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Y’en a marre du sourcoût de 10 milliards pour le Grand Paris Express

Posté par ippolito le 7 décembre 2012

Grand Paris Express : Huchon parle d’un surcoût de 10 milliards

Le projet de supermétro en banlieue parisienne était estimé à 20 milliards d’euros, mais la facture pourrait s’annoncer plus salée que prévu.

Le président PS de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, a évoqué un surcoût de 10 milliards d’euros pour le projet de supermétro automatique Grand Paris Express, lors de son audition mardi devant la commission du Développement durable de l’Assemblée nationale.

«Bien sûr qu’on sait que cette opération sera fatalement plus coûteuse, on le sait depuis le début», a déclaré M. Huchon, parlant d’un chiffre «qui risque d’être de l’ordre de 30 milliards au lieu de 20 milliards».

La ministre de l’Egalité des territoires en charge du Grand Paris, Cécile Duflot, a mandaté Pascal Auzannet, ancien de la RATP, pour rédiger un rapport qui doit faire le point sur le coût estimé de ce projet majeur d’infrastructures de transports. Ce rapport, qui doit être remis de manière imminente, doit permettre au gouvernement de décider de l’étalement des travaux.

«Une grande partie des choses que M. Auzannet va rajouter pour arriver à ces 30 milliards, ce sont les interconnexions, les nouvelles gares», a ajouté M. Huchon devant les députés.

Egalement président du Stif, l’autorité organisatrice de transports en Ile-de-France qui a en charge la maîtrise d’ouvrage d’une partie du projet, Jean-Paul Huchon a mis en cause la Société du Grand Paris (SGP), la structure ad hoc créée par le gouvernement Fillon.

«Il semble qu’il y ait eu une erreur dans les calculs de la SGP, c’est qu’ils n’ont compté que leur participation et pas le montant total des travaux», a déclaré M. Huchon.

«C’est sûr que sur la ligne orange (celle que doit faire le Stif, ndlr) il y a 2 milliards qui sont avancés par la SGP mais le coût de l’opération est plus près de 5 mds que de 2. Donc si on ne compte que les participations et pas le coût réel, on risque d’oublier quelque chose», a-t-il expliqué.

Le Grand Paris Express, ce sont près de 200 km de nouvelles lignes de métro et 72 gares à l’horizon 2025, essentiellement en rocade autour de Paris, destiné à désengorger un réseau vieillissant, saturé et passant systématiquement par le centre de la capitale.

http://www.liberation.fr/societe/2012/12/04/grand-paris-express-huchon-parle-d-un-surcout-de-10-milliards_865124

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Y’en a marre des accords nationaux pour lutter contre le chômage

Posté par ippolito le 7 décembre 2012

Les grands accords nationaux signés depuis vingt ans face au chômage

Intérim, formation, rupture à l’amiable : certains accords interprofessionnels ont permis de modifier amplement les contours du contrat de travail.

Alors que les partenaires sociaux ouvrent aujourd’hui leur sixième séance de négociation sur la sécurisation de l’emploi, les quinze dernières années ont été jalonnées de plusieurs accords qui ont transformé le fonctionnement du marché du travail et de l’emploi.

 le recours aux contrats courts encadré

1 L’accord du 24 mars 1990 fixe les conditions dans lesquelles l’entreprise peut avoir recours à l’intérim (remplacement d’un salarié absent, emploi saisonnier, accroissement temporaire d’activité). Et sa limitation dans la durée (en surcroît d’activité, le contrat ne peut être renouvelé qu’une fois sur une durée totale de dix-huit mois). 

Le texte stipule par ailleurs les cas d’interdiction de recours à l’intérim, notamment pour la réalisation de travaux dangereux, le remplacement de salariés grévistes, ou encore la tenue d’un poste ayant fait l’objet d’un licenciement économique.

Cet accord fixe enfin le taux de l’indemnité de précarité des contrats à durée déterminée (à défaut de convention ou d’accord collectif) à 6 % de la rémunération totale brute due au salarié pour la durée du contrat.

la fin du monopole syndical de négociation

2 Pour étendre le champ de la négociation sociale aux petites et moyennes entreprises n’ayant pas de présence syndicale, le texte autorise les employeurs à conclure des accords avec les élus du personnel. Sous réserve de faire valider ces accords par une commission paritaire de branche.

un nouveau droit individuel à la formation

3 Le DIF (droit individuel à la formation) permet aux salariés de bénéficier de 20 heures de formation par an, cumulables pendant six ans maximum. Le DIF s’enclenche à la demande du salarié, avec l’accord de l’employeur, qui ne peut imposer une formation particulière. Les droits acquis sont conservés, même en cas de licenciement.

la rupture du contrat de travail assouplie

4 La rupture conventionnelle du contrat de travail, autrement appelée « rupture à l’amiable », permet au salarié et à son employeur de mettre fin au contrat de travail d’un commun accord, sans invoquer de motif particulier, et en gardant le bénéfice de l’assurance-chômage pour le salarié licencié. 

Elle est réservée aux salariés en CDI mais peut intervenir alors même que l’entreprise rencontre des difficultés économiques qui l’amènent à se séparer de certains de ses salariés. Pour autant, la rupture conventionnelle ne peut être utilisée comme un moyen de contourner les règles du licenciement économique collectif.

le chômage partiel élargi

5 L’accord sur la gestion sociale des conséquences de la crise a permis d’élargir et de simplifier l’accès au chômage partiel pour rapprocher le système français du dispositif allemand. En parallèle, le texte a ouvert la possibilité de faire du prêt de main-d’oeuvre à but non lucratif entre entreprises. 

Ce dispositif, qui permet d’éviter le chômage partiel ou des licenciements économiques, était au départ temporaire. ll a été pérennisé par la loi Warsmann de simplification du droit.

Marie Bellan, Les Echos

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202419361316-les-grands-accords-nationaux-signes-depuis-vingt-ans-face-au-chomage-515881.php

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Y’en a marre des redevables à l’ ISF qui quittent la France

Posté par ippolito le 7 décembre 2012

Les redevables à l’ ISF quittent la France

717 redevables à l’ ISF ont quitté la France en 2010.

Le nombre de redevables à l’ ISF quittant la France s’était stabilisé avec la mise en place du bouclier fiscal de Nicolas Sarkozy. Le nombre d’exilés fiscaux est resté stable en 2010, avec 717 redevables à l’ ISF ayant quitté la France cette année là. En 2009,  ce sont 809 redevables à l’ ISF qui avaient quitté la France.

Au début des années 2000, 350 à 400 redevables à l’ISF avaient quitté la France. Le nombre d’ exilés fiscaux a ensuite augmenté de 2004 à 2006. Le bouclier fiscal de Nicolas Sarkozy avait permis de mettre un frein à ces exils fiscaux, qui se sont alors limités à 700 ou 800 par an.

Mais selon le syndicat Solidaires Finances publiques, le nombre de départs des redevables à l’ ISF est resté stable, principalement à cause de la forte hausse du nombre de redevables à l’ISF ( de 281 000 foyers en 2002 à 594 000 foyers en 2010).

Les destinations privilégiées des exilés fiscaux sont la Suisse, la Belgique, et le Royaume-Uni.

Mais les nouvelles mesures fiscales de Hollande ( suppression du bouclier fiscal, taxe à 75% et hausse de l’ISF) risquent d’avoir de lourdes conséquences et de nombreux redevables à l’ ISF devraient à nouveau quitter la France.

source: le Figaro

http://www.observatoiredessubventions.com/2012/les-redevables-a-l-isf-quittent-la-france/

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Y’en a marre des prix de l’immobilier parisien

Posté par ippolito le 7 décembre 2012

Immobilier parisien : nouveau record, mais les prix vont se stabiliser

Les prix des logements anciens à Paris ont atteint 8 440 euros par mètre carré en moyenne entre juin et août 2012.

Les prix des logements anciens à Paris ont battu un nouveau record à 8 440 euros par mètre carré en moyenne pour la période comprise entre juin et août 2012, mais ils vont se stabiliser au cours des prochains mois, a annoncé mardi la Chambre des notaires Paris-Ile-de-France.

Le précédent record, à 8 410 euros/m2, datait de la période comprise entre mai et juillet 2011. Les prix des appartements anciens à Paris devraient se stabiliser, sans baisser, « pendant les derniers mois de l’année 2012 autour de 8 500 euros le mètre carré », indiquent les notaires dans un communiqué.

« Il va y avoir un nouveau record à Paris », avait prévenu Thierry Delesalle, notaire à Paris, lors d’une conférence de presse le 13 septembre, indiquant que les indicateurs avancés pointaient une hausse des prix pour les prochains mois.

Chute des transactions

Mais ce nouveau record s’accompagne d’une chute des transactions. Entre juin et août 2012, seulement 6 800 logements anciens, essentiellement des appartements, ont été vendus dans la capitale, soit une chute de 19 % par rapport à la même période de l’an dernier.

Le plongeon est encore plus brutal pour l’ensemble de l’Ile-de-France avec une baisse de 19 %, avec un total de 35 000, pour le nombre d’appartements et de maisons vendues par rapport à la même période de l’an dernier et de 26 % par rapport à la période de forte activité entre 1999 et 2007.

http://www.lepoint.fr/immobilier/immobilier-parisien-encore-un-record-mais-les-prix-vont-se-stabiliser-30-10-2012-1522875_31.php

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Y’en a marre de la hausse du coût du bouclier fiscal

Posté par ippolito le 7 décembre 2012

Cout du bouclier fiscal en hausse
 
Le bouclier fiscal coûtera 300 millions d’euros supplémentaires en 2012.

Selon la commission des finances, le coût du bouclier fiscal de Nicolas Sarkozy sera de 450 millions d’euros en 2012. Un coût largement sous estimé par le gouvernement Fillon qui avait prévu un budget de 162 millions d’euros pour financer le bouclier fiscal en 2012. Au total, le bouclier fiscal coûtera donc 3 fois plus cher que prévu en 2012.

De plus, les recettes fiscales de l’Etat pour 2012 seront inférieures de 2,4 milliards d’euros aux prévisions de la dernière loi de finances rectificative, notamment à cause de la baisse des recettes de la TIPCE ( taxe intérieure de consommation sur les produits énergétique). Les recettes fiscales de l’ Etat devraient s’élever à 270,1 milliards d’euros en 2012.

Selon le rapporteur général de la commission des finances Christian Eckert « La révision du coût du bouclier fiscal semble prouver que le précédent gouvernement a délibérément faussé la prévision initiale de cette dépense [...]

la réforme de l’imposition du patrimoine adoptée [en 2011] a été partiellement financée par l’endettement alors que le précédent gouvernement affirmait qu’elle était entièrement gagée».

Le bouclier fiscal a été supprimé par le gouvernement Ayrault et ne sera donc pas reconduit en 2013. Le coût du bouclier fiscal sera supérieur de 300 millions d’euros aux prévisions.

source: le Figaro

http://www.impots-economie.com/cout-du-bouclier-fiscal-en-hausse/

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