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Y’en a marre du 59 Rivoli surtout pour les contribuables

Posté par ippolito le 6 mai 2013

Combien coûte le 59 Rivoli ?

Rien ne va plus au squat du 59 Rivoli, à Paris. Gaspard Delanoë, cofondateur du 59 Rivoli, est actuellement en conflit avec la mairie de Paris.

“On nous traite comme des moins que rien. La mairie veut nous disqualifier !“, estime Gaspard Delanoë. Le 59 Rivoli est le plus célèbre squat d’ Europe, et l’un des fleurons de la culture parisienne.

 La ville de Paris avait racheté le 59 Rivoli en 2002. La réhabilitation du 59 Rivoli avait coûté la bagatelle de 11 millions d’euros à la ville de Paris.

La convention d’ occupation du 59 Rivoli, signée en 2009, touche à sa fin et l’association se voit déjà revenue à l’état de squatteur.

La ville de Paris a récemment mené un audit sur la manière dont les artistes gèrent le 59 Rivoli. Le rapport de cet audit pointe de sévères manquements: flous comptables,  accès du public à des espaces interdits, locaux mal entretenus et dégradés, mégots de cigarettes, etc… Le rapport préconise un rééquilibrage des résidences au profit des artistes temporaires.

De son côté, la mairie de Paris affirme ne pas vouloir faire partir le collectif du 59 Rivoli mais impose désormais sa présence lors de l’attribution des ateliers aux nouveaux artistes. Si les artistes refusent les conditions de la mairie de Paris, ils retrouveront alors bientôt sans droit ni titre.

N’est-il pas temps de mettre fin à cette gabegie ?

source: Metro

http://www.observatoiredessubventions.com/2013/combien-coute-le-59-rivoli/

Publié dans Y'en a marre des gaspillages de l'argent public | Pas de Commentaire »

Y’en a marre des magouilles

Posté par ippolito le 6 mai 2013

Ministère de l’Intérieur : dix millions en liquide pour les enquêtes

Oui, de l’argent circule Place Beauvau. Par millions. Ces sommes sont affectées à la recherche du renseignement et à la gratification des personnels.

Vingt à vingt-cinq mille euros de factures payées en liquide pour des « achats de la vie courante » comme « de l’électroménager »! Au regard du demi-million d’euros dont la trace du versement en 2008 a été retrouvée sur le relevé de compte bancaire de Claude Guéant lors d’une perquisition à son domicile, en février, la somme peut paraître ridicule. 

Elle n’en a pas moins mis le feu aux poudres dans un ministère où les questions d’argent liquide restent sensibles.

Le malaise a grandi au fur et à mesure des interventions médiatiques que l’ancien ministre de l’Intérieur a multipliées pour tenter de se justifier depuis les révélations du Canard enchaîné. 

S’agissait-il de primes de cabinet réglées en espèces (3.000 à 5.000 euros mensuels)? Soit, mais alors le système aurait dû s’arrêter en 2002 après la directive du Premier ministre Jospin. Ont-elles perduré à l’Intérieur jusqu’en 2006 ? Oui, mais au profit de 400 personnes dans un cadre « dont le régime fiscal n’était pas défini » (interview au Monde) ou de milliers de fonctionnaires (intervention sur France 2)? 

Problème : à part Guéant, personne (Rachida Dati, Chantal Jouanno…) dans les cabinets qui se sont succédé ne semble se souvenir avoir touché ces primes en espèces. Et si elles concernaient des milliers de personnes, il ne peut s’agir que des « frais d’enquête et de surveillance » qui ne sont pas destinés aux membres des cabinets.

C’est sur l’usage de ces frais d’enquête, au cours de la dernière décennie, que Manuel Valls, l’actuel locataire de la Place Beauvau, a demandé des éclaircissements à l’Inspection générale de l’administration et à celle de la police nationale

. Pour l’année 2013, la ligne budgétaire se monte, selon la Place Beauvau, à 9,7 millions d’euros, en baisse de 5 à 6% par rapport à 2012. Mis à part des sommes débloquées par Matignon ou l’Élysée pour des missions spéciales, telles que la traque d’Yvan Colonna en son temps, ce serait le seul argent liquide en circulation aujourd’hui à l’Intérieur. 

Gérés par le directeur général de la police nationale, ces millions en liquide sont répartis – en fonction de l’activité des services mais le plus souvent par simple reconduction des exercices précédents – entre les différents directeurs de la police nationale : police judiciaire, sécurité publique, renseignement intérieur, police aux frontières, CRS…

« Mettre de l’huile dans les rouages »

À quoi sert cet argent? Selon le communiqué du ministère, à « rechercher du renseignement, rémunérer des informateurs ou financer certaines investigations ». 

Si le paiement des indicateurs (2.400 sont officiellement recensés par le service interministériel d’assistance technique) apparaît encadré, le reste est à la discrétion des « tauliers » et sert, selon la formule consacrée, à « mettre de l’huile dans les rouages »

. À commencer par la gratification des personnels en cas de « belle affaire » réussie. « Avant, c’était assez régulier, commente un chef de service.

 Mais aujourd’hui, si les gars en touchent 3 ou 4 dans l’année, c’est le bout du monde, et ça ne dépasse pas 100 euros par personne. » Avec d’inévitables jalousies à la clé : « Si t’es bien vu, ça grimpe à 50-100 euros. Sinon, c’est un billet de 20″, déplore un enquêteur de terrain.

Tous les fonctionnaires interrogés par le JDD confirment que les choses se sont « assainies » avec l’instauration d’allocations de service, d’indemnités de responsabilité, de primes au mérite… Les frais de mission sont remboursés par chèque ou virement. « Mais il y a des endroits où il vaut mieux ne pas payer avec sa carte bancaire et demander une note », insiste un flic de la PJ. 

« Ces frais d’enquête sont indispensables quand vous demandez à des gars de planquer des jours dans des coins pas possibles ou de rester des semaines loin de chez eux », ajoute un commissaire.

Désormais silencieux, Claude Guéant réserve ses explications aux juges Tournaire et Grouman, en charge de l’information judiciaire ouverte contre X sur fond de soupçon de financement de la campagne de Nicolas Sarkozy par la Libye. Les services fiscaux pourraient, aussi, vouloir l’entendre.

http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/Ministere-de-l-Interieur-dix-millions-en-liquide-pour-les-enquetes-605648

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Y’en a marre de Fabius et surtout du laxisme de Bercy

Posté par ippolito le 6 mai 2013

Fiscalité : T. Fabius dans la tourmente, laxisme de Bercy ?
  
Certains faits, comme la mansuétude dont Thomas Fabius, le fils du ministre des affaires étrangère aurait bénéficié, font craindre la sélectivité des contrôles depuis que Bercy a été repeint en rose. L’Etat est-il en train de s’engager dans une vendetta fiscale ? 

C’est un nouveau pavé dans la mare socialiste. Ou plutôt une pierre de taille puisque l’affaire dévoilée par Le Point concerne l’appartement de Thomas Fabius, le fils du ministre des affaires étrangères.

Selon l’hebdomadaire, ce jeune-homme, déjà condamné en 2011 à 15 000 euros d’amende, dont 10 000 avec sursis, pour « abus de confiance », possède un logement parisien de 280 m2 et d’une valeur de 7 millions d’euros. Il s’agit de l’appartement du cinéaste  Claude Zidi, mort en juin 2012.

Même si la déclaration qu’il a fournit ne tient pas compte de ses œuvres d’art, le patrimoine de Laurent Fabius, 67 ans, est évalué à 6,07 millions d’euros. A 31 ans, sans emploi, son fils Thomas est déjà donc plus riche que lui !

Il aurait financé l’achat de cet appartement grâce à un emprunt bancaire obtenu avec l’appui d’une « mystérieuse » garantie. Des « des gains de jeu » sont aussi évoqués.

Thomas Fabius ne payant pas d’IR, cette acquisition aurait dû attirer l’attention des services de Bercy. Mais, rien. Rideau : malgré un signalement de Tracfin, aucune enquête n’a été lancée contre le rejeton de l’ancien Premier ministre, s’étonne l’hebdomadaire.

Si elle se confirme, la cécité dont a profité Thomas Fabius va relancer les commentaires sur la sélectivité des contrôles engagés depuis que Pierre Moscovici a pris les commandes du ministère des finances.
Cette tentation n’est pas nouvelle : lorsqu’il était ministre du budget (1992), sous François Mitterrand, Michel Charasse avait publiquement menacé les « opposants » de réprimande fiscale.

Aujourd’hui, tout se passe comme si ses services déployaient davantage de vélocité quand il s’agit de coincer des personnalités de droite, comme ces « cons » placardés sur le mur du Syndicat de la Magistrature, que les tripatouilleurs de la gauche caviar.

Dès qu’une « affaire » impliquant un socialiste sort dans les médias, un tribun de droite est mis en cause avec une simultanéité troublante.
Alors que le dossier Cahuzac bat son plein, c’est Nicolas Sarkozy qui se retrouve en examen dans le cadre de l’affaire Bettencourt.

Le nom du fils de Laurent Fabius apparaît dans la presse. Celui de Claude Guéant sort aussitôt ailleurs.

Avant la dernière présidentielle, Eric Woerth a été mis en cause pour la vente de l’Hippodrome de Compiègne. Quelques mois auparavant l’affaire Guérini prenait de l’importance.
Vendetta fiscale ? 

Certes les élus de droite ne sont pas tous des petits saints. Près une soixantaine d’entre eux ont été inquiétés par la justice depuis le début des années 2000.

Mais la gauche n’est pas ne reste. Elle a même fait mieux avec une centaine de représentants incriminés. DSK, Jérôme Cahuzac et Sylvie Andrieux, député PS des Bouches du Rhône, figurent parmi les dernières recrues.

François Hollande a promis de moraliser la vie publique. Qu’il commence par balayer le pas de sa porte. Les rumeurs s’accumulent autour de sa situation fiscale et de celle Valérie Trierweiler, sa compagne officielle.
Font-ils ISF commun ? Sont-ils même soumis à l’ISF ? Qu’en est-il de leurs revenus ? Défiscalisent-ils ? Le patrimoine respectif des 2 concubins, et celui de leurs enfants mineurs (50% si la garde est partagée) est-il suffisant pour atteindre le 1,3 M€ déclenchant le couperet de l’ISF ?

Les avantages dont dispose Madame Trierweiler (cabinet de 6 personnes, avantages matériels) sont-ils justifiés ?
Que le président profite de la conférence de presse qu’il donnera le 16 mai prochain pour répondre à ces questions !

Qu’il demande aussi à la Haute autorité du patrimoine d’estimer le magot accumulé par certains de ses ministres  sous forme œuvres d’art – non assujetties à l’iSF – pour produire une image plus réaliste de leur patrimoine.

Qu’il examine le régime matrimonial des élus pour vérifier si certaines séparations de biens récentes ne joutent pas le rôle d’un coupe feu.
Quant à choisir le voyeurisme que le PS s’occupe un peu de siens et qu’il fiche la paix à ces entreprises, à ces professions libérales, à ces particuliers auxquels 18 Mds€ de redressements ont été réclamés en 2012 !

Jean Tokaï.

http://www.lecri.fr/2013/05/02/fiscalite-t-fabius-dans-la-tourmente-laxisme-de-bercy/40117

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