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Y’en a marre de l’augmentation à venir des prix de l’électricité

Posté par ippolito le 20 février 2013

Les prix de l’électricité pourraient bondir de 30% d’ici à 2017

La facture moyenne d’électricité des ménages français devrait bondir de 30% d’ici à 2017, selon des projections de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) publiées lundi.

Le régulateur précise dans un rapport sur les marchés de détail de l’énergie que cette hausse sera due pour plus du tiers à l’augmentation de la contribution au service public de l’électricité (CSPE), laquelle s’explique pour l’essentiel par le développement des énergies renouvelables.

La CRE, qui avait déjà évoqué une augmentation de l’ordre de 30% des ‘tarifs bleus’ (tarifs réglementés destinés aux ménages et petits professionnels) à l’horizon 2016, souligne toutefois que les hausses de prix seront moindres pour les entreprises et les industriels, avec des projections de +23,7% pour les clients au ‘tarif jaune’ et de +16% pour les clients au ‘tarif vert’.

EDF a fait savoir qu’il discutait avec l’Etat en vue d’obtenir des augmentations de tarifs lui permettant de financer ses investissements en France.

Contraint d’investir massivement dans son parc de production et ses réseaux de distribution, le groupe attend notamment de l’Etat qu’il établisse avant la fin de l’année une formule fixant les hausses du prix auquel il doit vendre à la concurrence une partie de sa production d’électricité d’origine nucléaire (Arenh).

Ce prix atteint 42 euros depuis début 2012. Révisé chaque année, il doit être intégré dans les tarifs d’ici à 2016, au même titre que les coûts d’acheminement (Turpe) et de commercialisation de l’électricité, en vertu de la loi sur la nouvelle organisation du marché de l’électricité (Nome).

Avec un Arenh de 42 euros, la CRE souligne que les fournisseurs alternatifs ne sont toujours pas en mesure de proposer des offres plus compétitives que les tarifs réglementés.

Pour assurer « un développement effectif de la concurrence », le régulateur préconise ainsi que les tarifs « soient construits au plus vite par empilement du coût de l’Arenh, du coût du complément d’approvisionnement sur le marché de gros, des coûts commerciaux et du Turpe, sans attendre l’échéance du 31 décembre 2015 prévue par le code de l’énergie ».

« A cette fin, le décret précisant les modalités de fixation des tarifs réglementés de vente d’électricité par empilement des coûts, prévu par le code de l’énergie, devrait être publié dès l’année 2013 afin de servir de cadre réglementaire aux évolutions tarifaires suivantes. »

Concernant les prix du gaz, la CRE propose une suppression des tarifs réglementés de vente de gaz naturel pour les grands consommateurs étant donné la part de plus en plus réduite de ces tarifs dans la fourniture des clients industriels en gaz, « signe d’une concurrence effective et efficace ».

Benjamin Mallet, édité par Dominique Rodriguez

http://www.rmc.fr/editorial/350414/les-prix-de-lelectricite-pourraient-bondir-de-30pour-cent-dici-a-2017/

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Y’en a marre du chômage et surtout de la détresse des gens

Posté par ippolito le 20 février 2013

La détresse des chômeurs en fin de droits : Outre le suicide à Nantes et le drame survenu à Saint-Ouen, la journée de vendredi a été marquée par trois autres tentatives d’immolation.

Après un suicide à Nantes, le chômage semble à l’origine de plusieurs tentatives d’immolation par le feu

Un homme de 49 ans qui a tenté de s’immoler par le feu en pleine rue, vendredi 15 février, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a affirmé aux secours être un chômeur en fin de droits d’indemnisation. Transporté à l’hôpital Saint-Louis à Paris, il souffre de  » quelques brûlures sérieuses, mais ses jours ne sont pas en danger « , a indiqué la préfecture de Seine-Saint-Denis. 

Ce drame intervient deux jours après le décès d’un chômeur en fin de droits, qui s’est suicidé, mercredi 13 février, à Nantes, en s’immolant par le feu devant l’agence Pôle Emploi dont il dépendait.

Ces derniers jours, plusieurs autres tentatives d’immolation par le feu ont été constatées. Le 15 février au matin, un adolescent de 16 ans a tenté de faire de même dans un collège de La Rochelle, affirmant avoir été traumatisé par le drame de Nantes. 

Un homme d’une trentaine d’années a également menacé de s’immoler par le feu devant un supermarché à Beaune (Côte-d’Or), avant d’être maîtrisé par les secours. 

Un autre homme a fait une tentative à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie) dans sa voiture, sur le parking du magasin dont il est le gérant.

Série d’immolations après le suicide de Nantes

Vendredi, un homme de 49 ans, lui aussi chômeur en fin de droits, a tenté de se tuer par le feu

Détresse liée au chômage, à des problèmes personnels ou psychologiques, phénomène de contagion ? Deux jours après le décès d’un chômeur en fin de droits qui s’est immolé par le feu devant une agence de Pôle emploi à Nantes, un homme de 49 ans, lui aussi sans emploi, a tenté, vendredi 15 février, de se suicider de la même manière en pleine rue, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). 

Hospitalisé à l’hôpital Saint-Louis à Paris, il souffre de brûlures aux premier et deuxième degrés, mais ses jours ne sont pas en danger.

Alors que le premier cas avait suscité de nombreuses réactions jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, le drame de Saint-Ouen n’a donné lieu à aucune prise de parole officielle.  » Ce chômeur était bien inscrit à Pôle emploi, mais il n’avait jamais fait part de son intention de se suicider « , indique Jean Bassères, le directeur de Pôle emploi. 

Mercredi, juste après l’immolation de Djamal Chaab, à Nantes, M. Bassères avait immédiatement rendu public l’enchaînement des événements qui avaient précédé l’immolation. Il est vrai que le chômeur avait publiquement mis en cause l’agence nationale pour justifier son suicide.

Vendredi, la direction de Pôle emploi insistait sur la différence de contexte et refusait de rentrer dans les détails de la situation du chômeur tant que ses motivations n’ont pas été éclaircies. Même silence au ministère du travail et de l’emploi, alors que Michel Sapin avait sauté dans le premier train mercredi pour se rendre à Nantes.

Le drame de Saint-Ouen s’est déroulé rue Emile-Zola, en face d’une école élémentaire. Vers 11 heures du matin, l’homme a mis le feu à ses vêtements, en bas de l’immeuble où il vivait depuis près de six ans. 

C’est Valérie Renault, la directrice de l’école primaire voisine, qui a rapidement alerté les pompiers. Sa fille a éteint les flammes du pantalon, tandis qu’un ouvrier retirait la chemise enflammée de l’homme.  » En attendant les secours, il a dit à ma fille qu’il était seul et sans travail « , raconte la directrice.

Selon l’un de ses voisins, l’homme, propriétaire de son appartement, aurait perdu sa femme en décembre 2009. Il avait travaillé dans le commerce avant d’enchaîner depuis quelques années stages et petits boulots dans la vente.

 » Il était un peu désespéré, déstabilisé par la solitude « , témoigne Thomas Dangin, un ancien voisin.  » Il avait du mal à trouver ses repères, il passait beaucoup de temps dans le café Internet en bas de l’immeuble et ne parlait que de Facebook. «  Un autre voisin, qui a tenu à garder l’anonymat, rapporte que l’homme pouvait  » passer des journées à hurler « .  » Il me semblait un peu déséquilibré, parfois incohérent dans ce qu’il disait. Il a récemment cassé sa fenêtre en pleine journée. « 

Selon la préfecture de Bobigny, la victime touchait l’allocation de solidarité spécifique (ASS), réservée aux demandeurs d’emploi ayant épuisé leurs droits au chômage. Il aurait été reçu la semaine dernière par l’agence de Saint-Ouen dans laquelle il était inscrit.

Même si les raisons qui poussent une personne à mettre fin à sa vie sont souvent insondables, pour le psychiatre et professeur de médecine légale Michel Debout, la crise économique n’est pas étrangère à l’augmentation de ces gestes de désespoir. 

En 2012, ce médecin, qui alerte depuis plusieurs années les pouvoirs publics sur la détresse psychologique des chômeurs, a calculé que le marasme économique avait généré 750 suicides et 10 780 tentatives supplémentaires entre 2008 et 2011.

La majorité des suicides se passent dans l’espace privé, mais certains choisissent de montrer leur désespérance à la face du monde par un acte spectaculaire comme l’immolation par le feu.  » Ce geste est à la fois sacrificiel et protestataire, analyse M. Debout.

 L’individu qui a recours à cette forme de suicide le fait non seulement parce qu’il estime que c’est la dernière façon de se faire entendre, mais aussi pour interpeller la société. « 

Outre le drame survenu à Saint-Ouen, la journée de vendredi a été marquée par trois autres tentatives d’immolation. En soirée un gérant de magasin de sport, à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), s’est aspergé d’un liquide inflammable. Gravement blessé, il a été transporté à l’hôpital. 

Plus tôt dans la journée, un collégien de 16 ans de La Rochelle et un homme d’une trentaine d’années de Beaune (Côte-d’Or) ont menacé de commettre le même geste.

Malgré des profils et des motivations a priori différents, ces immolations en série ne surprennent pas les spécialistes.  » Il peut y avoir un effet d’imitation, voire d’identification chez certaines personnes fragiles, qui voient dans le suicide des autres un signe, un déclic pour franchir à leur tour le pas « , explique M. Debout, pour qui la création d’un observatoire sur le suicide pour mieux connaître et prévenir ce risque est plus que jamais une nécessité en temps de crise.

Une revendication ancienne qui pourrait aboutir. Mardi 12 février, la ministre de la santé, Marisol Touraine, lors un discours devant le Conseil économique, social et environnemental, s’est engagée dans ce sens.

http://resistanceinventerre.wordpress.com/2013/02/19/la-detresse-des-chomeurs-en-fin-de-droits-outre-le-suicide-a-nantes-et-le-drame-survenu-a-saint-ouen-la-journee-de-vendredi-a-ete-marquee-par-trois-autres-tentatives-dimmolation/

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Y’en a marre de l’union européenne et surtout de ces gaspillages

Posté par ippolito le 20 février 2013

L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet

Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de « trolls » sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.

C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.

Au cœur de cette nouvelle stratégie : « des outils de contrôle de l’opinion publique » destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.

Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les « sujets tendances » au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ;

 il s’agit pour eux de « se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes« .

Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les « trolls » européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que « l’Europe est le problème« , et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est « plus d’Europe« , et non pas « moins d’Europe« .

Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce « premier empire non impérial » qu’est l’UE, dixit Barroso.

En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en « analyse qualitative des médias » serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.

Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une « république bananière« .

http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet/

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Y’en a marre des salaires indécents des grands patrons et surtout du salaire de monsieur Carlos Ghosn

Posté par ippolito le 20 février 2013

Carlos Ghosn : l’affront

Le patron de Renault a fait un geste sur son salaire. Qui ressemble fort à un bras d’honneur… 

Il y a quelques années, les gazettes françaises et japonaises l’avaient surnommé « le samouraï » pour la maestria quasi militaire avec laquelle il avait redressé Nissan. Un titre largement usurpé : les samouraïs avaient un sens du devoir qui pouvaient les mener jusqu’au sacrifice suprême. 

Pas Carlos Ghosn. En guise de sacrifice, le ci-devant patron de Renault-Nissan se fend d’une aumône : il vient d’annoncer qu’il acceptait de reporter 30 % de son salaire variable au 31 décembre 2016, sous réserve que l’accord de compétitivité qu’il veut imposer aux salariés de Renault soit validé par les syndicats. 

Un accord qui prévoit 8 260 suppressions de postes – en théorie sans fermeture d’usine ni licenciements secs – ainsi que le gel des salaires et l’allongement du temps de travail des ouvriers.

Comprenons bien : Monsieur Ghosn devrait gagner en 2013 plus de 12 millions d’euros, en incluant ces émoluments impériaux comme Pdg de Nissan, soit un revenu journalier – oui, oui, journalier – de 33 000 euros. 

En renonçant à toucher cette année 430 000 euros de variable, il va devoir se contenter de 31 800 euros/jour. Le plus fort, c’est qu’il n’y renonce même pas : il diffère seulement dans le temps le versement de cette somme.

S’il tient sa promesse de ne pas faire de plan social, il récupérera cette partie de son bonus. Les Japonais, qu’il connaît bien, fuient rarement leurs responsabilités : lorsqu’ils ont fauté, ils démissionnent. Monsieur Ghosn se prive temporairement de 3,5 % de son salaire. C’est un autre choix. 

http://www.marianne.net/Carlos-Ghosn-l-affront_a226580.html

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Y’en à marre du cumul des mandats et surtout des promesses non tenues

Posté par ippolito le 20 février 2013

Le top 10 des élus qui cumulent les mandats et les fonctions

La loi sur le non-cumul des mandats pourrait être repoussée à 2017. C’est Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, qui l’a suggéré en raison du blocage institutionnel (il faudrait réformer la constitution pour que les députés choisissant leur mandat local puissent être remplacés par leur suppléant).

 En réalité, ce sont surtout les parlementaires qui freinent des quatre fers. Et pour cause : « 83 % des parlementaires sont des « cumulards » : 476 députés (sur 577) et 267 sénateurs (sur 348) sont à la fois titulaires d’un mandat parlementaire – député ou sénateur – et d’un mandat exécutif local », assure Le Parisien Magazine.

L’hebdomadaire s’est d’ailleurs amusé à établir un top 10 des élus qui cumulent le plus les fonctions et les mandats. A la première place du classement, on trouve le député maire de Caen, Philippe Duron, qui cumule… 4 mandats et 24 fonctions. 

Il est à la fois député, maire, président de l’agglomération Caen-la-Mer et de Caen Métropole (qui chapeaute près de 143 communes)… mais aussi président de la Conférence de l’arc atlantique, président du conseil d’administration de Normandie Aménagement, président du mémorial de la bataille de Normandie, administrateur du Comité pour l’organisation des manifestations touristiques et économiques de Caen, vice-président de l’Union amicale des maires du Calvados, membre du bureau de l’Association des maires des grandes villes de France. Sans oublier un poste incontournable : représentant de l’Association de la gestion de la fourrière et du refuge d’animaux de Verson (Calvados).

A la deuxième place du classement, on trouve l’ancien président du Sénat, Gérard Larcher. L’actuel sénateur-maire de Rambouillet (dans les Yvelines) aligne 22 titres : 3 mandats et 19 fonctions. 

A la troisième marche du podium, on trouve André Santini : le député-maire d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) cumule 3 mandats et 17 fonctions.

 Un cumul qui n’empêche pas le travail dans le privé : le 10ème du classement, Christian Gaubert (3 mandats et 10 fonctions) « trouve encore le temps de recevoir des patients trois matins par semaine dans son cabinet de dentiste », ironise Le Parisien Magazine.

Que répondent les intéressés ? « Cela répond à une logique territoriale », se justifie par exemple l’un d’entre eux. « Cette fonction ne prend pas beaucoup de temps ; elle est honorifique, rattachée automatiquement à un mandat ou bénévole », assure l’entourage d’un autre. 

Certes, ce cumul illimité n’est pas synonyme de revenus illimités. Depuis 2010, les parlementaires ne peuvent percevoir plus de 8 272 euros de revenus mensuels, toutes indemnités cumulées. 

Seulement, avec le principe de l’écrêtement, un élu peut distribuer le trop plein à d’autres élus (et parfois, ça reste en famille, comme pour les Balkany). Et mais « même si les élus ne cumulent pas leurs indemnités en additionnant les mandats, il reste les avantages en nature, comme le logement, la voiture de fonction et les secrétaires, qui parfois doublonnent », relève Le Parisien Magazine.

Avec des situations parfois cocasses : « Il serait ainsi arrivé que deux chauffeurs attendent devant son domicile le député et président du conseil général UDI de Côte-d’Or, François Sauvadet ». Au moins, il n’était pas en retard à son rendez-vous.

Voici l’intégralité du Top 10 :

1. Philippe Duron (PS) : 28 titres (4 mandats et 24 fonctions)
2. Gérard Larcher (UMP) : 22 titres (3 mandats et 19 fonctions)
3. André Santini (UDI) : 20 titres (3 mandats et 17 fonctions)
4. François Rebsamen (PS) : 18 titres (3 mandats et 15 fonctions)
5. Gérard Collomb (PS) : 15 titres (3 mandats et 12 fonctions)
6. Charles de Courson (UDI) : 15 titres (4 mandats et 11 fonctions)
7. Jean-Claude Gaudin (UMP) : 14 titres (3 mandats et 11 fonctions)
8. Hervé Planchenault (UMP) : 14 titres (2 mandats et 12 fonctions)
9. Roland Ries (PS) : 13 titres (3 mandats et 10 fonctions)
10. Christian Gaubert (PS) : 13 titres (3 mandats et 10 fonctions)

*** Source
- Pascale Tournier, « Politique : les rois du cumul », Le Parisien Magazine, 08.02.2013

http://www.politique.net/2013021301-top-10-des-elus-qui-cumulent-les-mandats.htm

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