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Y’en a marre des salaires des conseillers d’Ayrault

Posté par ippolito le 8 janvier 2013

Salaires des conseillers d’ Ayrault

Quel est le montant des salaires des conseillers de Jean-Marc Ayrault ?

A cette question posée par le député apparenté PS René Dosière, Jean-Marc Ayrault a répondu que ses 3 conseillers les mieux payés à Matignon touchaient un salaire net de 14 979 euros par mois.

 Jean-Marc Ayrault touche quant à lui un salaire brut de 14 910 euros mensuels ( voir Les primes de Jean-Marc Ayrault).

Or, les salaires des collaborateurs ministériels ne doivent pas dépasser les salaires du Président de la république et du Premier ministre.

En fait, les services de Matignon ont confondu rémunération nette et rémunération brute dans leur réponse à René Dosière. Ainsi, le montant de 14 979 euros nets par mois transmis par Matignon n’est en fait que la rémunération brute moyenne des conseillers de Jean-Marc Ayrault.

En réalité, les conseillers de Jean-Marc Ayrault touchent un salaire de 13 000 euros nets par mois ( soit la même moyenne que les 3 plus gros salaires de l’ Elysée).

A l’époque, les 3 conseillers les mieux payés de Nicolas Sarkozy touchaient un salaire de 21 146 euros nets par mois.

source: nouvelobs.com

http://www.impots-economie.com/salaires-des-conseillers-d-ayrault/

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Y’en a marre des opérateurs de téléphonie mobile

Posté par ippolito le 8 janvier 2013

Dix opérateurs de téléphonie mobile attaqués en justice

L’association de consommateurs CLCV assigne aujourd’hui Orange, SFR, Bouygues, Free et six autres opérateurs. 

En cause : les clauses abusives de leurs contrats.
 
Selon la CLCV, de nombreuses plaintes et demandes de renseignements d’utilisateurs de portables leur parviennent, sur des clauses de contrats qui leur paraissent floues ou abusives. 

« Facturation abusive », « limites du contrat incompréhensibles », « service non délivré mais qui reste facturé »…

 L’association de consommateurs CLCV (Confédération de la consommation, du logement et du cadre de vie) va assigner aujourd’hui pas moins de dix opérateurs de téléphonie mobile devant les tribunaux de grande instance de Paris, Nanterre (Hauts-de-Seine) et Créteil (Val-de-Marne). 

Ce qu’elle leur reproche? Les nombreuses clauses abusives figurant dans leurs contrats d’abonnement. Tous les grands du secteur sont visés : Orange, SFR, Bouygues, ainsi que les opérateurs virtuels Virgin Mobile, Numericable, la Poste Mobile, Coriolis, Prixtel et Sim +. Sans oublier le dernier venu dans le secteur, Free Mobile, qui soufflera sa première bougie le 10 janvier.

L’association a passé au crible une vingtaine de contrats, « tous associés à des abonnements actuellement commercialisés », souligne Thierry Saniez, délégué général de la CLCV. 

Le bilan, selon l’association, est sans appel : « Non seulement les conditions générales sont denses et techniques, ce qui décourage de les lire et de les comprendre, mais elles se révèlent également riches en clauses inacceptables que nous considérons abusives », souligne l’association dans un document que notre journal a consulté en avant-première.

Des offres pas si illimitées, des indemnisations difficiles

Si l’association a décidé de franchir le pas judiciaire (les assignations seront déposées par huissier aux sièges des entreprises concernées), c’est parce que « de plus en plus de plaintes remontent de nos fédérations régionales », précise la présidente de la CLCV, Reine-Claude Mader .

 Aujourd’hui, estime l’association, la téléphonie mobile est « une dépense quasi contrainte » et les opérateurs « semblent parfois user et abuser de la situation » pour faire signer à leurs clients des clauses qu’ils n’ont pas les moyens ou le temps d’analyser.

De quoi s’agit-il? Il y a d’abord l’utilisation de termes inadéquats, au premier rang desquels « offre illimitée », que les clauses des contrats restreignent à « un comportement raisonnable » (Coriolis), « une utilisation normale d’un client grand public » (Numericable), etc. 

Les clauses sur l’indemnisation des clients sont également jugées abusives car très insuffisantes. En cas d’incident de réseau, Sosh, filiale low-cost d’Orange, prévoit ainsi que « le client peut prétendre à une indemnisation forfaitaire de 1 € ». La Poste Mobile, elle, prévoit « des avances sur consommation ». 

Chez SIM +, « l’opérateur n’est pas responsable [de défaillances techniques] à condition qu’elles ne portent pas sur plus de 20% des appels »…

Free, enfin, a anticipé les éventuels problèmes de réseau, puisque son contrat stipule que « le service dépend en particulier du volume du trafic sur le réseau, de l’endroit où l’abonné accède au réseau et du moment de sa communication »… « C’est une manière de limiter le droit à réparation, précise la CLCV, alors que les opérateurs sont tenus d’assurer la permanence et la continuité du service. » A la justice de trancher maintenant. Mais la procédure s’annonce longue…

Daniel Rosenweg | Publié le 07.01.2013, 09h16
Le Parisien

http://www.leparisien.fr/high-tech/dix-operateurs-de-telephonie-mobile-attaques-en-justice-07-01-2013-2460437.php

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Y’en a marre que la France devienne la risée du monde

Posté par ippolito le 8 janvier 2013

Pécresse : « La France devient la risée du monde »

L’ancienne ministre du Budget estime que « le seuil de tolérance fiscale est dépassé » et provoque « la délocalisation des emplois ».

Valérie Pécresse dénonce les excès fiscaux du gouvernement. 

La députée UMP Valérie Pécresse, qui a précédé Jérôme Cahuzac comme ministre du Budget à Bercy, déclare qu’elle « souffre de voir la France devenir la risée du monde ».

« Il faut bien comprendre que le seuil de tolérance fiscale est dépassé », déclare-t-elle dans un entretien au Journal du dimanche, évoquant notamment la contribution exceptionnelle de 75 % sur les revenus supérieurs à 1 million d’euros par an décidée par François Hollande et censurée par le Conseil constitutionnel.

 Une nouvelle disposition, aménagée mais « dans le même esprit », est en préparation. Dimanche matin, Jérôme Cahuzac a laissé entendre qu’elle pourrait devenir pérenne, alors que, dans sa première mouture, cette taxe devait disparaître au bout de deux ans.

« La censure des 75 % est un premier avertissement : en France, les impôts ne peuvent pas être confiscatoires. Cela entraîne le départ des plus riches et, beaucoup plus grave, la délocalisation des emplois et des centres de décision par les entreprises, un phénomène qui ne se voit pas pour le moment, mais qui se traduira dans les chiffres du chômage », estime Valérie Pécresse.

  »Au final, ce seront les classes moyennes qui devront payer les impôts. On va vers une révolte fiscale des classes moyennes », affirme l’ancienne ministre du Budget.

http://www.lepoint.fr/politique/pecresse-la-france-devient-la-risee-du-monde-06-01-2013-1609043_20.php

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Y’en a marre de ce que pourrait nous réserver le big bang du marché du travail

Posté par ippolito le 8 janvier 2013

Ce que pourrait vous réserver le big bang du marché du travail

Après des semaines de négociations houleuses, on saura ce vendredi 11 janvier si les partenaires sociaux, s’entendent pour flexibiliser le travail dans l’hexagone, tout en sécurisant nombre de droits des salariés.

 Mais une chose est sûre : si ce big bang social a lieu sans que les chefs d’entreprise ne concrétisent leurs promesses d’embauches, alors la gauche sera pour de longs mois fâchée avec les classes populaires. Voici pourquoi. 

Le Medef propose de faire financer la précarité… par les chômeurs !
C’est une négociation sociale à haut risque dont la technicité, redoutable, a jusqu’ici masqué les enjeux.

Vendredi 11 janvier, on saura pourtant si à la demande du président François Hollande, patronat et syndicats paraphent à 6 ou 7  un  compromis « historique » susceptible de favoriser les embauches dans l’hexagone tout en « sécurisant » les parcours professionnels de salariés, trop fréquemment recrutés en CDD. 

Rien n’est encore joué. « La balle est dans le camp du patronat », a d’ailleurs prudemment martelé, vendredi 4 janvier, Laurent Berger le secrétaire général de la CFDT. 

Échaudé par les déchirements de sa centrale sur la réforme des retraites en 2003 et les réticences de ses fédérations, le successeur de François Chérèque, n’entend pas, en effet, engager  la signature de son syndicat sans nouvelles concessions du Medef. Et pour cause… 
  
Comme l’attestent un document de travail, si le projet d’accord rédigé par les employeurs était validé en l’état, des centaines de milliers de salariés pourraient être rapidement confrontés, après consultation de leurs élus, à des mutations forcées dans un rayon de 50 kilomètres ou supporter des baisses de salaires sur deux ans, dans le cadre d’accords majoritaires de maintien dans l’emploi.

Le tout sous la menace d’un licenciement, alors qu’ils ne bénéficieront éventuellement de leurs nouveaux droits – complémentaire maladie pour tous, formation étendue et accès accru aux indemnités de chômage – au mieux en 2014, voir 2015. Un décalage dans le temps difficilement supportable dans le contexte de crise ! 

Projet d’accord national interprofessionnel sur la sécurisation de l’emploi, via Atlantico

Et d’autant plus pénalisant que le Medef persiste à vouloir imposer une nouvelle  possibilité d’embauche en CDI… de projet : curieux oxymore qui reviendrait de fait à créer un CDD… à durée indéterminée permettant aux chefs d’entreprise de se séparer sans formalités de leurs  recrues, y compris leurs cadres, une fois leur tâche accomplies.

« Le salarié était dans un rapport de subordination vis à vis de son employeur, il sera désormais dans un rapport de complète soumission. » critique vertement Maurad Rabhi de la CGT, syndicat qui   curieusement n’est guère entré de plein pied dans la négociation pour mobiliser, le moment venu, les parlementaires de gauche. 
  
De fait, alors même que les Français se sont enflammés pour le combat des sidérurgistes de Florange, ces batailles qui voient salariés et syndicats défendre face à des multinationales, le tissus économique hexagonal, pourraient bientôt n’avoir plus cours.

 Puisque selon les nouvelles modalités de plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) proposées par le Medef, en cas de désaccord avec les représentants de salariés, une direction pourrait se contenter de faire «  homologuer » son PSE par l’administration du travail sous 15 jours. 

« Or je ne vois pas pourquoi un employeur s’enquiquinerait encore à négocier un PSE avec ses instances représentatives, s’alarme Astrid Toussaint, inspectrice du travail et militante à Sud Travail. 

Contrainte par ce délai, l’administration ne pourra plus confronter les informations qu’il lui transmet aux témoignages des salariés. Elle se contentera donc, comme pour les ruptures conventionnelles,  de donner des coups de tampons formels sur les documents reçus.

 » ainsi les délégués mécontents devront alors se tourner vers les tribunaux administratifs dont la compétence est exclusivement nationale et dont les délais d’audiencement peuvent avoisiner…trois ans ! 

Autant de sujets brûlants qui d’ici vendredi feront l’objet de tractations acharnées. Mais qui devraient passionner l’ensemble des salariés, avant que leur sort ne soit scellé !

Lundi 7 Janvier 2013 à 05:00 
LAURENCE DEQUAY – MARIANNE

http://www.marianne.net/Ce-que-pourrait-vous-reserver-le-big-bang-du-marche-du-travail_a225598.html

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Y’en a marre des mensonges de Hollande et surtout de la hausse du chômage

Posté par ippolito le 8 janvier 2013

Chômage : pourquoi Hollande aura du mal à tenir son pari

Selon un sondage Ifop/JDD, trois Français sur quatre ne croient pas à l’objectif présidentiel d’inverser la courbe du chômage d’ici à un an.

C’est la priorité du gouvernement. François Hollande entend « coûte que coûte » faire reculer le chômage avant la fin de l’année. Les Français apprécieraient, certes, mais ils n’y croient pas. 

Seuls 25% d’entre eux pensent que l’objectif peut être atteint, selon notre sondage Ifop-JDD. Même les sympathisants socialistes baissent les bras, une majorité (53%) estimant que la cible présidentielle sera manquée.

 Un scepticisme général quant aux capacités des politiques à mettre fin au mal qui ronge le pays. En janvier 2010, Nicolas Sarkozy avait annoncé une baisse du chômage.

Un sondage similaire de l’Ifop indiquait qu’environ les trois quarts des Français, déjà, ne lui faisaient pas crédit. « François Hollande ne formule pas une promesse électorale, il sait très bien qu’on ne le croira pas, il défend un objectif et oblige le gouvernement à se mobiliser comme jamais », nuance un ministre proche du chef de l’État.

Impossible pour le Président d’enfourcher un autre cheval de bataille. Le chômage, en hausse depuis dix-neuf mois, est la préoccupation première des Français.

 L’inversion de sa courbe serait « la meilleure nouvelle pour 2013″, selon un autre enseignement de notre enquête. Loin devant la fin de la crise de la zone euro, et, surprise, loin devant la hausse du pouvoir d’achat. « Il y a une adéquation entre la mobilisation du gouvernement et l’attente majeure des Français », souligne Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop.

 Dans les espoirs de l’opinion, la réindustrialisation pointe en bonne position. Le thème – directement lié au chômage – semble ancré dans la réflexion des Français. En revanche, la réduction du déficit public à 3%, pourtant présentée comme une condition sine qua non au redressement du pays, est reléguée en fond de paquet cadeau.

Les ministres sont priés de faire preuve d’initiatives

Cette semaine, le gouvernement a donc marqué sa rentrée politique du sceau de la bataille pour l’emploi. Le Conseil des ministres, une réunion à l’Élysée et deux à Matignon ont donné aux caméras l’image d’un gouvernement sur le pont, sans que de nouvelles décisions soient prises. 

« Il est important de tendre le ressort à ce moment de l’année et de mobiliser les ministres qui ne sont pas en première ligne, car on sait que la situation va se détériorer », explique- t-on à l’Élysée. Chacun est prié de faire assaut d’initiatives et de « se déployer », selon Jean- Marc Ayrault, pour mettre en oeuvre les mesures déjà connues. « Il est important d’avoir une plus grande solidarité sur ce sujet. La cohérence de notre action, c’est l’emploi », témoigne un participant.

Michel Sapin, ministre du Travail, compte sur les 100.000 emplois d’avenir et sur les contrats de génération, qui seront examinés à l’Assemblée nationale à partir du 15 janvier. 

S’y ajoutent les autres types de contrats aidés. Sur le papier, cette politique compenserait l’évolution de la population active, près de 120.000 personnes supplémentaires étant attendues cette année sur le marché du travail (étudiants en fin de cursus, inactifs voulant retrouver un poste, etc.).

Un nombre record de demandeurs d’emploi prévu avant l’été
Mais, dans le même temps, l’économie française au point mort va inéluctablement détruire des emplois. Les prévisions sont sombres. L’Insee anticipe 75.000 pertes d’ici à juin. 

Sur la base de ces projections, le nombre de chômeurs atteindrait un record absolu avant l’été, dépassant la barre historique de 3.205.300 datant de janvier 1997. « Les prochains mois vont être durs. Cela ne va pas être des petits chiffres », répète-t-on.

Le pari de François Hollande est-il impossible? Peu d’économistes y croient. L’Élysée continue néanmoins de s’appuyer sur les prévisions faites à l’automne par le régime d’assurance-chômage. Ses statisticiens voyaient la courbe s’inverser en fin d’année.

 L’exécutif attend les premiers effets ’du nouveau crédit d’ impôt compétitivité-emploi. Jean-Marc Ayrault a écrit un courrier aux parlementaires, aux présidents de département, de région et aux maires des grandes villes, pour leur réexpliquer le dispositif et les inviter à le promouvoir auprès des PME.

  »Cela fait trente ans que nous vivons un chômage de masse. C’est compliqué pour les citoyens d’imaginer que notre engagement sera atteint. Mais nous sommes convaincus que nos mesures vont produire des effets », assure-t-on dans son entourage.

Le gouvernement compte aussi sur la réforme des contrats de travail, dont il espère « un choc psychologique sur les embauches ». Les syndicats et le patronat se réunissent jeudi pour tenter de conclure leur négociation sur le sujet.

En l’absence d’un accord « profond et équilibré », qui serait historique, l’exécutif écrira la loi seul. Un texte serait présenté au Conseil des ministres dans la deuxième quinzaine de février et adopté dans la foulée.

  »Il faut mettre le bateau France dans le sens du courant quand la vague de la croissance reviendra », explique un proche du chef de l’État.

Petite consolation pour le pouvoir, les Français sont moins nombreux à dire qu’ils souffrent de la crise. Le pessimisme reflue quelque peu. Un mystère pour les sondeurs, et sans effet sur les cotes de popularité.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Chomage-les-trois-quarts-des-Francais-ne-croient-pas-Hollande-584529

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