Y’en avait marre de Berlusconi

Posté par ippolito le 25 juin 2013

Sept ans de prison pour Berlusconi

L’ancien chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a été condamné lundi à sept ans de prison à l’issue du procès Rubygate, pour abus de pouvoir et prostitution de mineure. Le tribunal de Milan a adjoint à cette peine une interdiction à vie d’exercer un mandat politique. 

Des sentences lourdes qui vont au-delà de ce que demandait le procureur à l’encontre de l’homme politique. Silvio Berlusconi, 76 ans, qui se trouvait dans sa résidence d’Arcore, près de Milan au moment du verdict, n’ira cependant pas en prison car ses avocats vont déposer un recours. Tant que cette peine n’est pas validée en Cour de Cassation, elle n’est pas exécutoire.

« Cette condamnation est complètement déconnectée de la réalité, les juges sont allés au-delà de la demande de condamnation du parquet », a réagi immédiatement Niccolo Ghedini, l’un des avocats de Berlusconi, confirmant un rapide pourvoi en appel. 

C’est « un verdict violent, je résisterai à la persécution », a réagi Silvio Berlusconi. Dans le camp du Cavaliere, les protestations ne se sont pas faites attendre. C’est un « véritable attentat contre la démocratie », s’est insurgé le sénateur de droite Lucio Malan. 

Fabrizio Cicchitto, un proche plutôt modéré, dénonçait « l’irresponsabilité d’un noyau de magistrats soutenus par des forces éditoriales et financières contre lesquels il faut protester haut et fort ».

« C’est une honte », a renchéri Daniela Santanché, une des responsables de la droite plus proche du Cavaliere, considérée comme un « faucon » de son camp, ayant cependant assuré que le verdict n’aurait pas de conséquence sur l’exécutif. « La justice et le gouvernement sont deux choses différentes », a-t-elle dit, même si cette approche semble ne pas convaincre tous les observateurs en Italie. 

Rappelant son caractère imprévisible, plusieurs médias ont souligné que Berlusconi considérait le gouvernement de coalition comme une protection contre les poursuites judiciaires, mais, en l’absence de cette protection, « son intérêt à soutenir le gouvernement disparaîtrait ». 

La thèse a été démentie par son entourage mais le ton est monté à droite dans les critiques adressées au gouvernement, même si les reproches formulés étaient essentiellement de nature économique et sociale.

« Bunga-bunga »

Entamé en avril 2011, le procès tournait autour de dîners à l’ambiance débridée, décrits comme des « orgies » par le parquet de Milan, organisés au printemps 2010 dans la luxueuse villa de Silvio Berlusconi à Arcore, près de Milan: les fameuses soirées « bunga-bunga », auxquelles participait, entre autres, la jeune Marocaine Karima El Mahroug, alias « Ruby la voleuse de coeurs », âgée de 17 ans à l’époque.

 La procureure Ilda Boccassini, bête noire du Cavaliere, avait demandé une « peine de base de cinq ans de prison » pour abus de pouvoir car M. Berlusconi, alors Premier ministre, aurait utilisé sa position pour faire libérer la jeune Ruby interpellée à Milan pour un larcin. Cette peine de base devait être « aggravée d’un an » pour avoir rémunéré les prestations sexuelles de cette mineure, un délit en Italie.

Mme Boccassini avait assorti son réquisitoire de la requête d’ »interdiction à vie d’exercer toute fonction publique » à l’encontre de l’ex-président du Conseil, sénateur depuis les élections de février.

 Le tribunal a été plus loin, le jugeant coupable d’ »abus de pouvoir sous la contrainte », et demandant même au parquet d’ouvrir une enquête sur de possibles fausses déclarations de certains témoins pendant le procès. 

De son côté, la défense du Cavaliere avait demandé son acquittement pur et simple. « Il n’a commis aucun délit », avait affirmé lors d’une des dernières audiences Me Ghedini, dénonçant des « préjugés » des juges et du parquet à l’encontre de son client.

Selon Berlusconi, des « magistrats rouges » (communistes, Ndlr) tentent, en le « persécutant » sur le plan judiciaire, de se substituer à la gauche qui n’a pas réussi à le battre sur le plan politique.

 Le verdict est arrivé quelques jours à peine après le rejet par la Cour constitutionnelle d’un recours très important pour le Cavaliere. Il cherchait à obtenir l’annulation d’une condamnation pour fraude fiscale (procès Mediaset) risquant de le priver de tout mandat électoral. 

Depuis son entrée en politique en 1994, il a été condamné, en incluant le verdict du Rubygate, à un total de 18 ans et cinq mois de prison ferme, dont trois ans couverts par une amnistie, pour divers délits, mais aucun de ces jugements n’a jusqu’à présent été définitif.

http://www.lejdd.fr/International/Europe/Actualite/Sept-ans-de-prison-pour-Berlusconi-dans-le-Rubygate-615366

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Y’en a marre de Tapie et de Sarkozy et surtout de leurs magouilles

Posté par ippolito le 25 juin 2013

Les relations troubles entre Tapie et Sarkozy
 
Au lendemain de la victoire de Sarkozy, lundi 7 mai 2007, Bernard Tapie exulte: « Le « petit » est élu. Je suis sauvé dans Adidas, maintenant le pognon va couler« , confie-t-il à un proche.

Il a bien coulé, vidant les caisses de l’ Etat de 400 millions d’euros. Et les dernières péripéties de l’enquête judiciaire le confirment: c’est grâce à Sarkozy et au feu vert donné à la procédure d’arbitrage que le « pognon » a « coulé ».

 Pourquoi cette munificence ? Comment expliquer un tel soutien de Sarkozy, lourd de conséquences financières mais aussi – on le voit aujourd’hui – judiciaires et politiques ? ( voir Bernard Tapie braque les contribuables)

L’histoire commence il y a plus de 30 ans à Neuilly. En 1983, Tapie et Sarkozy se rencontrent chez le publicitaire Jacques Seguela. A l’époque, Nanard fréquente plutôt Gérard Longuet et Alain Madelin, et proclame: « je suis un libéral. » Au point que le RPR ( devenu l’ UMP) lui propose une circonscription aux législatives de 1986. Qu’il refuse. 

Autre lien entre Tapie et Sarkozy, Martin Bouygues, qu’ils connaissent l’un et l’autre. Dès lors, leurs chemins ne cessent de se croiser. Tapie fait rigoler Sarkozy, qui manifeste à son égard une amitié débordante. Le maire de Neuilly, lui, se retrouve dans ce personnage qui na lâche jamais prise et croit, comme lui, que « la victoire appartient à ceux qui la désirent le plus ».

En 1987, touché par la grâce, Nanard s’engage à gauche. Il gagne ainsi quelques bonnes relations socialistes mais n’en perd aucune à droite. Sarkozy, lui, voit l’utilité politique de ce très populaire bateleur, susceptible d’aspirer les voix de gauche.

 Tapie en fait la démonstration en 1994, sur instruction de Mitterrand, pour couler la liste Rocard aux élections européennes. Et puis mieux vaut avoir dans sa poche celui qui a acheté le parti radical pour une poignée de cerises et se vante d’avoir torpillé Jospin en poussant la candidature de Christiane Taubira à la présidentielle de 2002.

En Mars 2004, Sarkozy à peine installé à Bercy, il est l’un de ses tout premiers visiteurs. Et, 3 ans plus tard, Tapie appelle évidemment à voter Sarkozy, dézinguant à tout-va Ségolène Royal. Tapie est alors un élément central dans la stratégie de « triangulation » – la capture de personnalités de gauche – de Sarkozy. C’est encore lui qui organise, à la fin de mars 2007, une rencontre secrète entre le futur président et Bernard Kouchner ( officiellement soutien de Ségolène) pour sceller son ralliement.

Sarkozy à l’ Elysée, Tapie ne le lâche pas d’un pouce. Il est – encore ! – le premier visiteur du ministre de l’ Economie, Jean-Louis Borloo, le lendemain de sa nomination à Bercy. Parallèlement, il multiplie les appels téléphoniques au Président. 

Cela tourne même au harcèlement. Il s’incruste ( au moins une fois par mois) à l’ Elysée. Sujet de l’ordre du jour: un arbitrage pour Adidas. « Il ne parlait que de ça », a expliqué Stéphane Richard au Canard enchainé. Lassé, le Président tente de refiler le bébé à Hortefeux. Lequel en a vite marre. Il affirme, en privé, qu’il « n’en peut plus ». Fin juillet, c’est le tour de Guéant, qui donne dans son bureau le feu vert présidentiel pour l’arbitrage en or massif.

Personne ne se doute alors que, 5 ans plus tard, la justice présentera l’addition…

Article extrait du Canard enchaîné du  19/06/13

http://www.impots-economie.com/les-relations-troubles-entre-tapie-et-sarkozy/

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Y’en a marre de Gueant et surtout de tous ces magouilles de nos élus

Posté par ippolito le 24 juin 2013

Guéant a payé comptant 715.500 euros un appartement en 2008

L’ancien bras droit de Nicolas Sarkozy a déboursé 715.500 euros pour l’achat d’un quatre pièces de 90 m2 situé dans un quartier huppé de Paris.

Nouvelle révélation sur Claude Guéant, l’ancien bras droit de Nicolas Sarkozy. D’après le magazine Paris Match , qui a consulté l’acte de vente de l’appartement, les Guéant ont déboursé 717.500 euros pour l’achat en 2008 d’un quatre-pièces de 90 mètres carrés, situé Rue Weber, à Paris, dans un quartier huppé proche de l’avenue Foch.

Cette révélation intervient alors que Claude Guéant est cerné par plusieurs enquêtes judiciaires depuis deux mois. Le 14 juin, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur les primes en liquide perçues par Claude Guéant à la suite de la publication d’un rapport d’inspection affirmant que quelque 10.000 euros puisés dans les « frais d’enquête et de surveillance » des policiers lui auraient été « remis » chaque mois.

Claude Guéant est également cité dans le cadre de l’arbitrage Tapie-Crédit Lyonnais . Enfin des soupçons existent au sujet d’un possible financement de Kadhafi lors de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Plus de 500.000 euros ont été versé depuis l’étranger sur l’un de ses comptes bancaires. Guéant a justifie le demi-million d’euros reçus par une vente de tableaux en 2008.

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202842042368-claude-gueant-a-achete-comptant-un-appartement-en-2008-577802.php

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Y’en a marre de la pauvreté et de la misère en France …

Posté par ippolito le 24 juin 2013

302 sans-abri décédés ces six derniers mois en France

302 sans-abri, morts dans la rue ou des suites d’une longue période à la rue, ont été recensés ces six derniers mois en France, selon le Collectif « Les morts de la rue », qui organise une cérémonie d’hommage ce mardi soir à 19h, Place Stalingrad, Paris 19e.

Tous les six mois, le collectif fait la liste macabre des SDF décédés dont il a eu connaissance, avec l’aide des associations, des institutions, des particuliers ou des médias. 

Le chiffre, loin d’être exhaustif, fait parfois état de décès plus anciens, remontant à plusieurs années, mais dont il n’a eu connaissance que récemment.

De novembre 2012 à mai 2013, « 302 décès ont été recensés. Et depuis début 2013, 183 SDF sont morts », a précisé à l’AFP Christophe Louis, président du Collectif.

Le faire-part de décès, qui sera lu mardi soir par des bénévoles lors d’une cérémonie d’hommage, résume en quelques mots l’histoire de chacun: « Philippe Gillet, dit Fifi, 51 ans, mort le 7 janvier 2013, rue de Clignancourt à Paris 18e », « Jean-François Mendy, 46 ans, mort le 26 février dans une rue de Rouen ».

Certains n’ont qu’un prénom ou un surnom et d’autres n’ont pas pu être identifié.

Tous ne sont pas morts dans la rue, mais parfois à l’hôpital, dans un hébergement ou un logement, après des années d’errance.

« Il y a un phénomène de décompensation. Dans la rue, c’est la survie, le corps s’est adaptée à cette situation difficile. Et quand ils rentrent dans un logement, les défenses s’affaissent, et une maladie non traitée peu ressurgir, une baisse de moral peut aussi jouer, car ils se retrouvent parfois isolés, avec une perte de repère, une perte d’amis », explique Christophe Louis.

« Ces personnes ont vécu en moyenne 51 ans, alors que l’espérance de vie en France est de 81,5 ans. Quelles que soient les politiques, la vie et la mort à la rue continuent », se désole-t-il.

Sources : Lyoncapital / AFP / Le Journal du Siècle

http://lejournaldusiecle.com/2013/06/18/302-sans-abri-decedes-ces-six-derniers-mois-en-france/

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Y’en a marre des salaires de nos ministres et surtout du cumul des mandats

Posté par ippolito le 24 juin 2013

Le salaire du ministre des Anciens combattants, Kader Arif : 11 346 euros brut par mois grâce au cumul des mandats

A quoi sert un ministre des Anciens combattants ? Essentiellement à porter les chrysanthèmes lors de cérémonies de commémorations. Si celles-ci sont légitimes, le maintien d’un ministre des Anciens combattants à temps plein est plus curieux. Car il suffit de se rendre sur le site du ministre délégué, Kader Arif, pour comprendre que son emploi du temps est (presque) surchargé…

A la Une du site du ministre délégué ce lundi 24 juin ? L’inauguration de l’exposition « regard d’un infirmier militaire » le 6 juin, la signature d’une convention lors des « Rencontres militaires blessures et sports » le 4 juin et l’inauguration du salon mondial du tourisme… le 21 mars !

La semaine du 24 au 28 juin est plus remplie. Avec des rendez-vous cruciaux notamment…. la visite de l’ossuaire franco-allemand et du musée de la Résistance nationale à Champigny sur Marne.

Autant dire qu’un tel agenda donne peu de visibilité au ministre. D’où l’envie d’être à l’affut de la moindre actualité pour briller. Son seul fait d’arme depuis un an ? L’annonce erronée, en pleine séance de l’Assemblée nationale, de la libération des otages au Cameroun…

Ministre, conseiller municipal et conseiller de la communauté urbaine de Toulouse

Du travail de pro et plutôt bien rémunéré : un ministre délégué gagne 9 940 euros brut par mois. Et visiblement, Kader Arif a du temps car il a conservé son poste de conseiller municipal de Toulouse et de conseiller de la communauté urbaine.

Deux fonctions pour lesquelles il perçoit 1 406 euros brut. Avec un revenu cumulé de 11 346 euros brut par mois, le ministre délégué aux Anciens combattants est donc l’un des ministres les mieux payés du gouvernement.

Sachant également que le coût d’un tel ministère avait été estimé à 850 000 euros par an, une question s’impose : et si on déposait les armes pour faire des économies ?

*** Sources
- P. Chabert, «  »Ministères : 3,5 milliards d’euros d’économies », Capital n°243, décembre 2011
- Etienne Gingembre, « Combien gagnent les élus de votre région ? », Capital n°257, février 2013

http://www.politique.net/2013062401-salaire-ministre-delegue-anciens-combattants.htm

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Y’en a marre de la baisse du livret A et surtout de la baisse de notre pouvoir d’achat

Posté par ippolito le 24 juin 2013

Le taux du Livret A devrait baisser en août

En mai, le livret A a essuyé une décollecte nette de 60% par rapport au même mois de 2012. 

Le taux du placement préféré des Français doit légalement suivre le taux d’inflation, qui devrait rester faible, présage le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer.

Mauvaise nouvelle pour le pouvoir d’achat de Français: il y aura très certainement une baisse du taux du livret A début août. Car ce taux est calculé en fonction de l’inflation, particulièrement faible: +0,8% sur un an en mai. 

Et qui, au regard de la conjoncture économique, n’a pas de raison apparente de remonter. «On verra ce que seront les chiffres de l’inflation, mais probablement, logiquement, on devrait avoir sans doute un nouveau mouvement» à la baisse du taux du livret A, prévoit le gouverneur – depuis 10 ans- de la Banque de France (BdF) Christian Noyer sur LCI.

En fonction des prochains chiffres sur l’inflation dans l’Hexagone (ils seront publiés le 11 juillet prochain par l’Insee), la Banque de France fera une recommandation à Bercy, qui décidera – ou pas – de suivre à la lettre la formule de calcul prévue par la loi. 

Actuellement, le taux du placement préféré des Français s’élève à 1,75%. Il a déjà été abaissé de 0,5 point le 1er février dernier. Pierre Moscovoci, ministre de l’Économie, avait alors précisé que s’il avait suivi la formule mathématique à la lettre, la rémunération du placement préféré des Français aurait dû reculer à 1,50%. 

À ce moment-là, au sein de la Banque de France, on insistait déjà sur la nécessité de ramener le taux de livret A à un niveau adéquat au prochain rendez-vous.

«On verra ce que seront les chiffres de l’inflation, mais probablement, logiquement, on devrait avoir sans doute un nouveau mouvement»
Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France

Une collecte nette en repli brutal en mai

Ce vendredi, les derniers chiffres sur la collecte nette des livrets A français ont été dévoilés par la Caisse des dépôts. Il en ressort qu’en mai, le placement a essuyé une décollecte nette de 60% par rapport au même mois de 2012 (290 millions d’euros collectés). 

Une chute brutale qui fait suite à plusieurs mois d’engouement de la part des Français pour ce placement sûr, simple et liquide, dont le plafond a été relevé à 22.950 euros (il était de 15.300 euros il y a un an, et a déjà été relevé une fois, à 19.125 euros en octobre dernier) . Un accident de parcours? L’avenir le dira. 

Pour l’instant, sur les cinq premiers mois de l’année, la collecte nette reste supérieure à celle de la même période de 2012, à 14,88 milliards d’euros. Fin mai, il y avait quelque 264,9 milliards d’euros sur les livrets A des Français. En y ajoutant le Livret de développement durable – qui, lui, a connu une collecte nette de 140 millions d’euros en mai – les dépôts atteignaient 363,7 milliards d’euros.

L’agence de notation Standard & Poor’s, dans sa dernière publication sur les notes de plusieurs banques françaises, a dit son inquiétude sur l’effet néfaste de cette épargne réglementée, qui «bride» les marges de manœuvre des banques, dans un contexte de stagnation économique et un environnement de taux bas.

 «Le régulateur ajuste le taux d’intérêt seulement tous les six mois en appliquant une formule qui, en général, met la rémunération du livret A au-dessus des taux de marché», déplore S&P, estimant en outre que la mobilisation plus importante de cette épargne pour financer des missions d’intérêt public pénalisent davantage les banques que par le passé.

http://www.lefigaro.fr/placement/2013/06/22/05006-20130622ARTFIG00291-le-taux-du-livret-a-devrait-baisser-en-aout.php

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