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Y’en a marre des magouilles de Sarkozy

Posté par ippolito le 16 janvier 2013

“Takieddine accuse Sarkozy”
 
Ziad Takieddine accuse Nicolas Sarkozy d’avoir financé sa campagne électorale de 2007 avec l’argent de Kadhafi et du régime libyen.

Selon l’homme affaires franco-libanais Ziad Takieddine, le régime de Kadhafi a bel et bien financé la campagne présidentielle de Sarkozy en 2007. Takieddine affirme détenir les preuves du financement de la campagne présidentielle de Sarkozy par Kadhafi.

Takieddine a affirmé au juge Van Ruymbeke que le régime libyen avait versé plus de 50 millions d’euros pour financer la campagne électorale de Sarkozy en 2007. Selon Takieddine, la majeure partie de cette somme a été versée entre décembre 2006 et janvier 2007.

Takieddine a expliqué au juge Van Ruymbeke qu’il était prêt à fournir les preuves du financement de la campagne de 2007 de Sarkozy par Kadhafi seulement si la justice ouvrait une nouvelle enquête.

D’après Takieddine, les transferts de fonds ont eu lieu lors des multiples rencontres entre le secrétaire particulier de Kadhafi, Béchir Saleh, et Claude Guéant, alors directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, lui-même encore ministre de l’ Intérieur ( voir Les relations troubles de Guéant avec Kadhafi).

 Takieddine a ainsi déclaré au juge Van Ruymbeke: « Guéant donnait alors à Saleh les indications bancaires nécessaires aux virements« . Takieddine affirme que Bagdadi al-Mahmoudi détient encore des traces écrites de ces rencontres entre Guéant et Saleh.

 le dernier premier ministre de Kadhafi et est aujourd’hui aux mains des nouvelles autorités libyennes.

Takieddine a également déclaré au juge Van Ruymbeke que d’ énormes contrats, de plusieurs centaines de millions d’euros, ont été signés entre la Libye et 3 entreprises françaises, pour des prestations fictives.

 Takieddine affirme détenir ces contrats, ainsi que les montants, les destinataires, etc… Une de ces entreprises serait même dirigée par le fils de Claude Guéant d’après Takieddine.

source: le Figaro

http://www.impots-economie.com/takieddine-accuse-sarkozy/

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Y’en a marre des cumuls des mandats et surtout des promesses non tenues

Posté par ippolito le 16 janvier 2013

Le salaire de Marie-Arlette Carlotti : 12 197 euros par mois grâce au cumul des postes de ministre, conseiller général et conseiller régional

Connaissez-vous Marie-Arlette Carlotti ? 

C’est l’une des ministres qui perçoit le revenu le plus élevé du gouvernement. Elle n’est pourtant « que » ministre déléguée en charge des Personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion.

Comment fait-elle ? 

Elle cumule. Les mandats et les indemnités. En toute légalité. Parallèlement à son poste de ministre, elle est aussi conseillère générale et conseillère régionale. Elle pourrait même se présenter à la mairie de Marseille en 2014…

Ministre déléguée : 9 440 euros par mois

Avec la baisse de 30% décidée par François Hollande, un ministre délégué perçoit 9 440 euros brut par mois (soit 500 euros de moins qu’un ministre de plein exercice). 

C’est donc le montant que perçoit Marie-Arlette Carlotti en tant que ministre déléguée en charge des Personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion.

 Un poste qui visiblement n’est pas un travail à temps plein : quand l’agenda de sa ministre de tutelle, Marisol Touraine, est rempli tous les jours de cette semaine (du lundi 7 au samedi 12 janvier), celui de Carlotti n’est pas mis à jour et s’arrête au 4 janvier.

Simple oubli sans doute. Car la ministre est une femme politique très occupée : elle a deux autres fonctions.

Conseillère générale et conseillère régionale : 2 757 euros par mois

Avant de devenir ministre, Marie-Arlette Carlotti a d’abord fait sa carrière au parlement européen entre 1996 et 2009. Elle mène également une carrière d’élue locale en Provence-Alpes-Côte d’Azur : 

conseillère générale du canton de Marseille-Les Cinq-Avenues depuis mars 1998, conseillère régionale de PACA depuis mars 2010, elle a même été élue députée de la 5e circonscription des Bouches-du-Rhône en juin 2012.

 Si elle a dû démissionner de son poste de député en raison de sa nomination au gouvernement (mais elle pourra toujours revenir à l’assemblée dès qu’elle ne sera plus ministre), Marie-Arlette Carlotti a, en revanche, conservé ses deux autres fonctions selon le Nouvel Observateur.

 En toute légalité : un ministre peut cumuler les fonctions et les indemnités tant qu’il n’occupe pas un mandat d’exécutif local. En tant que simple conseillère générale et simple conseillère régionale, Carlotti perçoit 2 757 euros par mois de bonus par rapport à son salaire de ministre. Soit au total, un revenu estimé à 12 197 euros par mois (le plafond maximal autorisé pour un ministre).

Bientôt candidate à la mairie de Marseille en 2014 ?

Comment fait-elle pour cumuler ses fonctions de ministre déléguée, conseillère générale et conseillère régionale ? Mystère. C’est la magie du cumul des mandats.

 Et Marie-Arlette Carlotti semble ne pas vouloir s’arrêter là. Car si son agenda de ministre n’a pas été mis à jour, on a quand même retrouvé sa trace cette semaine :

 mercredi 9 janvier, elle a tenu une conférence de presse pour lancer son think-tank « Marseille et moi ». Pour pouvoir se présenter à la mairie de Marseille en 2014 ? C’est ce que suppose Le Figaro : 

« L’association présidée par un éminent professeur de médecine (…) doit lui servir de boîte à idées pour élaborer son programme ». Mais attention, pas question d’annoncer sa candidature.

  »Ce n’est pas rien de se présenter à la mairie de Marseille. Il serait bien arrogant de le faire sans un projet », a-t-elle déclaré au Figaro. D’ailleurs, elle n’est pas la seule à être sur les rangs : vu le nombre de candidats, une primaire PS devrait sans doute être organisée. 

En attendant, paraît-il que le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, « prépare les esprits au non-cumul des mandats ». Bon courage !

*** Sources
- A. de Broqua, « Marseille : trop-plein de candidats à gauche », Le Figaro, 10.01.2012
- Julien Vinzent, « Les voeux de Marie-Arlette Carlotti pour 2014″, Marsactu.fr, 10.01.2012
- Sophie Huet, « Bartolone prépare les esprits au non-cumul », Le Figaro, 10.01.2012
- Julien Martin, « Ministres… et cumulards ! », Le Nouvel Obs n°2511, 20.12.2012

L’argent du pouvoir · 11 jan. 2013 à 19:03 · 

http://www.politique.net/2013011101-salaire-marie-arlette-carlotti.htm

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Y’en a marre de la lutte des classes et surtout des politiques

Posté par ippolito le 16 janvier 2013

«La lutte des classes, ça résume notre réelle divergence. Vous y croyez toujours, je n’y ai jamais cru.» C’est par ces mots que Jérôme Cahuzac concluait le débat qu’il avait eu avec Jean-Luc Mélenchon sur France 2, le 7 janvier 2013.

La gauche sociale-démocrate a renoncé à l’explication du monde par le concept de «la lutte des classes» de Karl Marx et Friedrich Engels, la gauche de la gauche y croit toujours.

La remarque est très pertinente. La croyance en une «lutte» de classes antagonistes a opposé en effet les deux gauches, socialiste et communiste, depuis toujours, même si la frontière a traversé en vérité le camp socialiste lui-même.

Mais est-ce encore le cas aujourd’hui? Y a-t-il encore deux visions radicalement différentes de la réalité sociale, bref du capitalisme?

La réponse est oui avec ce que l’on peut appeler un come-back du concept. La lutte des classes avait perdu de sa valeur explicative avec l’évolution du capitalisme à partir de la Grande crise des années 1930.

La spirale de hausse des coûts et des salaires

Le fordisme, d’une part, a consisté en la conclusion d’un compromis entre capital et travail sur le thème de la sécurité: je vous paie bien, vous achetez mes voitures. 

Le capitalisme trouvait là un moyen de se garantir des débouchés et les salariés un avenir stable. Le keynésianisme est venu, en surcroît, garantir «la demande» par un relai public appuyé sur des impôts. 

L’ensemble était cohérent et dynamique. Les deux classes n’étaient plus antagonistes, elles fusionnaient grosso modo dans une classe moyenne qui grossissait. 

Le capitalisme avait trouvé un équilibre de croissance qui a perduré jusque dans les années 1970. Le marxisme a perdu de son aura au profit de théories réformistes sociales-démocrates, même si la France a fait figure de résistance dans l’idéologie communiste.

Pourquoi ce système s’est-il enrayé dans les années 1970? La réponse reste très débattue (la question est d’où vient la baisse des gains de productivité?).

En tout cas, l’inflation s’est invitée dans le compromis social et elle l’a fait entrer dans une spirale de hausse les coûts et les salaires. Pour ramener la hausse des prix à des niveaux soutenables, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont opté pour le libéralisme:

 plus de concurrence, moins de régulation étatiste, laisser les marchés libres. Au niveau micro, l’essentiel a été le changement de statut de l’entrepreneur qui de manager-allié des employés est devenu le représentant-serviteur des actionnaires, en recevant des rémunérations liées aux rendements et à la valeur en bourse.  

Ce régime de capitalisme anglo-saxon s’est rapidement imposé à l’ensemble du monde développé, même si beaucoup de nuances subsistent, j’y reviendrai.

La succession des crises

Ce libéralisme a-t-il réussi? Là aussi la réponse fait débat.

Disons que l’inflation a été combattue avec succès, l’innovation est devenue la règle, le capitalisme est devenu schumpétérien. La croissance est revenue, mais elle est aussi devenue très irrégulière, les crises financières se sont succédé jusqu’à celle des subprimes de 2007. Le manque de régulation est apparu alors criant, le laisser-faire aveugle accordé au marché est désigné comme la cause de la crise.

Mais entre-temps, la mondialisation a permis à ce capitalisme anglo-saxon, nommé ultra-libéral par l’extrême gauche, de briser le compromis fordiste.

Les grandes productions intégrées ont été morcelées et les sous-éléments de production ont été éclatés au plus-offrant. La compétition entre les firmes est entrée dans les entreprises, entre les services, entre les usines, entre les pays. 

Les salaires ont été comparés avec ceux d’à-côté ou même de plus loin, de Chine, et la logique du «bon salaire qui fait les bons débouchés» a été inversée: seuls les employés qui offraient une «valeur ajoutée» spécifique, technologique en résumé, ont vu leur revenu croître. La Chine et les autres émergents offrent les débouchés nécessaires.

Les inégalités, en baisse durant les années d’après la Grande crise, sont reparties dans l’autre sens. Encore qu’il faille nuancer ici aussi, les mécanismes de redistribution assurant dans des pays comme la France une relative stabilité des indices.

De retour dans l’actualité

La précarité des emplois, les inégalités, la mondialisation et pour achever le tout la crise financière, ont donné une image d’un nouveau capitalisme pré-fordien qui retrouvait sa dureté du XIXe siècle.

La lutte des classes, dans ce contexte, retrouvait de l’actualité. Et à gauche, s’est imposée, y compris au sein du PS, l’analyse qu’il fallait être dur contre ce capitalisme dur. Que la classe moyenne rejoignait la classe prolétaire d’hier et que ne profitait plus du système qu’une petite élite mondialisée. Les PDG, les riches, les gros possédants, les actionnaires, les banquiers… tous dans le même sac des exploiteurs des masses.

Sur ce substrat analytique, la gauche de la gauche en est revenue à un «combat» contre la classe des riches avec comme seule philosophie de leur reprendre ce qu’ils ont pris aux autres. La lutte des classes est de retour: c’est la seule solution.

Deux questions à partir de là. Cette analyse est-elle suffisante? A quelle politique conduit-elle?

Des «bienfaits» du capitalisme

Cette analyse est globalement juste, je renvoie ici aux ouvrages de Michel Aglietta. Mais elle doit être beaucoup nuancée puisque le capitalisme anglo-saxon est une forme pure qui ne s’applique en vérité nulle part tel quel. Même aux Etats-Unis, l’Etat intervient, même outre-Manche il y a des institutions politiques qui font perdurer beaucoup du modèle fordiste.

Le capitalisme en Allemagne reste «rhénan», les syndicats comptent beaucoup. En France, l’Etat est demeuré présent sinon puissant, le code social reste très lié aux formes de la grande entreprise de 1945 et les inégalités sont limitées.

Autrement dit, le national compte encore beaucoup devant la mondialisation, nous sommes très loin d’une forme pure d’un ultra-libéralisme global. Premier argument.

Deuxième argument, la mondialisation n’a pas eu qu’un effet destructeur. 

Elle offre des marchés à ceux qui savent les conquérir. Pour les pays qui savent s’adapter, au total la balance est très positive: l’Europe du nord le démontre. 

En outre, il est difficile à un militant de gauche de se plaindre de la sortie de la pauvreté de milliards d’êtres humains. Le sud doit son émergence à la mondialisation, cela devrait suffire pour la soutenir.

Troisième argument:

 l’évolution du monde doit beaucoup à la technologie. Aux Etats-Unis, les inégalités viennent de la formidable explosion des métiers Internet ou bio-tech. Otez des statistiques les régions où ils se concentrent (Silicon Valley, Boston…) et les indices de Gini (mesure des inégalités) ont peu changé. Dans l’autre sens, le capitalisme coupe-gorge à l’américaine n’est pas forcément nécessaire à la floraison d’innovation schumpétériennes.

Que faire?

Deuxième question: que faire? La lutte des classes n’ouvre pas de solution pratique. Elle ne l’ouvrait pas au début du siècle dernier: l’effondrement du soviétisme est là pour le montrer. Elle n’en ouvre pas plus au début du XXIe. 

Car «prendre aux riches» est une politique qui est immédiatement contournée: ils s’en vont. Les 75% de François Hollande en font la triste démonstration. Dans une société où sont mobiles le capital et les hommes de talents (bon traders comme bons acteurs), il est illusoire de penser que les «cogner» est payant. Au contraire.

La question reste de trouver comment «adoucir» le capitalisme redevenu dur. La réponse sociale-démocrate qui cherche dans le compromis n’est pas «forcément perdante» devant un adversaire plus fort qu’elle, comme le disent les partisans de la «lutte». 

Au contraire: il est possible de trouver le chemin qui préserve ce qu’il est socialement nécessaire et qui autorise ce qui est économiquement dynamique. Le chemin de l’adaptation n’est pas celui du renoncement. 

La crise détourne du libéralisme, elle ne le condamne pas à mort. Il faut chercher à rebâtir un compromis post-libéral et non pas rêver à revenir aux compromis de 1945. La sociale-démocratie doit se renouveler, être inventive, technologique, pragmatique, tournée vers l’avenir.

Eric Le Boucher

http://www.slate.fr/story/66991/lutte-des-classes-capitalisme-gauche

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Y’en a marre des députés et surtout du coût de leurs régimes de retraite pour le contribuables

Posté par ippolito le 16 janvier 2013

Retraite des députés

Combien coûte le régime de retraite des députés ?

Le régime de retraite des députés fonctionne par répartition. Qui paye la retraite des députés ?

La caisse de retraite des députés n’est financée qu’à 12 % par les cotisations des députés, le reste étant financé par une subvention votée par les parlementaires et payée par l’Etat.

Le régime de retraite des députés coûte 60 millions d’euros par an, dont 52 millions d’euros financés par les contribuables. Chaque député touche une retraite de 2700 euros par mois, dont 2 376 euros sont payés par les contribuables.

Les députés peuvent cotiser double pendant 15 ans, puis 1,5 fois les 5 années suivantes. Pour chaque euro cotisé, un député touchera 6 euros à la retraite, contre 1 à 1,5 euro pour un contribuable. Ainsi, en seulement 22,5 années un député validera l’équivalent d’une carrière pleine, soit 40 annuités ( voir Réforme des retraites : les députés maintiennent leurs privilèges).

source: http://paiecheck.com

http://www.observatoiredessubventions.com/2013/retraite-des-deputes/

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Y’en a marre du chômage et surtout des promesses de Hollande

Posté par ippolito le 16 janvier 2013

Chômage: l’Unédic ne croit pas aux promesses de Hollande

L’organisme en charge de l’assurance chômage prévoit une augmentation du nombre de demandeurs d’emploi de près de 180.000 personnes cette année.

L’Unédic a annoncé qu’elle s’attendait à une augmentation du nombre de demandeurs d’emploi sans activité de 180.000 personnes au total en 2013. 

L’Unédic (assurance chômage) a revu à la hausse lundi 14 janvier ses prévisions de déficit pour 2013, à 5 milliards d’euros, estimant que le nombre de chômeurs allait croître de 178.800 personnes, à un rythme toutefois ralenti par rapport à 2012.

Pour 2012, l’organisme prévoit une hausse de 322.400 demandeurs d’emploi potentiellement indemnisables et un déficit de 2,7 milliards d’euros. En septembre, l’Unédic prévoyait pour 2012 un déficit de 2,6 milliards et pour 2013 un déficit de 4,1 milliards.

18,6 milliards de dettes à fin 2013

Au total la dette -déficit cumulé- de l’assurance chômage devrait s’élever à 13,8 milliards fin 2012 (au lieu de 13,6 prévus) et à 18,6 milliards fin 2013 (au lieu de 17,7).

Ces nouvelles prévisions sont basées sur des hypothèses de croissance encore révisées à la baisse depuis la dernière communication de l’Unédic qui retient désormais +0,1% sur 2013.

Ainsi, pour 2013, l’Unédic anticipe 174.000 destructions d’emplois, après 82.100 disparitions estimées en 2012.

L’accord sur la sécurisation de l’emploi pas suffisant dans l’immédiat

Des prévisions qui contrastent avec les promesses de François Hollande, qui compte inverser la courbe du chômage dès le deuxième semestre 2013.

« 2013 va rester une année extrêmement difficile », a commenté le président de l’Unédic Jean-François Pilliard.

Interrogé sur l’accord sur la sécurisation de l’emploi trouvé vendredi 11 janvier, il a estimé que celui-ci « devrait être bénéfique en termes d’emploi ». « Il faut être lucide, cela présuppose deux choses: un retour à la croissance et des changements du comportement des entreprises, qui ne vont pas se faire du jour au lendemain sur un claquement de doigt », a-t-il ajouté.

Créé le 14-01-2013 à 12h18 – Mis à jour à 12h36Par Challenges.fr

http://www.challenges.fr/economie/20130114.CHA5078/chomage-l-unedic-ne-croit-pas-aux-promesses-de-hollande.html

Publié dans Y'en a marre de François Hollande, Y'en a marre des mensonges, Y'en a marre des promesses non tenues, Y'en a marre du chômage | Pas de Commentaire »

 

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