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Y’en a marre des inégalités qui se creusent en France

Posté par ippolito le 15 mai 2013

France : les inégalités se creusent sous l’effet de la crise

la France n’arrive qu’en 16e position des pays les plus égalitaires, devancée par l’Allemagne et les pays scandinaves toujours en tête. 

L’OCDE alerte sur la baisse des revenus qui touche davantage les plus pauvres et les jeunes.

C’est l’effet direct de la crise. Les revenus ont baissé et les inégalités se sont creusées dans la plupart des pays de l’OCDE entre 2007 et 2010, alerte l’Organisation internationale dans un rapport publié ce mercredi. 

Sur ces trois années, ils ont diminué en moyenne de 2% au sein de la zone tandis que l’écart de revenu entre les 10% les plus riches et les 10% les plus pauvres, est passé de 9,4 fois à 9,8.

Dans l’Hexagone, la situation sociale tend aussi à se dégrader malgré un État providence qui reste parmi les plus généreux et qui a longtemps permis d’atténuer les inégalités. 

La France consacre 10% de son PIB aux dépenses sociales (allocations chômage, aides à la famille, pensions de reversion…), ce qui en fait le 7e budget le plus élevé de l’OCDE devancé par la Finlande, le Danemark et la Suède. Les transferts sociaux, qui contribuent pour deux tiers à réduire ces inégalités contre un tiers pour les impôts, ne suffisent plus à compenser la dégradation de l’emploi et la montée du chômage.

Priorité à l’emploi

L’écart entre les plus riches et les plus pauvres a grimpé de 6,6 fois en 2005 à 7,2 en 2010. Le coefficient GINI qui mesure le niveau des inégalités – de 0 pour une égalité absolue à 1 lorsqu’une seule personne possède tous les revenus – s’est détérioré de à 0,292 à 0,303. À noter que la France n’arrive qu’en 16e position des pays les plus égalitaires, devancée par l’Allemagne et les pays scandinaves toujours en tête. La palme revient à l’Islande. À l’inverse, c’est au Chili, au Mexique et aux Etats-Unis que l’écart est le plus élevé.

Autre indicateur, le niveau de pauvreté relative, prenant en compte la population disposant d’un revenu 50% inférieur au revenu médian national – s’est aggravé de 7,2% à 7,9%. En revanche, la baisse des revenus est plus faible que la plupart des autres pays, inférieure à 1% contre 12%, pour l’Islande, la pire de l’OCDE, un peu moins de 8% pour la Grèce et 2% pour la Grande-Bretagne. Neuf pays, dont l’Allemagne, ont au contraire connu une hausse.

Cette baisse, soulignent les experts de l’OCDE, frappe davantage les ménages les plus pauvres et les jeunes générations. Phénomène qui se vérifie en France comme dans la plupart des pays. Ainsi, entre 2007 et 2010, le taux moyen de pauvreté dans l’OCDE a augmenté de 12 à 15% chez les jeunes alors qu’il a reculé de 15 à 12% pour les personnes âgées.

Face à ce constat préoccupant, l’OCDE plaide pour des politiques visant à stimuler la croissance et l’emploi pour assurer «l’équité et l’efficacité», qui passent en particulier par des réformes des systèmes fiscaux.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/05/15/20002-20130515ARTFIG00262-france-les-inegalites-se-creusent-sous-l-effet-de-la-crise.php

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Y’en a marre de la crise mais surtout des mensonges

Posté par ippolito le 15 mai 2013

Récession : on est « foutus » ou en « croissance négative » ?

La France est une nouvelle fois entrée en récession. Comment l’admettre sans utiliser ce mot tabou ? La gauche va pouvoir piocher dans le dictionnaire de synonymes élaboré avant elle par la droite.

Selon les chiffres de l’Insee, le PIB a reculé de 0,2% au dernier trimestre 2012, et à nouveau de 0,2% au premier trimestre 2013. Deux trimestres de baisse consécutifs : c’est la définition technique de la récession.

Ce n’est pas une première. Et en 2008, la droite au pouvoir avait fait preuve d’imagination pour éviter de prononcer le mot tabou. De quoi fournir des idées à une gauche bien embarrassée par cette fameuse récession.

« Une croissance légèrement négative »

En octobre 2008, Christine Lagarde s’en était tenue à une interprétation technique des chiffres. Dans le communiqué qu’elle avait publié, la ministre de l’Economie avait évité le mot « récession », préférant évoquer :

« une croissance légèrement négative » ;
« une mauvaise passe conjoncturelle qui reste temporaire ».
« Une croissance molle »

Frédéric Lefebvre, à l’époque député et porte-parole de l’UMP, avait offert une interprétation similaire. Il s’était agacé de l’insistance des journalistes :

« Pourquoi voulez-vous vraiment que l’on prononce le mot récession ? Il y a une croissance molle pour 2008 et une croissance qui ne devrait pas être très forte en 2009. »

« Je ne sais pas comment le dire »

Eric Woerth s’était montré joueur, en épuisant en une seule déclaration la réserve d’euphémismes. « La France est-elle entrée en récession ? », avait ironisé le ministre du Budget :

« Il ne faut pas jouer sur les mots, je trouve tout cela ridicule. Il y a une décroissance, une réduction de la croissance, une perte de croissance – je ne sais pas comment le dire – au troisième trimestre, c’est ça qui est important. »

« L’année ne sera pas en récession »

Plus courageux, Luc Chatel avait osé prononcer le mot. Pour immédiatement inviter à prendre du recul. Secrétaire d’Etat à l’industrie et porte-parole du gouvernement, il avait proposé d’oublier la définition technique – deux trimestres consécutifs de baisse – et de s’intéresser à l’année entière :

« L’année 2008 ne sera pas en récession pour l’économie française. La récession, c’était en 1993 quand il y a eu une année de croissance négative de l’ensemble de l’économie française. »

Ce mercredi, Luc Chatel a été un des premiers à réagir à l’annonce de cette nouvelle récession… avec un tweet faisant étrangement écho à sa déclaration de l’époque.

Selon les prévisions de l’Insee, la croissance devrait cette fois-ci être « légèrement négative » ou « molle » – choisissez votre adjectif préféré – toute l’année.

L’institut prévoit un recul de 0,3% du PIB en 2013 – soit, selon la définition de Luc Chatel, une récession, une vraie. Le gouvernement est plus optimiste, tablant sur une croissance de 0,1% sur l’année. Une croissance « molle », comme dirait Frédéric Lefebvre, mais positive…

Alors, « on est foutus » ?

Peu de réactions ce mercredi matin à gauche. Le gouvernement se prépare à s’expliquer lors de la séance aux questions dans l’après-midi à l’Assemblée nationale, et François Hollande planche sur les réponses qu’il fournira jeudi lors de sa conférence de presse.

La députée PS Karine Berger – économiste de profession, il est vrai – n’a pas démenti l’entrée en récession. Invitée de RFI, elle a opté pour la pédagogie : selon elle, « il faut remettre les choses point par point », et le gouvernement « fait beaucoup de choses ». Avant de conclure par une formule pas si rassurante que ça :

« Je ne fais pas partie de ceux qui pensent qu’on est foutus. »

« Pas une surprise »

A la sortie du conseil des ministres, Pierre Moscovici a préféré admettre l’évidence – mais en insistant sur le caractère technique et prévisible de cette récession, une double astuce pour la rendre un peu moins effrayante :

« Techniquement, la France est en récession, c’est-à-dire qu’elle a connu deux trimestres de croissance négative. Ca n’est pas une surprise, c’est largement dû à l’environnement de la zone euro [...]. »

François Krug 

http://www.rue89.com/2013/05/15/comment-parler-recession-sans-prononcer-mot-fait-peur-242331

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Y’en a marre des magouilles et des mensonges de Guéant

Posté par ippolito le 15 mai 2013

Affaire Guéant: un virement suspect en provenance de Jordanie

D’où provient l’argent repéré lors des perquisitions au cabinet et au domicile de l’ex-ministre de l’Intérieur ? L’Express révèle que l’ancien ministre de l’Intérieur a reçu un virement de 25 000 euros, versés depuis la Jordanie. 

Claude Guéant ne répond plus. Pris dans la tourmente des révélations du Canard enchaîné concernant des mouvements de fonds sur ses comptes, l’ancien ministre de l’Intérieur a choisi de ne plus s’exprimer. Et de ne plus se perdre dans des déclarations maladroites mettant en péril sa défense. 

Il réserve désormais ses explications aux juges d’instruction Serge Tournaire et René Grouman. Elles risquent d’être longues, au regard du résultat des perquisitions effectuées, le 27 février, au domicile et au cabinet d’avocats de l’ex-ministre.  

Comme L’Express peut le révéler, les trouvailles des policiers et des juges ont été nombreuses et intrigantes. Elles ont commencé d’une manière pour le moins inattendue. 

Quand, le matin du 27 février, les enquêteurs débarquent avenue George-V au cabinet de Me Guéant, ils viennent perquisitionner dans le cadre de l’affaire Tapie. 

Le rôle de Claude Guéant dans l’arbitrage rendu en faveur de l’homme d’affaires est l’objet de leurs investigations. Sur place, ils découvrent des indices en liaison avec une autre enquête explosive portant sur un éventuel financement illégal de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, en 2007, par la Libye du colonel Kadhafi. 

Les juges s’emparent d’abord de deux notes manuscrites à en-tête du ministère de l’Intérieur. Ces documents évoquent des relations régulières entre Claude Guéant et plusieurs personnes connues du régime libyen: 

les hommes d’affaires Zyad Takieddine – avec lequel il est fait mention d’un dîner -, Alexandre Djouhri et l’avocat Robert Bourgi. Un téléphone portable de l’ancien ministre est également saisi. 

Chaque fois, il prend soin de préciser qu’en tout état de cause ces sommes n’ont rien à voir avec la Libye 

Ces découvertes provoquent alors deux perquisitions, ordonnées par le parquet de Paris, l’après-midi du 27 février, au même endroit et au domicile de l’avocat. Cette fois, la prise est encore meilleure.

 La consultation des comptes bancaires à la BNP de Claude Guéant dévoile l’existence d’un virement de 500 000 euros en provenance de Malaisie. Pour justifier ce montant, l’ex-ministre déclare avoir vendu en 2008 deux tableaux d’un petit maître flamand du xviie siècle, Andries Van Eertvelt (1590-1652). 

Des factures payées en liquide et un portable très parlant

L’Express est en mesure d’indiquer qu’un autre virement suspect a été découvert à la même occasion. Il s’agit cette fois d’une somme de 25 000 euros versée depuis la Jordanie, à l’origine inexpliquée. 

L’attention des juges est également retenue par des factures payées en liquide à partir de 2002. Le volume de celles-ci augmente singulièrement entre 2007 et 2009. 

Dès la perquisition, Claude Guéant fait référence à des primes de cabinet. Celles-ci ayant vu leur régime modifié depuis le début de 2002, l’explication laisse les enquêteurs sceptiques. Pourtant, c’est celle que réitérera l’ex-secrétaire général de l’Elysée lors de ses nombreuses interventions médiatiques. 

Chaque fois, il prend soin de préciser qu’en tout état de cause ces sommes n’ont rien à voir avec la Libye et un éventuel financement politique. 

Pourtant, l’examen du portable de Claude Guéant permet la découverte de numéros répertoriés en lien direct avec la Libye. Y figure celui de Moussa Koussa, chef des services de renseignement du colonel Kadhafi, aujourd’hui réfugié au Qatar. 

On y trouve aussi « Zyad », le prénom de Takieddine, et le patronyme de Djouhri. Ce dernier, proche de Guéant depuis 2006, a eu plusieurs conversations avec lui peu de temps avant la perquisition. Enfin, quelques mots manuscrits se réfèrent à plusieurs rendez-vous avec Zyad Takieddine et Alexandre Djouhri, toutefois sans précision de date. 

L’ancien ministre ne s’attendait sans doute pas à ce qu’une telle tempête judiciaire s’abatte sur lui. Depuis sa défaite aux élections législatives en juin 2012, il s’est replié sur le développement de son cabinet d’avocats, notamment en direction de l’Afrique. 

En fait, ses ennuis ont pour origine les déclarations à la justice de Takieddine. Ce riche intermédiaire libanais a longtemps fait profiter Claude Guéant de son volumineux carnet d’adresses au Moyen-Orient et en Libye, comme l’attestent les documents saisis en perquisition.

 Mais les relations entre les deux hommes ont viré au noir, lorsque Takieddine a soupçonné son interlocuteur de lui jouer un mauvais tour. Le 5 mars 2011, il est arrêté, de retour de Libye, à l’aéroport du Bourget, avec 1,5 million d’euros en liquide. Pour lui, la désagréable surprise est signée Guéant. Dès lors, il ne cesse de proférer des menaces à l’encontre du ministre et de Nicolas Sarkozy.  

En juin 2012, il confirme aux policiers l’existence d’un soutien occulte en 2007, tout en n’en apportant pas la preuve. En décembre 2012, devant le juge Renaud Van Ruymbeke, qui l’interroge dans le cadre du volet financier de l’enquête Karachi, il précise ses accusations, en visant plus particulièrement Claude Guéant.

 Takieddine mentionne les visites à Paris de Bachir Saleh, un proche de Kadhafi, surnommé « le Caissier ». Selon lui, trois sociétés françaises auraient obtenu près de 100 millions d’euros à l’occasion des commémorations, en septembre 2011, de l’arrivée au pouvoir du Guide libyen, sans avoir pourtant effectué de prestations réelles. Il dénonce le fils de Claude Guéant comme l’un des bénéficiaires de cette manne. 

Takieddine mentionne les visites à Paris de Bachir Saleh, un proche de Kadhafi, surnommé « le Caissier » 

Ces déclarations troublantes sont transmises au parquet de Paris par le juge Van Ruymbeke, qui n’est pas saisi de ces faits. Une nouvelle audition est alors organisée, le 5 février 2013. Takieddine ne cède rien. 

Selon lui, la Libye de Kadhafi a bien aidé le candidat Sarkozy, et Claude Guéant supervisait personnellement ces opérations. Ce dernier, d’après l’intermédiaire libanais, aurait même été le destinataire des versements à Genève, via Bachir Saleh et l’ancien Premier ministre libyen Al-Baghdadi al-Mahmoudi, extradé de la Tunisie vers son pays d’origine en juin 2012. Une fois de plus, l’homme d’affaires n’apporte pas de preuve indiscutable à ses dires.  

Afin de vérifier le bien-fondé de ces fracassantes accusations, le procureur lance une série de commissions rogatoires internationales à destination de la Libye, du Qatar, de la Tunisie et de la Mauritanie. 

Mais c’est le croisement inattendu des dossiers Tapie et Libye qui rallume les projecteurs sur le cas Guéant, lors de la première perquisition du 27 février. Après une réflexion de plus d’un mois et demi, le parquet décide finalement l’ouverture d’une information judiciaire confiée à Serge Tournaire et René Grouman, le 19 avril, pour « abus de biens sociaux, faux et usage de faux, trafic d’influence, corruption active et passive et blanchiment ». 

« Alex » Djouhri, visiteur régulier du Château

Les amitiés de Claude Guéant vont-elles lui coûter cher? Car Zyad Takieddine risque de ne pas être le seul dans le viseur des juges. Au regard des éléments déjà rassemblés, ils se pencheront aussi sur le cas d’Alexandre Djouhri et de l’avocat Robert Bourgi, bien connu pour ses réseaux africains. Celui-ci n’a-t-il pas la maladroite habitude de se prévaloir, lorsqu’il est entendu par les policiers, de ses liens avec l’ancien ministre de l’Intérieur?  

Quant à « Alex » Djouhri, il n’a pas besoin de revendiquer cette amitié. Claude Guéant en a fait lui-même publiquement état à maintes reprises. En dépit de sa réputation quelque peu sulfureuse, il trouve l’homme « très séduisant ». « Je l’aime bien. Je le vois à peu près tous les mois. Il connaît la terre entière et il est d’une grande réflexion », nous confiait le ministre de l’Intérieur en 2011. 

A l’origine proche des cercles chiraquiens et de Dominique de Villepin, cet homme de 54 ans toujours très élégant, vivant entre Londres et Genève, a réussi l’exploit de faire son trou dans la Sarkozie. Djouhri a mis au service de ses nouveaux amis ses relations internationales, en particulier avec la Libye. 

L’ex-secrétaire général de l’Elysée a pour sa part su convaincre Nicolas Sarkozy qu’il gagnait à être connu, à tel point que l’homme d’affaires est devenu un visiteur régulier du Château pendant le quinquennat. 

Comme le montrent les agendas de l’ancien président de la République, dont L’Express a eu connaissance, au moins quatre rendez-vous ont été organisés: le 6 juin 2007, le 31 octobre 2008, le 12 octobre 2009 et le 4 juin 2010. 

Ces rencontres, en général d’une trentaine de minutes, avaient été précédées par un premier rendez-vous avant la victoire présidentielle, le 8 février 2007. Quelle pouvait bien être la teneur de leurs conversations? 

Naguère tout-puissant, Claude Guéant – que l’on surnommait à l’Elysée le « Cardinal » – s’apprête à vivre des temps difficiles. Préfet jusqu’au bout des ongles, le ministre de la police n’avait pas la réputation d’un homme d’argent. 

Mais les dernières découvertes laissent apparaître une part d’ombre, contrastant avec l’image du haut fonctionnaire austère au service de l’Etat. Le voilà contraint de s’expliquer. Il n’est pas certain qu’il puisse s’en sortir avec la vente des tableaux et les primes de cabinet…  

Par Pascal Ceaux et Jean-Marie Pontaut,

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/affaire-gueant-un-virement-suspect-en-provenance-de-jordanie_1248480.html

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Y’en a marre des taxes et surtout du sénat

Posté par ippolito le 15 mai 2013

Taxe sur le vin
 
Le Sénat envisage d’instaurer une nouvelle taxe sur le vin.

Pour faire baisser la consommation d’alcool des français, le Sénat réfléchit actuellement à une nouvelle taxe sur le vin, après la taxe sur les alcools forts de 2011 et la taxe sur la bière de 2012 ( voir Taxe sur l’ alcool).

La consommation d’alcool coûte 5,4 milliards d’euros par an à la Sécurité sociale, mais rapporte près de 5 milliards d’euros par an à l’État. Les professionnels du vin représentent 500 000 emplois et 7,6 milliards d’euros d’excédent commercial.

Les sénateurs souhaiteraient mettre en place une taxe sur le vin de seulement quelques centimes par bouteille. Actuellement, la taxe sur le vin représente 4 centimes par bouteille, alors qu’elle s’élève à 36 centimes pour la bière et 1,90 euro pour les alcools forts.

Mais selon Christian Ben Lakhdar, économiste des drogues et addictions, « augmenter faiblement les taxes ne sert à rien sauf à rapporter des recettes fiscales« .

Si le vin était taxé en fonction de son degré d’alcool, comme la bière, la taxe sur le vin atteindrait entre 30 et 60 centimes par bouteille, et rapporterait entre 1,3 et 2,7 milliards d’euros à l’État. Une audition de la filière viticole est prévue dans 10 jours.

source: lejdd.fr

http://www.impots-economie.com/taxe-sur-le-vin/

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