente de 2,15% », relève l’Institut de la statistique et des études économiques dans un communiqué.

Cet indice, calculé sur la base de l’indice des prix à la consommation hors tabac et loyers, sert de référence pour la révision des loyers d’habitation par les propriétaires privés.

Indexé à l’inflation

Après avoir enregistré sa plus forte hausse au troisième trimestre 2008 (+2,95%), l’indice des loyers avait vu sa progression ralentir, jusqu’à reculer au dernier trimestre de l’année 2009 (-0,06%).

Au premier trimestre 2012 la progression de l’IRL avait été de 2,24%, soit la plus forte hausse depuis le premier trimestre de 2009, puis avait déjà légèrement ralenti au deuxième trimestre (2,20%).

Cette poussée de l’indice des loyers est logique au regard de son indexation sur l’inflation, qui atteignait 1,9% sur un an en octobre.

Lorsque le contrat de location prévoit la révision du loyer, celle-ci intervient chaque année à la date convenue entre les parties ou, à défaut, au terme de chaque année du contrat. L’augmentation du loyer qui en résulte ne peut excéder la variation de l’IRL publiée par l’Insee.

http://www.challenges.fr/economie/20121012.CHA1931/les-loyers-augmentent-toujours-plus-vite-que-l-inflation-au-3e-trimetstre.html

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Y’en a marre de l’endettement de nos villes (suite 2/4)

Posté par ippolito le 1 novembre 2012

Les villes les plus endettées de France
 
Entre 2000 et 2011, l’encours de la dette des villes françaises a grimpé de 15%.

Les villes françaises continuent de s’endetter… mais de moins en moins vite. Entre 2010 et 2011, la dette cumulée des 36 682 communes françaises a ainsi progressé de 1%. Une goutte d’eau dans l’envolée de 15% constatée depuis 2000. Reste que l’endettement total atteint désormais 57,5 milliards d’euros, soit 880 euros par habitant.

Quelles sont les municipalités les plus endettées ? Le JDN a établi un classement sur la base de l’encours de la dette, ramené au nombre d’habitants. Pour éviter que les communes touristiques de montagne ou du littoral, à la faible population administrative, ne biaisent ce classement, seules les villes de plus de 20 000 habitants ont été prises en compte. Découvrez les 20 villes les plus endettées de France en 2011.

11e : Saint-Maur-des-Fossés, 2 591 € de dette par habitant
 
Entre 2000 et 2011, l’encours de la dette de Saint-Maur-des-Fossés a augmenté de 126%.

199 millions d’euros. C’est le montant total que doit la ville de Saint-Maur-des-Fossés fin 2011. Si ce chiffre baisse de 0,4% sur un an, il augmente de 126% depuis 2000. Par habitant, l’encours de la dette s’élève à 2 591 euros pour cette municipalité, dirigée par l’ex secrétaire d’Etat Henri Plagnol (UDI). Un chiffre, là encore, en nette progression depuis 2000, puisque la hausse est de 116,5%.

Dette totale 2011 : 198,8 millions €
Population : 76 716 habitants
Département : Val-de-Marne
 
12e : La Seyne-sur-Mer, 2 469 € de dette par habitant
 
Entre 2000 et 2011, l’encours de la dette de La Seyne-sur-Mer a augmenté de 80%.

Pour La Seyne-sur-Mer, une ville administrée par le socialiste Marc Vuillemot depuis 2008, l’encours de la dette s’élève à plus de 150 millions d’euros en 2011, ce qui représente 2 469 euros par habitant. Un chiffre en progression de 80,7% depuis 2000.

 L’annuité de la dette enregistre quant à elle un recul de 21,4% sur cette période, atteignant 14 millions d’euros en 2011. En baisse de 21,1% depuis 2000, l’annuité de la dette par habitant suit la même évolution.

Dette totale 2011 : 150,1 millions €
Population : 60 806 habitants
Département : Var

13e : Etampes, 2 426 € de dette par habitant
 
Entre 2000 et 2011, l’encours de la dette d’Etampes a augmenté de 133%.

En 2011, la dette d’Etampes, dirigée par Franck Marlin (UMP), atteint 55 millions d’euros. Ce chiffre est en hausse de 15,1% sur un an et de 132,9% depuis 2000. Pour chacun des 22 559 habitants de cette ville de l’Essonne, ce montant représente 2 426 euros. En 2011, l’annuité de la dette s’élève à 4,15 millions d’euros. Un chiffre qui enregistre, lui aussi, une progression. Sur un an, l’augmentation est de 11,3% contre 7,4% depuis 2000.

Dette totale 2011 : 54,7 millions €
Population : 22 559 habitants
Département : Essonne

14e : Châtenay-Malabry, 2 300 € de dette par habitant
 
Entre 2000 et 2011, l’encours de la dette de Châtenay-Malabry a augmenté de 44%.

Châtenay-Malabry est la troisième ville la plus endettée des Hauts-de-Seine et la 14e la plus endettée de France si l’on rapporte l’endettement total au nombre d’habitants. Cette municipalité gérée par l’UMP Georges Siffredi présente une dette de 74 millions d’euros en 2011.

Un montant en hausse de 43,6% par rapport à 2000. Par ailleurs, cela représente 2 300 euros par habitant. Un chiffre en hausse de 9,2% sur un an et de 37,6% depuis 2000. En revanche, depuis 11 ans, l’annuité de la dette par habitant enregistre un léger recul de 3,8%, passant à 178 euros.

Dette totale 2011 : 74,3 millions €
Population : 32 298 habitants
Département : Hauts-de-Seine

15e : Saint-Etienne, 2 264 € de dette par habitant
 
Entre 2000 et 2011, l’encours de la dette de Saint-Étienne a diminué de 1%.

Saint-Etienne n’est pas que le chef-lieu de la Loire. Administrée par le socialiste Maurice Vincent, cette municipalité de près de 176 000 habitants s’impose également comme la 15e ville la plus endettée par habitant de France. 

L’encours de sa dette, qui atteint 398 millions d’euros en 2011, représente en effet 2 264 euros par habitant. Un chiffre en hausse de 4,9% sur un an et de 2,9% par rapport à 2000. En revanche, l’annuité de la dette enregistre un recul. En 2011, elle atteint presque 37 millions d’euros. C’est 55% de moins qu’en 2000.

Dette totale 2011 : 398,4 millions €
Population : 175 940 habitants
Département : Loire

http://www.journaldunet.com/economie/magazine/dettes-des-villes-2011/

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Y’en a marre des gaspillages du ministère de la culture

Posté par ippolito le 1 novembre 2012

Le ministère de la Culture épinglé pour ses gaspillages

La Cour des comptes pointe du doigt la mauvaise gestion du budget du ministère de la Culture.

Difficile de ramener les 11 000 fonctionnaires du ministère de la Culture et les 15 000 agents des établissements publics ( BnF, écoles des Beaux-Arts, musées, etc.) à la raison : dans son dernier rapport annuel relatif à la gestion budgétaire de l’État, la Cour des comptes sermonne la rue de Valois sur l’exécution du budget 2011.

La Cour des comptes reproche notamment au ministère de Culture une forte augmentation des dotations qui n’a pas permis de rester en ligne avec la programmation triennale 2011-2013.

La Cour des comptes épingle aussi le ministère de la Culture pour la relance de programmes dispendieux comme le projet  “Philharmonie de Paris” ( voir Combien va coûter la Philharmonie de Paris ?). La Cour des comptes estime également que le ministère n’est pas parvenu, comme programmé, à réduire les dépenses de 5 %. A ceci, on pourrait ajouter l’opacité légendaire du ministère de la Culture dans la gestion de “son” patrimoine immobilier, sa difficulté à rogner sur ses effectifs, etc.

Depuis, 2010, le ministère de la Culture est organisé autour de 5 entités : le secrétariat général et 4 directions, les patrimoines, la création artistique, les médias et industries culturelles et les langues de France. Sur ce squelette administratif, se greffent des “missions” allant de la culture (patrimoine, création des savoirs…) aux spectacles. En province, le ministère est ramifié avec les DRAC. Leur objectif : mettre en œuvre, la politique culturelle définie par le gouvernement.

Pour faire tourner sa mécanique, le ministère dispose d’une cagnotte annuelle. Le budget officiel du ministère se montait à 7,4 milliards d’euros en 2012 ( voir Le budget de la Culture en augmentation). Mais on estime à près de 15 milliards d’euros le véritable montant du financement budgétaire de la culture en France, en prenant en compte les dotations des collectivités ( voir Coût de la culture pour les collectivités).

source: Dossiers du Contribuable n°8 « Les folies de la culture bobo », 

http://www.observatoiredessubventions.com/2012/le-ministere-de-la-culture-epingle-pour-ses-gaspillages/

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Y’en a marre des magouilles des politiques

Posté par ippolito le 1 novembre 2012

Affaire Karachi : Nicolas Bazire mis en examen pour recel d’abus de biens sociaux

L’ex-directeur de cabinet d’Edouard Balladur est soupçonné d’avoir profité de rétrocommissions en marge de contrats d’armement pour financer la campagne d’Edouard Balladur en 1995.

Nicolas Bazire, ancien directeur de la campagne d’Edouard Balladur en 1995, a été mis en examen lundi pour recel d’abus de biens sociaux dans l’enquête sur le volet financier de l’affaire Karachi, selon l’AFP. 

Le numéro 2 de LVMH, un proche de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, était déjà poursuivi depuis septembre 2011 pour complicité d’abus de biens sociaux. Il a été entendu pendant plus de quatre heures par les juges, a constaté un journaliste de l’AFP.

Chargés du volet financier de l’enquête sur l’attentat de Karachi (15 morts dont onze salariés de la Direction des Constructions Navales, le 8 mai 2002 au Pakistan), les juges Renaud van Ruymbeke et Roger Le Loire travaillent sur l’hypothèse de commissions versées en marge de contrats d’armement avec l’Arabie Saoudite (Sawari II) et le Pakistan (Agosta), qui auraient donné lieu à des rétrocommissions pour financer la campagne d’Edouard Balladur en 1995.

Ils recherchent notamment l’origine des 10,2 millions de francs déposés le 26 avril à la banque, trois jours après la défaite du candidat. Le même mois, des retraits de 12 millions de francs avaient été effectués en 24 heures sur le compte d’Abdul Rahman El Assir, intermédiaire avec Ziad Takieddine dans les contrats d’armements. Ces deux hommes sont également mis en examen dans ce dossier.

M. Bazire a notamment été mis en cause par Hélène de Yougoslavie, épouse de Thierry Gaubert, un autre proche de Nicolas Sarkozy. Celle-ci a affirmé aux juges que son époux, dont elle vit séparée, allait chercher de l’argent placé sur un compte en Suisse pour le remettre à M. Bazire. L’avocat de M. Bazire, Me Jean-Yves Liénard, avait jugé ces allégations « fantaisistes ».

Quant au dépôt du 26 avril 1995, l’ex-trésorier de la campagne de M. Balladur, René Galy-Dejean, ancien député-maire UMP du XVe arrondissement de Paris, a indiqué aux juges avoir déposé environ 3 millions de francs sur le compte de campagne.

Lors d’une confrontation avec M. Galy-Dejean dans le bureau des juges en janvier 2012, M. Bazire a de son côté « catégoriquement » démenti avoir déposé ou fait déposer les 7 millions de francs dont l’ex-trésorier affirme qu’ils ont été portés à la banque à son « insu ».

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202355509482-affaire-karachi-nicolas-bazire-mis-en-examen-pour-recel-d-abus-de-biens-sociaux-505311.php

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