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Y’en a marre des pilules de 3e et 4e génération !!!

Posté par ippolito le 28 mars 2013

Les pilules contraceptives causent 2.500 accidents par an

Les contraceptifs oraux sont aussi à l’origine de 20 « décès prématurés » par an, selon l’Agence du médicament (ANSM).

Les pilules contraceptives, toutes générations confondues, entraînent chaque année plus de 2.500 « accidents » par formation de caillots dans les veines et 20 « décès prématurés » de femmes, selon un rapport diffusé mardi 26 mars par l’Agence du médicament (ANSM).

Utilisés par 4,27 millions de femmes (chiffres de 2011), les contraceptifs oraux combinés (COC) provoquent chaque année « en moyenne » 2.529 accidents thromboemboliques veineux et « 20 décès prématurés », dont 14 sont « attribuables » aux pilules de 3e et 4e génération, indique ce rapport qui porte sur les années 2000 à 2011.

Ces décès sont liés à la survenue d’une embolie pulmonaire, forme la plus grave de l’accident thromboembolique, selon l’ANSM qui publie ce rapport dans le cadre du point régulier réalisé sur l’utilisation des pilules en France depuis l’alerte lancé en début d’année sur les pilules de 3e et 4 génération.

Les trois-quart des accidents dus aux pilules de 3e et 4e génération

Sur cette moyenne de « 20 décès prématurés » annuels dans les cinq ans suivant une embolie pulmonaire, 14 décès sont « attribuables » aux pilules de 3e et 4e génération tandis que 6 sont liés à la prise des pilules de 1e et 2e génération.

Sur le total des 2.529 accidents veineux annuels, 778 cas sont liés aux pilules de 1e et 2e générations, tandis que 1.751 dont attribuables aux pilules de 3 et 4e génération, selon la même étude.

Ces chiffres semblent ainsi confirmer les risques accrus de thrombose liés aux pilules de 3e et 4e génération, pointés du doigt par le ministère de la Santé et l’ANSM.

La ministre de la Santé Marisol Touraine a décidé d’encadrer plus strictement les prescriptions de ces pilules, avec l’obligation de certaines mentions par le médecin sur l’ordonnance, et de cesser de les rembourser dès mars, face à ces risques accrus.

L’ANSM estime que si les pilules de 3e et 4e génération n’avaient pas été prescrites, il y aurait eu 9 décès par an en moins et 1.167 accidents veineux de moins en France.

A utiliser en 2e intention

Pour l’Agence, le risque d’accidents thromboemboliques est « faible », mais plus important pour les femmes utilisatrices de pilules de 3 et 4e génération.

Les accidents et les décès associés à leur prise pourraient être réduits par « l’utilisation de moyens alternatifs de contraception » et par la « réduction des prescriptions » de ces contraceptifs qui ne devraient être utilisés qu’en deuxième intention, souligne l’Agence.

Des pilules contraceptives de 1e, 2e, 3e et 4e génération sont actuellement commercialisées en France. Le mot génération fait référence à l’évolution de leur composition.

Les pilules de 3e génération, apparues dans les années 80, font courir un risque d’accident thromboembolique deux fois plus élevé que les pilules de 2e génération.

Les chiffres de ventes de février montrent une réaction importante, avec une chute de 34% pour les pilules de 3 et 4e génération et une hausse de 27% pour les ventes de pilules de 1e et 2e génération, selon les statistiques diffusées mardi par l’ANSM.

(Avec AFP)

http://www.challenges.fr/france/20130326.CHA7612/les-pilules-contraceptives-causent-2-500-accidents-par-an.html

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Y’en a marre des beaux-arts de Nantes

Posté par ippolito le 28 mars 2013

32 millions pour les Beaux-Arts de Nantes

L’ école supérieure des beaux-arts, actuellement située près de l’hôtel de ville de Nantes, va être transférée sur l’île de Nantes.

Sur un budget total de 5 millions d’euros, l’ école supérieure des beaux-arts de Nantes dispose d’une contribution de fonctionnement de 3,5 millions d’euros provenant de la communauté de communes.

L’ école supérieure des beaux-arts va déménager sur l’île de Nantes, sous les halles Alstom 4 et 5. Mais le coût de ce chantier est en train de déraper. En effet, le coût du transfert de l’ école supérieure des beaux-arts sur l’île de Nantes était initialement estimé à 23 millions d’euros.

 Le coût de ce projet est aujourd’hui évalué à 32 millions d’euros ! La mise en service de l’ école supérieure des beaux-arts était prévue pour 2014, mais a été repoussée à fin 2015.

Gilles Retière, président de Nantes Métropole, explique ainsi le problème lié au nouveau lieu d’accueil des Beaux-Arts de Nantes: “Il s’agit de structures industrielles qui n’ont pas été conçues pour accueillir un établissement d’enseignement supérieur: c’est une source de surcoûts“.

La mairie de Nantes reconnaît que les travaux sont complexes, avec notamment des problèmes de mise en conformité. En 2012, le respect des normes sismiques et des normes de sécurité incendie des bâtiments avaient entraîné plus de 1,5 million d’euros de surcoûts pour les Beaux-Arts de Nantes. Et la facture risque encore de s’alourdir.

source: www.marianne.net

http://www.observatoiredessubventions.com/2013/32-millions-pour-les-beaux-arts-de-nantes/

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Y’en a marre des impôts et surtout de la baisse de notre pouvoir d’achat

Posté par ippolito le 28 mars 2013

Les impôts ont fait chuter le pouvoir d’achat en 2012

L’an dernier, les revenus des ménages français ont été rognés par une forte hausse de la fiscalité.

La théorie économique l’assure, les chiffres le prouvent: trop d’impôts plombe le revenu des ménages. Ce mercredi, l’Insee a indiqué que leur pouvoir d’achat s’est contracté de 0,8 % au quatrième trimestre 2012, après avoir stagné pendant l’été. 

Sur l’ensemble de l’année, il baisse de 0,4 % après avoir progressé de 0,5 % en 2011. C’est le premier recul du pouvoir d’achat des Français depuis 1984 – il avait alors plongé de 1,1 % -, relève l’Insee.

Encore plus inquiétant, ce chiffre mesuré «par unité de consommation» – qui colle davantage à la réalité, car tient compte de la croissance de la population et de la composition d’un ménage, donc de la mutualisation de certaines dépenses (habitation, électroménager, électricité, etc.) – se replie de 1 % en 2012. «La forte hausse des impôts (+ 10 % en 2012 après + 6,6 % en 2011) est le principal facteur de cette baisse», explique l’étude publiée hier.

De fait, les ménages n’ont pas été épargnés par la pression fis­cale. Les mesures de loi de finances initiales du gouvernement de François Fillon (gel du barème de l’impôt sur le revenu, plafonnement des niches, etc.) ont ­commencé à peser ; mais ce sont surtout celles de la loi de finances rectificative pour 2012 votée l’été dernier par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault (fin de la défiscalisation sur les heures supplémentaires, contribution exceptionnelle sur la fortune, etc.) qui sont pointées du doigt par l’Insee. Sur le seul 4e trimestre 2012, la hausse des impôts sur le revenu et le patrimoine a été de 7 % et celle des cotisations sociales de 2 %…

Les quelques mesures pour soutenir le niveau de vie des Français prises par le chef de l’État à son arrivée en fonction (prime de rentrée scolaire, mesure temporaire des prix à la pompe, etc.) et le dynamisme des prestations sociales ne suffisent pas à compenser. 

Si la consommation des ménages a stagné mais ne s’est pas effondrée en 2012, c’est parce ces derniers ont puisé dans leurs économies, le taux d’épargne étant passé de 16,2 % en début d’année à 15,6 % en fin d’année.

Des taux d’imposition «excessifs»

Les ménages pourront-ils tenir ce rythme en 2013? Rien n’est moins sûr, alors que les impôts vont continuer à augmenter en 2013: quelque 30 milliards d’efforts sont en effets demandés cette année aux Français, dont 20 milliards de hausses d’impôts (une moitié pour les entreprises, l’autre pour les ménages) et 10 milliards d’économies.

Mais le gouvernement – qui s’est engagé à réduire drastiquement son déficit public – sait que poursuivre sa politique économique en se basant principalement sur une hausse des prélèvements n’est pas tenable, car met en péril notre compétitivité, notre attractivité et un retour – encore hypothétique – de la croissance.

«Je pense qu’on atteint des taux d’imposition dans notre pays que beaucoup de gens jugent excessifs, des taux de prélèvement obligatoire qui ne peuvent pas être dépassés», a reconnu Pierre Moscovici, face aux lecteurs du Parisien.

 Et de rappeler qu’il souhaite qu’en 2014, l’équilibre entre impôts et dépenses «s’inverse» et qu’on soit dans «une proportion beaucoup plus forte d’économies sur les dépenses publiques que d’impôts supplémentaires». Le ministre de l’Économie l’assure, pour la suite: le gouvernement vise «la stabilité fiscale» sur la fin du quinquennat.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/03/27/20002-20130327ARTFIG00678-les-impots-ont-fait-chuter-le-pouvoir-d-achat-en-2012.php

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