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Y’en a marre de la fin du monde et rendez vous demain sur y’en a marre

Posté par ippolito le 20 décembre 2012

Fin du monde le 21/12/2012 : que faites-vous pour cette (dernière ?) journée ?

LA QUESTION DU JOUR. 

Et s’il ne nous restait que 24 heures avant la fin du monde ? On se donne rendez-vous sur la colline ? Question cruciale : qu’emportez-vous dans votre valise ? On fait le tour de la question.
 
FIN DU MONDE LE 21/12/2012. 

La fin du monde, c’est vendredi ! Oui, demain. Et ne sortez pas l’excuse du « je peux pas, j’ai piscine », c’est comme ça, on peut pas décaler. Enfin, si les Mayas, Nostradamus et autres prophètes de l’apocalypse ne se sont pas trop foutus de nous. 
 
Dans le doute, c’est l’occasion de profiter de ces prochaines 24 heures pour faire tout ce qu’on aime (peut-être pour la dernière fois) ou oser une expérience inédite. 
 
Que faire ? Qu’emmener avec soi sur la montagne ? J’y ai pensé ce matin, voici mes pistes
 
Ma shortlist : les 10 choses que je fais avant la fin du monde
 
• Le dernier repas. Je choisirais une bonne saucisse aligot. Un bon foie gras, aussi. Maison. Une omelette de frites de ma mère. Un pouligny. Une tarte au citron meringuée. Pour la fin du monde, le cholestérol, on s’en fout. 
 
• Le dernier verre. Un Saint-Julien. Peut-être un Château Gruaud-Larose.
 
• Le dernier disque. Je sais, un best of, ça craint. Mais « Best of Bowie 1981″ est mon album préféré. (Penser à prendre un tourne-disque). 
 
• Le dernier film. Quitte à trimballer un tourne disque, on peut ajouter un lecteur DVD. Là, je suis embêté. S’il n’en faut retenir qu’un seul, j’hésite entre « Certains l’aiment chaud » et « Papy fait de la résistance ». D’autres suggestions pour passer l’apocalypse par ici ! 
 
• Le dernier livre. Ce vieux roman policier d’Harlan Coben, que j’ai commencé il y a des mois, pour enfin connaître le dénouement avant la fin du monde. Bibli Obs a aussi fait son feuilleton, à découvrir ici. 
 
• La dernière appli iPhone. Le jeu Angry Birds. 
 
• Le dernier jeu. Un « Dixit », un jeu qui fait appel à votre imaginaire et peut se jouer avec les plus jeunes comme les plus vieux. Avec des copains et aussi des inconnus.
 
• Le dernier réflexe. Je ne sais pas s’il existe un paradis mais, comme disais Jean Yanne, dans le doute, porter des sous-vêtements propres. 
 
• Le truc de ouf. Je dirais tomber amoureux. 
 
En même temps, les Mayas ont aussi fait des calendriers jusqu’en l’an 4000 et puis la fin du monde, Paco Rabanne nous l’avait déjà promise pour le 11août 1999, donc, si ça se trouve, nous sommes déjà tous morts. 
 
À vous de juger ! 
 
- Et vous, s’il restait un jour à vivre, que feriez-vous ?

Par Mathieu Sicard
Médiateur du Plus
 

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/742491-fin-du-monde-le-21-12-2012-que-faites-vous-pour-cette-derniere-journee.html

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Et surtout a demain pour un nouvel article sur y’en a marre …

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Y’en a marre des incertitudes sur la reforme des retraite et des promesses non tenues

Posté par ippolito le 20 décembre 2012

Retraites : d’amples efforts seront encore nécessaires

Pour ramener à l’équilibre les comptes des régimes d’ici huit ans, le Conseil d’orientation des retraites présente trois scénarios : hausse des cotisations, baisse des pensions ou nouveau report de 9 mois l’âge de départ moyen à la retraite.

Comme attendu, le Conseil d’orientation des retraites (COR) a rendu publiques mercredi ses perspectives financières pour les régimes de retraite. 

Et comme attendu, elles sont mauvaises, très mauvaises même. Et ce, sur la base d’hypothèses pourtant relativement optimistes, comme un taux de croissance du PIB de 2% par an à partir de 2014 et une décrue du chômage. 

Selon ses calculs, le besoin de financement des 33 régimes de retraite de l’Hexagone (général, fonctionnaires, non-salariés et spéciaux) devrait se creuser sous l’effet de la crise, passant de 14 milliards en 2011 à 21,3 milliards en 2017.

Ensuite, tout dépendra de la baisse du nombre de demandeurs d’emplois. Dans le cas où le taux de chômage retomberait à 7,3%, le trou reculerait en 2020 jusqu’à 20,8 milliards «grâce au dynamisme accru des ressources lié à la diminution du chômage et à l’amélioration des salaires».

 Et dans l’autre, moins favorable en terme de chômage (7,8%), il progresserait pour se fixer sous la barre des 25 milliards. L’impact sur les âges de départ, sans nouvelle mesure correctrice, serait important.

 Dans le régime général, les salariés liquideraient leur retraite à 63,1 ans en 2022, contre 62 aujourd’hui. Et réduiraient un peu l’écart avec les fonctionnaires qui cesseraient leur activité à 58,7 ans à partir de 2025, contre 57,1 actuellement.

Pour atteindre l’équilibre en 2020, le COR propose trois pistes, combinables mais présentées isolément pour fixer les esprits. Primo, une hausse du taux de prélèvement global de 1,1 point, donc des cotisations, par rapport à aujourd’hui. 

Secundo, une baisse de 5% du montant des pensions. Et tertio, un allongement supplémentaire de 9 mois de l’âge effectif de départ en retraite, soit «un décalage au total d’environ un an et 9 mois par rapport à 2011», précise le COR.

Nouvelle réforme fin 2013

Pour la gauche, ces nouvelles prévisions sont la preuve que la réforme Woerth de 2010, dont la principale mesure a été de reculer de deux ans l’âge de départ en retraite, a été un échec. 

«La principale question, c’est à quoi cela a-t-il servi de faire ce qui a été fait, qui a été brutal, qui a été très injuste, dont on nous avait dit que ça permettrait de rééquilibrer le régime de retraite à l’horizon 2020?», a martelé Michel Sapin, le ministre du Travail.

Les chiffres actualisés du COR ont au moins une vertu: 

remettre, une nouvelle fois, le chantier des retraites sur le tapis. Le gouvernement attend le 22 janvier un nouveau rapport du COR d’état des lieux des régimes et portant sur les mécanismes d’acquisition des droits. Il désignera ensuite une «commission pour l’avenir des retraites» qui proposera «différentes pistes de réforme». 

Des décisions seront prises avant la fin de l’année, conformément à l’engagement de François Hollande de «négocier une nouvelle réforme des retraites» en 2013.

Pour le ministre de l’Économie, Pierre Moscovici, les évolutions à décider devront être «justes» et intégrer les questions «de pénibilité et de carrières interrompues». 

Bref, de nouvelles dépenses en perspective qui compliqueront un peu plus le retour à l’équilibre, surtout après le vote à l’été 2012 d’un retour partiel à la retraite à 60 ans pour 110.000 salariés par an. Cette mesure coûtera en effet la bagatelle de 7 milliards sur le quinquennat, financée par un relèvement des cotisations.

«Le gouvernement va se retrouver confronté au mur des réalités, confirme au FigaroÉric Woerth, l’ex-ministre du Travail. Pour les socialistes, une réforme juste, c’est offrir plus, dépenser plus. Mais ce que l’on a est déjà pas mal et ces promesses seront impossibles à tenir, sauf à augmenter démesurément les cotisations. Je souhaite bon courage au gouvernement car il ne va pas avoir d’autre choix que de reculer l’âge de départ et se contredire.»

Par Marc Landré

http://www.lefigaro.fr/retraite/2012/12/19/05004-20121219ARTFIG00646-le-deficit-des-retraites-estime-a-25milliards-en-2020.php

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Y’en a marre des primes distribuées de Najat Vallaud-Belkacem

Posté par ippolito le 20 décembre 2012

Les primes de Najat Vallaud-Belkacem

En tant que ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem dispose d’une enveloppe spéciale pour les primes de ses collaborateurs.

Pour les primes de ses collaborateurs, Najat Vallaud-Belkacem bénéficie d’un budget de 552 001 euros pour 2012. Najat Vallaud-Belkacem travaille avec une équipe de 47 collaborateurs, dont 13 membres de cabinet.

Entre le 15 mai et le 21 décembre 2012, Najat Vallaud-Belkacem aura utilisé 396 112 euros pour le primes de ses collaborateurs, soit 72% du budget total dont elle dispose. Najat Vallaud-Belkacem est ainsi la ministre ayant le plus dépensé pour les primes de ses collaborateurs.

source: journaldunet.com

http://www.impots-economie.com/les-primes-de-najat-vallaud-belkacem/

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Y’en a marre du ménagement des banques et surtout des promesses encore une fois non tenues

Posté par ippolito le 20 décembre 2012

Le gouvernement ménage les banques

Pierre Moscovici a dévoilé son projet de loi d’encadrement des activités bancaires. Pas exactement une attaque contre la finance « sans visage ».

« Texte d’avant-garde », qui « va faire référence » en Europe.

Pierre Moscovici n’a pas de mots assez forts pour vanter sa réforme bancaire présentée mercredi matin en conseil des ministres.

Confronté à de nombreuses critiques sur la portée réelle des mesures dévoilées, le ministre de l’Économie a tenté de convaincre qu’il respectait à la lettre la promesse de campagne de François Hollande de séparer « les activités des banques qui sont utiles à l’investissement et à l’emploi de leurs opérations spéculatives » (engagement n° 7 sur 60).

Formellement, c’est le cas. La mesure phare de la réforme préparée en collaboration étroite avec la Fédération bancaire française, de l’aveu même du ministre, oblige les banques à « cantonner » leurs activités « spéculatives » dans une filiale bien séparée du reste de l’établissement, d’ici à 2015. 

L’objectif est double : empêcher les banques françaises d’utiliser les dépôts bancairee leurs clients pour opérer sur les marchés, c’est-à-dire prendre des risques importants pour leur seul profit (les spécialistes appellent cela le crédit « pour compte propre ») et éviter que ces activités spéculatives ne bénéficient de la garantie implicite de l’État. Sauf que cette règle, stricte sur le papier, est en fait très souple.

On est en tout cas loin d’un projet de lutte contre la « finance sans visage » mis en avant par François Hollande lors de sa campagne.

La banque « universelle » préservée

Les banques pourront, en effet, continuer à effectuer des opérations « pour compte propre » dès lors que celles-ci ont une « utilité avérée » pour l’économie. 

En d’autres termes, si elles ont une utilité quelconque pour satisfaire les besoins des entreprises clientes. Or, selon Finance Watch, une association qui milite pour une finance plus régulée, cela revient à autoriser « presque toutes les activités, toutes les activités financières, ou presque, (étant) réalisées avec un client ». 

Et de citer l’exemple des « produits dérivés » (les fameux instruments financiers faits pour se couvrir contre un risque, mais qui sont très souvent utilisés pour spéculer) qui « continueront à être nourris par le soutien de l’État ». Une critique balayée par le ministre de l’Économie, pour qui la séparation des activités à risque va toucher « jusqu’à 10 % du produit net bancaire » généré par les activités de marché à la fin 2011. 

Selon lui, si ce chiffre paraît modeste à certains, c’est parce que les banques françaises se sont déjà retirées de certaines activités de marchés à la suite de la crise financière.

Ce qui est sûr, en tous cas, c’est que les banques pourront continuer comme avant leur rôle de « teneur de marchés », c’est-à-dire le rôle d’intermédiaire financier, présenté comme indispensable dans un contexte où les entreprises vont devoir de plus en plus faire appel aux investisseurs avec le renforcement des normes prudentielles imposées aux banques dites de Bâle III.

 C’est pourtant contraire aux recommandations du rapport Liikanen, censé servir de base à une réforme similaire au niveau européen.

Ceux qui plaidaient pour un retour au Glass-Steagall Act, soit la stricte séparation entre les banques de dépôts et les banques de marchés, prévalant aux États-Unis jusque dans les années 1990, en sont pour leurs frais. 

Le modèle de banque universelle, rassemblant toutes les activités bancaires, est préservé. Pierre Moscovici l’assume, lui qui refuse de « créer une sorte de Goldman Sachs (la grande banque d’affaires américaine souvent pointée du doigt) à la française ». 

Mais cela soulève des questions sur l’ampleur réelle de la réforme.

 Les filiales nouvellement créées, qui pourront continuer à prendre des risques au profit exclusif de la banque, devront certes être capitalisées et financées de manière autonome, souligne le dossier explicatif distribué aux journalistes par le ministère. 

Mais que se passera-t-il si elles essuient des pertes trop importantes ? Le reste du groupe devra-t-il venir à la rescousse ? Pierre Moscovici n’a pas répondu clairement à cette question, malgré les interrogations des journalistes.

Des autorités de contrôles fortement renforcées

Le ministre préfère mettre l’accent sur les autres dispositions de la réforme, estimant qu’elles forment un ensemble cohérent. Elles prévoient notamment un renforcement conséquent des autorités de régulation en les dotant d’un pouvoir de « résolution », afin de prévenir les risques et de les gérer s’ils se matérialisent. 

En cas de risque identifié dans une banque, la nouvelle « Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) pourra « obliger les banques à prendre des mesures, y compris d’évolution de leur structure », explique Pierre Moscovici. 

En clair, si la séparation des activités spéculatives prévues par la loi se révélait insuffisante, le gendarme des banques disposera  » de ciseaux » pour simplifier la structure de l’établissement bancaire

Pour faciliter son travail, chaque établissement bancaire sera tenu de se doter d’un plan préventif de « rétablissement » en cas de difficulté financière. Chacun devra par ailleurs préparer une sorte de « testament » en cas de faillite.

 Il s’agit de prévoir des procédures concrètes en pour permettre au régulateur de gérer la crise : plan de cession d’actifs, mise en place d’une banque-relais, séparation des actifs pourris des actifs sains (good bank/bad bank).

Faire payer les créanciers et les actionnaires

En cas de faillite, l’ACPR pourra faire supporter les pertes par les actionnaires et les créanciers des banques, prévoit le gouvernement. Ce qui n’empêche pas Fitch de juger que la réforme « devrait laisser inchangée la dynamique de soutien aux banques du pays » par l’État. 

L’agence de notation financière estime en effet : « L’un des objectifs-clés de l’exécutif est de préserver la stabilité du secteur bancaire et la volonté d’apporter un soutien public (en cas de défaillance) demeure forte. » En effet, la réforme ne prévoit pas de faire payer les créanciers dits « seniors », qui doivent être remboursés en priorité en cas de faillite. 

Premier mais pas sévère

Autant d’éléments qui permettent à Pierre Moscovici de vanter le rôle avant-gardiste de la France en Europe, même si sa réforme ne va pas aussi loin qu’attendu dans la séparation des activités à risque.

  »Nous sommes les premiers à prendre une telle réforme. On nous évoque parfois les projets britanniques (…) en oubliant le fait que (…) les projets évoqués sont pour 2019. Ce n’est pas en 2019 que nous agissons, c’est maintenant. »

 L’Hexagone est bien le premier pays de l’UE à mettre en oeuvre le volet dit de « résolution bancaire ». L’union bancaire, tant évoquée au niveau européen, est en effet loin d’être achevée : les discussions sur les procédures de résolution en cas de faillite bancaire et pour une garantie des dépôts se poursuivent.

Mais le compromis préserve les intérêts des banquiers. À tel point que Pierre Moscovici s’est senti obligé de préciser que l’équilibre pouvait encore bouger. Les parlementaire de la majorité sont invités à plancher sur l’encadrement des bonus, des paradis fiscaux et la définition des activités spéculatives interdites ou cantonnées. Tout saufs des points de détails ! 

Conscient de la prudence de son texte, le ministre a trouvé une astuce pour mieux vendre sa réforme : il a inséré des mesures très populaires sur la protection des clients. Elles visent notamment à réduire les frais bancaires des plus précaires.

Le trading haute fréquence ne sera pas interdit

Le trading haute fréquence, qui permet de passer des ordres à des vitesses toujours plus élevées grâce à des machines, ne sera pas totalement interdit. 

Après avoir communiqué sur le sujet, le ministre a bien été obligé de l’avouer mercredi lors de sa conférence de presse. Interrogé par un journaliste, Pierre Moscovici a reconnu que seul le trading haute fréquence « taxable » serait prohibé.

 Cette précision a une importance capitale, car elle limite fortement l’interdiction du trading haute fréquence. Au final, plus de 80 % des ces opérations ne seraient pas concernées !

Par MARC VIGNAUD

http://www.lepoint.fr/economie/reforme-bancaire-le-gouvernement-menage-les-banques-19-12-2012-1603821_28.php

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Y’en a marre des politiques et de leurs gaspillages…

Posté par ippolito le 20 décembre 2012

Comment Jean-François Copé aurait utilisé 810 000 euros du budget de l’UMP pour financer sa campagne

L’attaque vient du camp Fillon, mais pas de n’importe qui. Il s’agit de Dominique Dord, l’ancien trésorier de l’UMP qui a démissionné de ses fonctions suite à l’auto-proclamation de Copé à la présidence de l’UMP. 

Selon ce proche de François Fillon, en tant que secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé aurait utilisé les moyens du parti pour cette campagne interne que le clan Fillon croyait gagner d’avance.

D’après un décompte, repris par le Canard Enchaîné et effectué par Dominique Dord le 26 novembre, juste avant l’annonce de sa démission, « une dizaine de cadres, salariés de l’UMP, ont travaillé pendant les trois mois de la campagne exclusivement pour le maire de Meaux. 

Coût estimé au doigt mouillé, plus de 200 000 euros ». Une somme à laquelle il faut ajouter les 160 000 euros versés au parti de Christine Boutin, « au lendemain même du ralliement » de cette dernière à la candidature de Copé. Dominique Dord assure également que le siège de l’UMP, rue de Vaugirard, a littéralement été « privatisé » pendant la campagne, soit « 300 000 euros de loyers ». 

Dernière dépense attribuée à Copé sur le compte de l’UMP : les « moyens de communication » du parti et notamment l’achat du livre programmatique de Copé. Montant de la facture communication estimée par Dominique Dord ? 150 000 euros. 

Au total, Jean-François Copé aurait donc utilisé l’équivalent de 810 000 euros du budget de l’UMP exclusivement pour sa campagne. Un chiffre qui serait à comparer avec les dépenses déclarées par le clan Fillon, près de 250 000 euros, financées par le micro-parti de l’ancien Premier ministre, France9.

Des chiffres forcément invérifiables et lancés opportunément dans la presse : pourquoi le clan Fillon n’a-t-il pas tiré la sonnette d’alarme avant ? Mystère. Il n’en reste pas moins que ces chiffres donnent un ordre de grandeur du coût de ce fiasco interne, évalué à 1 260 000 euros. Ça fait cher le psychodrame pour un parti qui pourrait afficher 50 millions d’euros de déficit l’an prochain.

*** Source
- « L’addition de Dord », Le Canard enchaîné n°4805, 28.11.2012

http://www.politique.net/2012120201-cope-810-000-euros-budget-ump.htm

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