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Y’en a marre des sombres perspectives de l’Insee pour 2013 et surtout des mensonges de François Hollande

Posté par ippolito le 21 juin 2013

Croissance, chômage, impôts, pouvoir d’achat: les sombres perspectives de l’Insee pour 2013

Le PIB tricolore va reculer de 0,1% cette année, le taux de chômage grimper à 11,1%, les salaires vont encore ralentir et le pouvoir d’achat va stagner, selon la note de conjoncture publiée par l’Insee jeudi soir.

2013, annus horribilis pour la France, selon la note de conjoncture publiée par l’Insee jeudi 20 juin. La preuve en huit chiffres.

Croissance: -0,1%

Malgré une accélération de la demande extérieure adressée à la France – les exportations vont progresser de 1,3% au second semestre selon l’Insee-, le climat des affaires reste dégradé.

 L’activité devrait enregistrer un rebond de 0,2% au deuxième trimestre, après -0,2% début 2013 et fin 2012, ce qui permettrait à la France de sortir de récession… provisoirement. 

Ce rebond serait en effet de courte durée et l’activité devrait à nouveau manquer de ressort au second semestre (0% au troisième trimestre et +0,1% au quatrième). Sur l’ensemble de l’année 2013, l’activité reculerait ainsi de 0,1%. Une prévision conforme à celles du FMI et de la Commission européenne.

Chômage: 11,1%

Le recul de l’emploi marchand a été limité au premier trimestre 2013 (-8000) : l’emploi intérimaire s’est redressé mais l’emploi, hors intérim, dans l’industrie a reculé. Avec la faiblesse de l’activité, la situation sur le marché du travail continuerait de se détériorer d’ici fin 2013, même si la baisse de l’emploi marchand serait atténuée par les premiers effets du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE). 

Au total, 114.000 postes seraient supprimés en 2013 dans le secteur marchand. La baisse de l’emploi serait toutefois plus limitée grâce à la forte augmentation du nombre d’emplois aidés, en particulier avec la montée en puissance des emplois d’avenir. La hausse du chômage se poursuivrait néanmoins : le taux de chômage augmenterait de 0,3 point à 11,1% fin 2013 (y compris Dom).

Inflation : +0,8%

Le niveau élevé du chômage et la faiblesse des capacités productives continueraient de peser sur les prix. En outre, avec la stabilisation du prix du pétrole, les prix énergétiques progresseraient peu. En moyenne annuelle, le ralentissement des prix à la consommation serait net: ils augmenteraient de 0,8% en 2013 après +1,9% en 2012.

Salaires : +0,3%

Les salaires nominaux seraient freinés par la dégradation du marché du travail et par la baisse de l’inflation. Leur progression sur un an s’établirait ainsi à 1,2% fin 2013 alors qu’elle était de 1,7% fin 2012. Toutefois, la baisse de l’inflation ne se transmet que progressivement aux salaires, de sorte que les salaires réels se redresseraient légèrement. Sur un an, leur progression resterait néanmoins limitée (+0,3% fin 2013).

Impôts : +1,1%

Les nouvelles mesures prévues la loi de finances pour 2013 induisent une hausse des cotisations et des impôts payés par les ménages de l’ordre de 1,1 point de revenu en 2013, une ampleur comparable à 2012. Les prélèvements effectifs ralentiraient néanmoins nettement en 2013 car leur évolution spontanée, hors mesures nouvelles, serait affectée par la faiblesse des revenus en 2012.

Pouvoir d’achat : +0,2%

Malgré le ralentissement des revenus d’activité, le recul du pouvoir d’achat – -0,9% en 2012, un recul historique – s’interromprait en 2013. Grâce à la baisse de l’inflation et à la moindre vigueur des prélèvements obligatoires, le pouvoir d’achat se redresserait légèrement cette année, de +0,2%.

Consommation des ménages: -0,1%

La baisse de la consommation des ménages en 2012 (-0,4%) a été plus faible que celle de leur pouvoir d’achat (-0,9%) : le taux d’épargne des ménages a reculé de 0,5 point. Ce comportement était attendu car les ménages tendent à lisser à court terme les chocs à la hausse ou à la baisse sur leurs revenus, particulièrement lorsqu’il s’agit de chocs d’impôts. 

Mais ce lissage n’est que temporaire et les ménages finissent par ajuster leur niveau de dépenses à leur niveau de pouvoir d’achat. La forte baisse du pouvoir d’achat en 2012 aurait donc un impact baissier sur les dépenses de ménages en 2013. 

Par ailleurs, la détérioration du marché du travail entraînerait de nouveau une hausse de l’épargne de précaution. Dès lors, le taux d’épargne se redresserait légèrement en 2013 (+0,3 point). Ainsi, les dépenses de consommation reculeraient légèrement en 2013 (-0,1%).

Investissement des entreprises: -2,4%

L’investissement des entreprises non financières continuerait de baisser d’ici la fin de l’année. Le contexte resterait en effet peu propice à l’expansion des capacités productives : 

les perspectives d’activité sont dégradées et le taux d’utilisation des capacités est faible. Le taux d’investissement des sociétés non financières s’établirait à 18,8% de leur valeur ajoutée au quatrième trimestre 2013, significativement plus bas que le pic de 19,9% atteint fin 2011. 

Au total, sur 2013, l’investissement des entreprises devrait reculer de 2,4% après -1,9% en 2012.

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/croissance-chomage-impots-pouvoir-d-achat-les-sombres-perspectives-de-l-insee-pour-2013_390690.html#xtor=AL-189

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Y’en a marre des aides versées aux entreprises surtout pour les contribuables

Posté par ippolito le 21 juin 2013

Ces 110 milliards d’euros que les contribuables versent en aides aux entreprises

La France est le pays des aides. Chacun peut trouver son aide, son allocation, sa niche. Les entreprises n’y échappent pas. Le problème : ce sont les contribuables qui paient car tout argent public vient de leur poche. Et la note de l’aide aux entreprises est salée : 110 milliards d’euros.

Un rapport sur les aides aux entreprises a été remis, le 18 juin 2013, à Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif. Les auteurs, Jean-Philippe Demaël, directeur général de Somfy, Philippe Jurgensen, inspecteur des finances et Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône-Alpes, ont souligné trois chiffres essentiels : 

6.000 aides sont fournies par une administration comptant 15.000 fonctionnaires des collectivités locales pour distribuer 110 milliards d’euros. Les contribuables apprécieront l’information.

A la recherche des économies

A la demande du gouvernement, les auteurs du rapport ne se sont penchés que sur un peu moins de la moitié de ces aides : 46,5 milliards d’euros étaient dans la ligne de mire. Alors tout y passe avec entre autres les suggestions suivantes :

- réduire le nombre de chambres de commerce et d’industrie jugées trop nombreuses et trop cher : 336 millions d’euros d’économie.
- en finir avec l’exonération des cotisations sociales pour les juges et arbitres sportifs : 32 millions d’euros d’économie.
- en finir avec l’exonération de 20% de taxe foncière pour les terres agricoles : 178 millions d’euros d’économie.
- soutenir les biocarburants de deuxième génération plutôt que les biocarburants de première génération : 250 millions d’euros d’économie.
- plafonner l’avantage fiscal des livrets de développement durable : 180 millions d’euros d’économie.
- faire disparaître les exonérations sociales des entreprises d’outremer ainsi que le remboursement de la TVA non perçue : 330 millions d’euros d’économie.
- réduire l’impôt lié aux dons aux associations de 75% à 60% : 150 millions d’euros d’économie.
- soumettre à l’impôt sur les sociétés toutes les sociétés immobilières d’investissement cotées qui y échappaient jusque-là : 180 millions d’euros d’économie.
-orienter vers le budget de l’Etat une partie des recettes du Centre national du cinéma : 150 millions d’euros d’économie.
- mettre fin à la fiscalité avantageuse sur le gazole qui touche les secteurs du BTP, des transports et les agriculteurs : 485 millions d’euros d’économie.
- réduire les aides aux buralistes : 210 millions d’économie.

Impressionnant ? Tout est relatif. Les économies proposées ne représentent que 3 milliards d’euros, soit 2,7% des aides distribuées.
C’est-à-dire qu’on ne touche pas à 97% des aides. 

En outre, l’Etat ne rendra pas l’argent aux contribuables, mais le gardera pour lui. Et puis réduire des avantages, c’est augmenter de fait des taxes. On ne peut pas dire que l’on taille dans le sujet et les contribuables n’en ressortiront pas satisfaits.

Car ce sont les contribuables qui financent toutes les aides. Rappelons cette vérité trop oubliée : l’argent public est l’argent des contribuables.

A travers ces 6.000 aides, ce sont bien les contribuables qui subventionnent l’industrie française à hauteur de 2 milliards d’euros, qui aident l’agriculture à hauteur de 4 milliards d’euros et distribuent des soutiens sous toutes leurs formes aux commerçants, artisans, à la culture, au cinéma…

Sans compter le financement l’administration qui gère ces aides : 700 millions d’euros pour 15.000 fonctionnaires.

Les deux fautes des entreprises aidées

Quant aux entreprises qui acceptent des aides, ce sont des entreprises qui renoncent. Quand un entrepreneur sollicite une aide de l’Etat ou une aide d’une collectivité territoriale, il commet deux fautes.

Première faute : il prend l’argent des contribuables sans qu’ils soient explicitement d’accord ou conscient que le fruit de leur travail va aider une entreprise.

Bien plus : les contribuables sont floués. En effet, ils se retrouvent de fait dans le rôle d’investisseurs.

Si leur argent sert à aider, autrement dit à apporter un concours financier à des entreprises, cela s’appelle bien un investissement. Mais qui dit investissement, dit retour sur investissement. Où est-il ? On le cherche, on ne le trouve pas.

Si on parle de participation financière des salariés soit aux bénéfices, soit au capital d’une entreprise, si on parle d’actionnariat ouvrier ou d’actionnariat salarié, on ne parle pas du tout de la participation des contribuables.

Or l’argent des contribuables donné aux entreprises est en soi une participation financière qui mériterait un retour comme tout actionnaire est en droit d’en attendre un. A ce jour, cet « investissement contribuable » est perdu.

Deuxième faute : l’entrepreneur aidé abandonne de fait une partie de sa propriété et de sa liberté.

L’aide aux entreprises est permise par la loi, et même voulue par les législateurs. Mais accepter une aide, c’est se rendre débiteur et dépendant de celui qui aide. C’est d’autant plus vrai et définitif que l’aide vient de l’Etat.

Inévitablement, l’Etat va s’immiscer dans les affaires de l’entreprise et puisque l’argent public vient en aide, alors l’Etat décide des investissements privés, des secteurs à aider en priorité, définit les priorités.

C’est bien ce que font François Hollande et Jean-Marc Ayrault en voulant relancer la compétitivité de l’économie, en établissant une banque publique d’investissement, en créant un crédit d’impôt compétitivité emploi.

Frédéric Bastiat avait souligné, pour les entrepreneurs, le danger de ce processus « qui substitue la volonté du législateur à leur propre volonté, l’initiative du législateur à leur propre initiative. »

C’est ainsi qu’ils finissent dans des Assises de l’entrepreneuriat, sagement assis au Palais de l’Elysée, à écouter François Hollande qui n’a jamais fait de commerce, jamais travaillé en entreprise, leur dire ce qu’il faut faire.

Alors se produit ce que Bastiat a décrit : « Ils n’ont plus à se consulter, à comparer, à prévoir ; la Loi fait tout cela pour eux. L’intelligence leur devient un meuble inutile ; ils cessent d’être hommes ; ils perdent leur Personnalité, leur Liberté, leur Propriété. »

La loi du marché est dure. D’autant plus dure qu’en France nous avons perdu la culture de l’investissement et de la levée de fonds pour attendre l’aide de l’Etat. Et recevoir de l’argent public, de l’argent des contribuables, n’a rien à voir avec l’esprit d’entreprise.

Mais au fait, au lieu de distribuer des aides par un système complexe, coûteux et inefficace vu les mauvaises performances de notre économie, l’Etat ferait mieux de baisser les impôts et les taxes.

Car ça ne fait aucun sens de matraquer d’impôt une entreprise pour ensuite lui redonner un peu d’argent pour l’aider et la soutenir. La schizophrénie fiscale ne fait aucun sens. Autant laisser son argent à l’entrepreneur et le laisser faire.

http://www.lecri.fr/2013/06/19/ces-110-milliards-deuros-que-les-contribuables-versent-en-aides-aux-entreprises-2/41300

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Y’en a marre de la hausse des prix du poisson et surtout de la baisse de notre d’achat

Posté par ippolito le 21 juin 2013

Le prix du poisson en pleine explosion

Les prix des poissons au niveau mondial ont atteint des nouveaux records ce mois-ci. Dans les six derniers mois, le prix de certains poissons a augmenté de 30%. Quotas de pêche, hausse de la demande, prix des carburants… Les causes sont multiples, et à la fin, c’est le client qui trinque.

Le poisson est-il en train de devenir un produit de luxe ? Un rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture souligne une flambée des prix au niveau mondial : 

ils sont 15% plus élevés que lors du précédent record datant de mai dernier. Dans les six derniers mois, le prix de certains poissons a augmenté de 30%.

« Un poisson à moins de 30 euros le kilo, faut chercher ! »

Cher, très cher poisson… « Un poisson à moins de 30 euros le kilo, faut chercher, regrette cette client d’une poissonnerie parisienne interrogée par RMC. Du coup je viens moins qu’avant. Je prends des sardines une fois par semaine, parce que c’est pas cher, et encore. Avant c’était deux fois par semaine, mais maintenant ce n’est pas la peine ». 

Son poissonnier assure qu’il ne peut rien faire : « La problématique, elle est surtout dans les produits d’élevage. Le saumon, les crevettes… Parce que l’élevage coûte de plus en plus cher. C’est souvent des hausses qu’on a subi plusieurs fois, sans les répercuter sur nos prix, donc au bout d’un moment on est obligé de rehausser les tarifs ».

« Le coût est répercuté de partout »

Comment expliquer ces hausses ?  « Le prix des carburants a augmenté, donc pour ceux qui sortent en mer ça devient difficile, explique Loïc, qui fait ses achats chaque matin à Rungis pour remplir les étals de sa poissonnerie. 

Les charges qui augmentent au niveau des livreurs, au niveau des gens qui traitent le poisson… le coût est répercuté de partout ». Mais il n’y a pas que le carburant qui pose problème. Il faut ajouter les politiques de quotas qui limitent la pêche alors que la demande internationale explose en parallèle…

La grande distribution « déstabilise le marché »

Et puis, il y a le rôle de la grande distribution, selon Pierre Labbé, le président de l’Union Nationale de la Poissonnerie Française. Il pointe du doigt la pratique des préventes : 

« Une grande enseigne peut acheter directement à un pêcheur sa cargaison, sans passer par les criées. Résultat, ça déstabilise le marché, il n’y a plus de transparence. Ça veut dire qu’aujourd’hui la grande enseigne peut acheter un produit pas cher au pêcheur, et le prix du peu de poissons qui peut passer en criée va être doublé, même triplé, à la vente. Les poissonniers sont obligés de mettre le prix pour avoir le produit et sont obligés de le vendre plus cher que les grandes enseignes, mais sans pour autant que la qualité soit égale ».

http://www.rmc.fr/editorial/391842/le-prix-du-poisson-en-pleine-explosion/

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Y’en a marre du chômage et surtout des mensonges de Hollande

Posté par ippolito le 21 juin 2013

L’Insee prévoit un chômage toujours en hausse

Le chômage devrait continuer de grimper fin 2013 pour atteindre 10,7% en métropole, très proche du record historique, selon les chiffres publiés jeudi par l’Insee qui mettent à mal l’objectif du président François Hollande d’inverser la courbe d’ici décembre. 

Pour la France entière (Départements d’Outre-mer compris), le taux atteindrait 11,1% au dernier trimestre, précise l’Insee.

Le taux record en France – 10,8% en métropole – a été atteint en 1994 et 1997 (11,2% avec les Dom en 1997).

Le taux de chômage, mesuré par l’Insee selon les normes du Bureau international du travail, croît depuis sept trimestres. Il était à 10,4% (10,8 avec les Dom) au premier trimestre.

Depuis septembre, François Hollande table sur une inversion de la courbe du chômage pour fin 2013. Encore jeudi, lors du lancement à Paris de la «grande conférence sociale», il a «réaffirmé (sa) volonté» d’«inverser durablement la courbe du chômage à la fin de l’année».

Michel Sapin, le ministre du Travail, a de son côté insisté sur le fait que les chiffres de l’Insee «sont des prévisions trimestrielles»: «ça veut dire que la situation en début de trimestre n’est pas forcément la même qu’à la fin, d’ailleurs entre les deux il y a ce qu’on appelle l’inversion de la courbe du chômage».

L’Insee, dont les prévisions ne vont pas au-delà de la fin d’année, n’entrevoit pas d’inversion de tendance fin 2013 pour deux raisons: la France devrait continuer de détruire plus d’emplois qu’elle n’en crée et la croissance de la population active est «toujours dynamique» (+137 000 nouvelles personnes sur le marché cette année).

L’augmentation continuerait, mais «à un rythme ralenti», à raison d’un dixième par trimestre, souligne cependant l’Insee.

Ce ralentissement tiendrait essentiellement «à une montée en charge des emplois aidés» (en partie subventionnés, dont les emplois d’avenir) qui permettrait à l’emploi non marchand de se redresser (+85 000 créations nettes d’emplois sur l’année, dont 71 000 au second semestre), explique Cédric Audenis, chef du département de la conjoncture.

Cette hausse dans le non marchand viendrait ainsi largement atténuer les destructions toujours très fortes dans les secteurs marchands non agricoles, que l’Insee anticipe pires en 2013 (113 000 destructions prévues, après 92 000 en 2012).

Ces secteurs privés, coeur de l’économie, vont continuer de pâtir de la crise. Au premier trimestre, l’institut avait mesuré une bonne «surprise» de seulement 8 000 destructions, une tendance qui ne devrait pas durer: l’Insee prévoit un solde négatif de 30 000 emplois au deuxième trimestre et 76 000 au second semestre.

http://www.liberation.fr/economie/2013/06/20/l-insee-prevoit-un-chomage-toujours-en-hausse_912625

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