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Y’en a marre de la baisse du pouvoir d’achat des français surtout vue d’Europe

Posté par ippolito le 8 mars 2013

Vue d’Europe, la baisse du pouvoir d’achat des Français fait peur

Une étude de l’Insee permet une comparaison salariale en parité de pouvoir d’achat dans l’Union européenne. Le recul, sur un an, de la France est édifiant.

Les Français ont le sentiment que leur pouvoir d’achat baisse depuis des années, mais l’Insee s’évertue à expliquer que cet état de fait, s’il est avéré, est très récent.

Ses statisticiens ont soutenu mordicus que le pouvoir d’achat du revenu disponible des Français avait progressé de 0,9% en 2010 et de 0,5% en 2011. En unité de consommation – un indicateur qui prend en considération la taille des ménages – il a toutefois moins augmenté : 0,3% en 2010 avant de reculer de 0,1% en 2011 et de 0,8% en 2012 (estimation). 

Pourtant, à demi-mot, l’institut reconnaît dans une étude publiée ce mercredi 6 mars que la France a, en fait, vécu une vraie rupture en la matière dès 2010.

Il faut pour cela se plonger dans son étude « Emploi et salaires 2013″. L’Insee revient notamment sur le salaire brut annuel moyen, la comparaison salariale et coût du travail dans l’Union européenne en 2010. Des données très instructives qui permettent de comparer le salaire brut moyen annuel pays par pays. 

Salaire annuel moyen au 11e rang européen

Ainsi la France, avec un salaire moyen de 36.155 euros par an se situe en 11e position des pays de l’ex-Europe des 15, devant la Grèce, l’Italie, l’Espagne et le Portugal. 

Si l’on prend en compte l’ensemble des 27 Etats membres de l’UE, la fourchette des salaires bruts moyens annuels d’un travailleur à temps complet dans l’industrie et le tertiaire marchand reste très élevée : 58.840 euros au Danemark contre 4.396 euros en Bulgarie. 

Soit un rapport de 1 à 13. Un Allemand gagne ainsi 9,6 fois plus qu’un Bulgare, avec 42.400 euros en moyenne. Un Français touche quant à lui 8,2 fois plus qu’un Bulgare.

Mais si l’on tient compte du pouvoir d’achat le rapport n’est plus aussi marqué. L’Insee précise qu’il s’agit d’un taux de conversion monétaire qui permet d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies. Il exprime le rapport entre la quantité d’unités monétaires nécessaire dans des pays différents pour se procurer le même panier de biens et de services.

Ainsi en partant du salaire brut annuel moyen bulgare, qui devient le référent avec pour valeur 1, un Français, avec son salaire moyen annuel, peut s’acheter 3,3 fois plus de choses qu’un Bulgare dans ce fameux panier type. Ce rapport passe à 4,7 en Allemagne et 4,9 aux Pays-Bas.

Forte baisse par rapport à 2009

Si l’on regarde les mêmes données pour l’année précédente, le rapport pour la France était de 3,8 en parité de pouvoir d’achat. En un an, il a perdu 0,5 point.

 On pourrait donc en conclure que le pouvoir d’achat des Français a ainsi fortement reculé par rapport à ses voisins européens. Laurence Rioux, chef de la division salaires et activités à l’Insee,  justifie ce recul par la forte hausse de 8% du salaire moyenne annuel bulgare (4.090 euros en 2009 contre 4.396 euros en 2010). 

Mais là où le bât blesse, c’est que cette hausse n’a pas de répercussion sur le ratio entre la Bulgarie et l’Allemagne. Il reste d’une année sur l’autre à 4,7. Donc pourquoi la répercussion n’est pas là-même si seule la hausse du salaire bulgare est prise en compte?  

« Il y a autre chose qui entre en ligne de compte, c’est le pouvoir d’achat au niveau du pays. Si ça ne bouge pas, c’est que les prix ont évolué plus rapidement en Bulgarie qu’en Allemagne », explique la statisticienne.

 En gros, la hausse du pouvoir d’achat en Allemagne a été identique – en proportion – à celle observé en Bulgarie  alors qu’en France, cela n’a pas été le cas.

A l’échelle européenne, le pouvoir d’achat hexagonal a donc baissé. En 2009, la France figurait au 9e rang européen, ex-aequo avec la Finlande et l’Autriche. 

En 2010, elle n’occupait plus que le 12e rang, ex-aequo avec Chypre. Si l’on pousse la comparaison, la France s’écarte encore un peu plus des pays du Nord pour s’aligner avec les Etats du Sud. Pas sûr que ce soit une bonne nouvelle.

 http://www.challenges.fr/economie/20130305.CHA6942/vue-d-europe-la-baisse-du-pouvoir-d-achat-des-francais-fait-peur.html

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Y’en a marre du cumul des mandats et surtout des promesses non tenues

Posté par ippolito le 8 mars 2013

Le salaire de Nathalie Kosciusko-Morizet : 9 857 euros brut par mois grâce au cumul des mandats

Elle avait juré qu’elle ne quitterait pas sa ville de Longjumeau, elle sera finalement candidate à la mairie de Paris en 2014. A 40 ans, Nathalie Kosciusko-Morizet a déjà occupé de nombreux postes : 

maire, conseillère régionale d’Ile-de-France, secrétaire d’Etat à l’Economie numérique, ministre de l’Ecologie mais aussi secrétaire générale adjointe de l’UMP et porte-parole de Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle 2012.

Des postes qu’elle a souvent cumulés. Par paquet de deux (députée et conseillère régionale entre 2004 et 2007, ou ministre et maire entre 2010 et 2012) et par paquet de trois (secrétaire d’Etat, conseillère régionale et maire de Longjumeau entre 2008 et 2010). Un cumul des mandats classiques qui permet un cumul des indemnités.

Entre juin 2012 et février 2013, Nathalie Kosciusko-Morizet était à la fois députée et maire. D’après le magazine Capital, elle gagnait 7 100 euros brut par mois en tant que députée et 3 421 euros brut par mois en tant que maire de Longjumeau, soit 10 521 euros brut par mois. 

Un montant qui dépasse le plafond maximal autorisé pour un député : 9 857 euros brut par mois. Alors pourquoi gagnait-elle autant en tant que maire de Longjumeau, sachant qu’elle ne pourrait toucher cette somme ? 

Tout simplement parce qu’un député qui dépasse le plafond d’indemnités peut décider de reverser le surplus a un autre élu (ce serait dommage de faire des économies aux collectivités). C’est ce que faisait NKM, d’après le magazine Capital, en reversant les 664 euros à un autre élu.

Reste à savoir si NKM va s’engager à n’être que maire de Paris si elle est élue, ou si elle cumulera ses fonctions de maire avec d’autres fonctions comme elle en a eu l’habitude depuis 2004 à chacun de ses mandats. Un choix politique mais aussi financier : en tant que députée-maire, elle peut gagner 9 857 euros par mois. 

En tant que simple maire de Paris, elle ne gagnerait « que » 8 651 euros brut par mois (le salaire actuel de Bertrand Delanoë). Une vraie misère comparée aux 19 807 euros de salaire par mois qu’elle touchait quand elle était secrétaire d’Etat, maire et conseillère régionale entre 2008 et 2010. C’était la belle époque.

*** Source
- Etienne Gingembre, « Combien gagnent les élus de votre région ? », Capital n°257, février 2013

http://www.politique.net/2013030701-salaire-de-nkm.htm

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Y’en a marre du chômage et surtout de l’absence de reprise économique

Posté par ippolito le 8 mars 2013

Le taux de chômage en France au plus haut depuis 1999, à 10,2%

Le taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) a augmenté de 0,3 point au quatrième trimestre 2012 pour atteindre 10,2% en France métropolitaine et 10,6% avec les départements d’outre-mer (+0,4 point), selon les données publiées jeudi par l’Insee.

Il se situe, pour la France métropolitaine comme pour les chiffres globaux, à son plus haut niveau depuis 1999. Sur un an, sa hausse en métropole est de 0,8 point et de 3,4 points pour les 15-24 ans.

Le taux de chômage des 15-24 ans ressort à 25,7% en métropole, le plus haut niveau des statistiques diffusées par l’Insee, celui des 25-49 ans à 9,1% et celui des plus de 49 ans à 7,2%.

« Ça fait cinq ans que le chômage ne cesse d’augmenter dans notre pays », a déclaré le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, sur France Info. « C’est l’Europe et la zone euro qui s’enfoncent. C’est une des raisons pour lesquelles le gouvernement se bat, avec la Commission européenne, pour que des mesures de croissance soient prises. »

Le nombre de chômeurs ressort à 2,944 millions en métropole au quatrième trimestre 2012, soit 124.000 de plus qu’au troisième.

« Il semble que les chiffres publiés aujourd’hui montrent que la tendance commencée il y a près de deux ans se poursuit, ce qui signifie que le taux de chômage devrait atteindre 11,5% en 2013″, estime Julien Manceaux, économiste chez ING Financial Markets.

« C’est une vérité inconfortable pour François Hollande et un autre signe que la France est peut être en train de rejoindre le mauvais côté de la zone euro », ajoute-t-il.

Les autorités françaises continuent d’espérer une baisse du chômage d’ici fin 2013, un objectif que s’est fixé François Hollande et que de nombreux spécialistes jugent très difficile à atteindre en l’absence de reprise économique.

La Commission européenne prévoit pour sa part une poursuite de la hausse du chômage cette année comme l’an prochain, avec des taux atteignant 10,7% et 11,0% de la population active.

Au quatrième trimestre, 3,7 millions de personnes en métropole ne travaillaient pas mais souhaitaient le faire, qu’elles aient été ou non disponibles dans les deux semaines pour travailler et qu’elles aient ou non recherché un emploi.

Le taux d’emploi des 15-64 ans a augmenté de 0,2 point à 64,1% au quatrième trimestre, grâce à la forte hausse du taux d’emploi des 50-64 ans (+0,5 point, +2,1 points sur un an, à 57,7%).

Le taux d’emploi des 15-24 ans est resté stable 28,5% et celui des 25-49 ans a progressé de 0,1 point à 80,9%. C’est chez les 55-64 ans que la hausse est la plus marquée (+1 point, +3 points sur un an, à 45,8%).

Le taux d’emploi en CDI a baissé de 0,1 point et s’établit à 49,0% de la population des 15-64 ans. Le taux d’emploi en CDD/intérim a augmenté de 0,1 point à 6,7%.

L’Insee ne publie plus de taux de chômage mensuel depuis 2006, après une polémique sur sa méthode de calcul.

Selon le ministère du Travail et Pôle Emploi, le chômage a bondi en janvier pour atteindre son plus haut niveau depuis juillet 1997, progressant pour le 21e mois consécutif.

Le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A (ceux n’ayant exercé aucune activité) atteignait 3,169 millions en France métropolitaine fin janvier. En tenant compte des personnes exerçant une activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d’emploi atteignait 4,680 millions. Avec l’Outre-mer, ce chiffre était de 4,968 millions.

Jean-Baptiste Vey, édité par Patrick Vignal

http://www.capital.fr/carriere-management/actualites/le-taux-de-chomage-en-france-au-plus-haut-depuis-1999-a-10-2-817652

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Y’en a marre des conseils économiques et sociaux et surtout des placards dorés scandaleux

Posté par ippolito le 8 mars 2013

Conseils économiques et sociaux: à Paris mais aussi dans chaque région!!
 
On connaît le Conseil économique social et environnemental basé à Paris (Cese), mais les 26 Conseils économiques, sociaux et environnementaux régionaux sont beaucoup moins connus. Il faut dire qu’ils font peu parler d’eux ! Au fait, combien coûtent toutes ces organisations aux contribuables ?

Extraits de la monographie Contribuables Associés « Les Conseils économiques et sociaux » par Eric Letty, rédigée en octobre 2008 à l’occasion du 50è anniversaire de la création du Conseil économique et social.

On rappellera d’abord quelques données sur le CESE national, pour le plaisir :

- consulté moins de 5 fois par an, il a coûté 36.3 millions d’euros aux contribuables.
- il n’a aucun pouvoir de décision
- il présente une activité quasi-nulle pour un coût faramineux : l’équivalent de 1.4 millions d’euros LE rapport !
- une planque pour privilégiés (231 conseillers) : 81% du budget passent en indemnités et dépenses de personnel.
- participe largement au financement des centrales syndicales, toujours avec l’argent des contribuables

Que savons-nous des 26 CESE régionaux ?

Avec la loi de décentralisation de 1982, la gabegie du CESE s’est généralisée : 26 Conseils Economiques et Sociaux Régionaux (CESER) sont nés, entretenus par les régions.

- de 40 à 110 membres par région
- aucune responsabilité, rôle « consultatif »
- les conseillers fixent eux-mêmes librement le montant de leurs indemnités journalières (jetons de présence) et touchent des indemnités cumulables avec celles qu’ils reçoivent de leurs autres mandats.

Quel est le budget des CESER ?

Tous les CESER ne se valent pas. Malgré une productivité uniformément basse, leur budget peut varier de un à cinq. Sur ce sujet, certains CESER ne manifestent d’ailleurs aucun empressement à communiquer.

Ainsi, le CESER de Bourgogne, interrogé par nos soins sur le budget qui lui est octroyé en 2008, nous a opposé, en toute opacité, une fin de non-recevoir :

 « Nous ne donnons pas ce genre d’information ! » Nous en avons été d’autant plus surpris que le CESER de la région Centre venait très aimablement de nous fournir le même renseignement, en précisant d’ailleurs qu’il était accessible au public. (Il figure en effet dans les budgets votés par chaque conseil régional. Il n’est cependant jamais simple de l’y dénicher.) Le budget du CESER Bourgogne serait-il si inavouable, que l’on cache ici ce que celui du Centre n’hésite pas à publier ?

 Pour ne citer que quelques exemples :

- le budget du CESER d’Aquitaine a augmenté en 9 ans de 32,4%, passant de 1 720 000 euros en 1999 à 2 278 000 en 2008
- celui de Rhône-Alpes, de 33,9% (de 2 218 000 euros en 1999 à 2 970 000 en 2008)
- celui de la région Centre, de 39,3% (de 1 550 000 euros en 1999 à 2 159 000 en 2008)
- celui de Picardie, de 45% (de 650 000 euros en 1999 à 943 000 en 2008)
- celui de Bretagne, de 105.7% (de 1 264 000 euros en 1999 à 2 600 000 en 2008)
- le budget du CESER de Lorraine a augmenté de 142.8% (de 638 000 euros en 1999 à 1 549 000 en 2008) !

Cette évolution générale des budgets s’accompagne d’une augmentation du nombre des conseillers. Les frais généraux (loyers, électricité, téléphone, administration) ne sont même pas compris dans ces budgets, ils sont pris en charge directement par les conseils régionaux.

Conclusion :  IL FAUT SUPPRIMER LES CONSEILS ÉCONOMIQUES ET SOCIAUX  ! N’oubliez pas que c’est nous, les contribuables qui payons ce placard doré scandaleux !

http://www.lecri.fr/2013/03/06/conseils-economiques-et-sociaux-a-paris-mais-aussi-dans-chaque-region/39205

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Y’en a marre des réformes des retraites et surtout des mensonges

Posté par ippolito le 8 mars 2013

Retraites : le reniement c’est (presque) maintenant

Les responsables socialistes ne ménagent pas leur peine pour préparer le bon peuple à la mauvaise nouvelle : L’âge du départ à la retraite va être sévèrement reculé. non seulement les 62 ans – contre lesquels les socialistes avaient manifesté en 2010 – sont définitivement acquis, mais il va falloir beaucoup plus. 

Le député socialiste Jean-Marie Le Guen, spécialiste des problèmes de santé, propose ainsi d’ »avancer à 2015 le passage à 62 ans », initialement prévu pour 2017 par la loi Fillon. Contre laquelle les camarades de Le Guen, sous Sarkozy, avaient défilé sans relâche pensant des semaines.

« Travailler au-delà des 62 ans est inévitable« , affirme de son côté le député Pascal Terrasse, le monsieur retraite du PS, membre de la Commission d’orientation des retraites. 

Quant à Henri Emmanuelli, pilier de l’aile gauche du PS, il vient de découvrir que « des gens [passent] plus de temps à la retraite que dans la vie active (…). Une situation qui en put pas durer » et qui nécessite de « se poser la question de la durée de cotisation ».

Ce brusque changement de cap serait dû à la crise qui s’aggrave, répondent en cœur les ministres et responsables socialistes. Pas seulement. Car, dès le 12 octobre 2011, sept mois avant l’élection présidentielle, le même Pascal Terrasse écrivait déjà le scénario à venir. 

Dans une conférence à huis clos avec quelques grossiums du secteur de l’assurance,  il avait alors lâché : « En matière de retraites, il y a ce que les gens ont compris, ce que dit le PS et ce qu’on fera. Ce sont trois choses différentes. » Et de conclure :

 « La vérité, c’est qu’il faut que l’on aille à 65 ans (..) pour arriver à trouver un équilibre financier. » A l’époque, cette déclaration aurait dû rester confidentielle, mais une caméra cachée l’avait enregistrée, et l’Agence France-Presse en avait fait état.

Le lendemain soir, lors du débat de la primaire socialiste, l’opposant à Hollande sur France 2, Martine Aubry avait brandi cette dépêche AFP.

« Il y a une dépêche qui dit (…) qu’il fallait porter l’âge légal de la retraite de 60 à 65 ans », faisait mine de s’étonner la maire de Lille, ajoutant perfidement : « Je n’imagine pas que tu puisses être d’accord là-dessus. » Et Hollande de rétorquer : « Peut-être que tu as mal compris. »

La suite de l’histoire n’est pas loin de montrer que Martine avait bien pigé.

http://resistanceinventerre.wordpress.com/2013/03/07/retraites-le-reniement-cest-presque-maintenant/

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