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Y’en a marre du coût du site de Carla Bruni Sarkozy surtout pour les contribuables

Posté par ippolito le 26 juillet 2013

Le site de Carla Bruni Sarkozy a-t-il coûté trop cher?

Le site de l’ex-première dame aurait coûté 410.000 euros aux contribuables, selon la Cour des Comptes. Trop cher, selon un développeur web qui lance une pétition appelant la chanteuse à faire un don à des associations en guise de compensation.

Remboursez ! Suite à la publication du coût du site internet de Carla Bruni par la Cour des comptes, un développeur web a lancé une pétition appelant l’ex-Première dame à faire un don à des associations. 

Dans cette pétition largement diffusée, notamment sur le réseau de micro-blogging Twitter, l’auteur s’offusque du fait que ce site internet « personnel » ait été financé grâce à des deniers publics. Mais il s’indigne aussi de son coût exhorbitant: « ce site aurait pu être fait par n’importe qui, pour moins de 10.000 euros. »

410.000 euros et 25.000 euros pour deux prestataires externes

Il faut dire que le site de l’épouse de Nicolas Sarkozy aurait coûté, selon les Sages de la rue Cambon, quelque 330.000 euros en 2011 et 80.000 euros en 2012.  

Le tout, financé par le budget de la présidence, auquel s’ajoutaient « tous les mois les facturations de deux prestataires externes assurant pour la Première dame la gestion d’un site Internet pour un montant de 25.714 euros », comme le précisaient début mai les services de Matignon, en réponse à une question du député UMP, Guillaume Larrivé.

Pour l’heure, le site est toujours en ligne et est régulièrement mis à jour. La dernière actualité remonte au 7 juillet. En revanche, point de site pour Valérie Trierweiler. « Il existe aujourd’hui une rubrique au nom de la compagne du président sur le site de la présidence », comme l’a souligné la Cour des comptes dans son rapport.

>> Carla Bruni coûtait plus cher que Valérie Trierweiler. C’est Matignon qui le dit!

Les services de la rue de Varenne avaient indiqué que la compagne de l’actuel président, François Hollande coûtait moins cher à l’Etat que l’ex-Première dame. 

Cinq collaborateurs sont affectés au service de Valérie Trierweiler. Deux agents contractuels et trois fonctionnaires sont mis à disposition de la Présidence de la République. Le total des rémunérations mensuelles nettes de ces cinq personnes est de 19.742 €. 

Huit collaborateurs étaient affectés au service de Carla Bruni en janvier 2012 pour une rémunération mensuelle nette globale de 36.448 euros.

Mounia Van de Casteele

http://www.latribune.fr/technos-medias/internet/20130725trib000777458/le-site-de-carla-bruni-sarkozy-a-t-il-coute-trop-cher.html

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Y’en a marre du mauvais pilotage de l’état au niveau des énergies renouvelables

Posté par ippolito le 26 juillet 2013

Energies renouvelables : «Un mauvais pilotage de l’Etat»

Après la remise par la Cour des comptes d’un rapport critique sur les énergies alternatives, le représentant du secteur, Jean-Louis Bal, appelle notamment à une refonte du cadre tarifaire du photovoltaïque.

Pour les partisans de la transition écologique, le diagnostic est dur à avaler. Dans un rapport présenté ce jeudi, la Cour des Comptes estime que les objectifs de la France en matière d’énergies renouvelables d’ici 2020 seront «difficiles à atteindre», et la facture supérieure à «ce qui est habituellement imaginé».

 Selon l’institution, la politique de soutien public aux énergies alternatives a représenté 14,3 milliards d’euros pour le contribuable et le consommateur entre 2005 et 2011, période sur laquelle la part de ces énergies est passée de 10,3% à 13,1%. Un effort «six à sept fois» supérieur reste donc à réaliser pour atteindre l’objectif de 23% en 2020.

Président du syndicat des énergies renouvelables (SER), qui regroupe plus de 400 entreprises du secteur, Jean-Louis Bal (photo Jean Chiscano) met en cause le mauvais encadrement du secteur par l’Etat, et juge que «la balle est dans le camp du politique».

Le constat établi par la Cour des comptes sur la politique de développement des énergies renouvelables en France vous paraît-il juste ?

Globalement, oui.  Il y a beaucoup de constats que nous partageons. La Cour des comptes ne remet pas en cause l’objectif que s’est fixé la France, à savoir une part de 23% d’énergies renouvelables (ENR) dans la consommation finale d’énergie en 2020.

 Mais elle constate, comme nous, que pour y parvenir, nous ne sommes pas partis sur la bonne trajectoire. Elle insiste aussi sur le fait qu’il faut renforcer le pilotage des aides par l’Etat, mieux organiser l’administration et simplifier l’encadrement juridique, choses que nous partageons. Et elle dit qu’il ne faut pas sacrifier la recherche aux économies budgétaires. 

Nous approuvons totalement, en insistant bien sur le fait que cette recherche doit être la plus proche possible du marché, elle doit s’orienter vers des développements concrets. Je constate aussi avec satisfaction que la Cour préconise un renforcement du fonds chaleur, qui est extrêmement efficace.

La Cour critique le coût des aides publiques aux renouvelables, notamment pour le solaire photovoltaïque…

J’ai peur que les médias ne retiennent que le fait que les énergies renouvelables pourraient coûter 40 milliards d’euros au consommateur d’ici 2020. 

Sans remettre en cause les évaluations de ce rapport concernant les coûts du développement des énergies renouvelables, il faut également mettre en face les nombreux bénéfices que nous pourrions en tirer : 225 000 emplois, des filières industrielles exportatrices, 20 millions de tonnes de CO2 évitées et réduction du déficit de la balance commerciale de 3,4 milliards d’euros, soit 5% du déficit actuel.

Alors certes, le solaire photovoltaïque a représenté près des deux tiers de la part des ENR dans la CSPE [Contribution au service public de l’électricité, une taxe incluse dans la facture d’électricité, ndlr] dévolue aux énergies renouvelables. 

Mais je rappelle qu’il y a là-dedans deux milliards d’euros par an qui sont des coûts du passé. C’est l’effet d’un mauvais pilotage de l’Etat, qui a mis en place en 2006 des tarifs élevés pour l’électricité, puis n’a pas vu venir la baisse des prix, a laissé une bulle se former et a ensuite réagi en 2010 de manière trop brutale, ce qui a entraîné la perte de 14 000 emplois. 

On ne peut pas se projeter dans l’avenir en se basant sur les coûts du passé. C’est méconnaître les progrès spectaculaires réalisés dans la filière photovoltaïque : division par trois en cinq ans.

Le gendarme des finances publiques souligne aussi que les retombées économiques de ces investissements publics restent insuffisantes.

Les professionnels des énergies renouvelables sont soucieux de maximiser les retombées économiques pour le pays. Si on ne crée pas assez d’emplois, notamment industriels, c’est parce qu’ il y a eu un déficit de politique de soutien à l’offre préalable au lancement des filières. 

Regardez dans le photovoltaïque : on a développé la demande au lieu de développer l’offre. Résultat, on a importé des panneaux chinois. Le constat chiffré est incontestable. Mais la Cour dit que les énergies renouvelables souffrent autant d’un problème d’organisation et de cadre juridique que de financement. L’Etat est mis en cause dans cette histoire. 

Dans un pays aussi rationnel que la France, je n’arrive pas à expliquer pourquoi, en regard de l’argent qu’on a mis et qu’on va encore y mettre, nous ne sommes pas arrivés à créer des filières industrielles. 

Ce qu’on a réussi à amorcer sur l’éolien offshore, avec notamment Alstom et Areva, et qu’on commence à amorcer sur les énergies marines, on doit pouvoir le faire sur les autres énergies. L’INES [Institut national de l’énergie solaire, CEA] et l’IRDEP [Institut de recherche et développement sur l’énergie photovoltaïque, EDF et CNRS] sont parmi les meilleurs instituts de recherche au monde dans leur domaine. Il n’y a aucune raison qu’on n’arrive pas à monter une filière.

Le SER va propose en septembre un plan de relance des énergies renouvelables. Quel sera en gros son contenu ?

A priori, nos recommandations seront compatibles avec celles de la Cour des comptes, dont aucune ne me semble irrationnelle. Même si je réserve ma réponse définitive à la lecture attentive du rapport. 

Nous allons proposer une simplification du cadre administratif. Nous aimerions notamment que pour mener un projet éolien, on parvienne aux mêmes délais qu’en Allemagne, c’est-à-dire trois à quatre ans maximum, y compris en tenant compte des recours des antiéoliens. Nous allons aussi proposer une refonte du cadre tarifaire du photovoltaïque. 

Notamment via un système de soutien à l’autoconsommation, qui est la voie d’avenir car elle permettra de ne pas renvoyer sur le réseau et à longue distance l’électricité produite et donc de faire baisser l’impact sur la CSPE au fil des années.

Qu’attendez-vous de la conférence environnementale de fin septembre ?

L’énergie ne sera pas le sujet principal de la conférence environnementale. Il y aura cependant la présentation des conclusions du débat sur la transition énergétique. 

L’enjeu, désormais, c’est le projet de loi qui doit être présenté par le gouvernement à l’automne. La balle est dans le camp du politique. Le ministre de l’Ecologie, Philippe Martin, l’a dit clairement. Il va me recevoir à la rentrée, j’ai bon espoir d’être entendu sur nos recommandations de plan de relance des énergies renouvelables.

Par CORALIE SCHAUB

http://www.liberation.fr/economie/2013/07/25/energies-renouvelables-un-mauvais-pilotage-de-l-etat_920801

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Y’en a marre de la fraude fiscale et du blanchiment d’argent

Posté par ippolito le 26 juillet 2013

La fraude fiscale et le blanchiment d’argent en hausse en France selon Tracfin

Tracfin, la cellule de renseignement financier de Bercy chargée de la lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme ou la fraude fiscale, a indiqué jeudi 25 juillet avoir constaté une hausse des cas de fraude en 2012.

Tracfin, qui a publié en ligne dans la soirée son rapport annuel, explique notamment la situation par la crise économique qui fragilise certaines entreprises.

La cellule a reçu l’an dernier plus de 27.000 informations (en progression de 13%) et réalisé 34.695 actes d’investigations (+33%), précise-t-elle dans un communiqué.

Le service a transmis 1.201 notes d’information (+13 %), dont 522 vers l’autorité judiciaire (+5% par rapport à 2011), pour des montants en jeu estimés à 1,146 milliard d’euros, contre 868 millions en 2011.

Utilisation de substituts à l’argent liquide

« En 2012, Tracfin a vu s’amplifier plus particulièrement l’utilisation de substituts à l’argent liquide (monnaie électronique, or, titres-restaurants) et a constaté une vulnérabilité accrue des entreprises en difficulté aux pratiques frauduleuses et au risque d’ingérence de capitaux criminels », explique le communiqué.

Abus de biens sociaux, fraude fiscale, de faux et usage de faux et d’escroquerie constatés ont augmenté.

« Cette tendance met, entre autres, en lumière la croissance de l’usage de moyens frauduleux par certaines entreprises et leurs gérants, fragilisés par la crise, pour se procurer des fonds dans un contexte de difficultés économiques », commente Tracfin.

Par ailleurs, la cellule de renseignement indique avoir modernisé sa déclaration en ligne, faisant ainsi croître le nombre de déclarations réalisées électroniquement par les professionnels dans l’obligation d’avertir de tout soupçon (banquiers, notaires, experts comptables…). Ce nombre a été de 12.121 déclarations de soupçon en ligne (contre 7.526 en 2011, soit une augmentation de 61%).

(Avec AFP)

http://www.challenges.fr/economie/20130726.CHA2671/la-fraude-fiscale-et-le-blanchiment-d-argent-en-hausse-en-france-selon-tracfin.html

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Y’en a MARRE des impôts, des taxes et des charges sociales et surtout de la baisse de notre pouvoir d’achat

Posté par ippolito le 26 juillet 2013

En France, plus de la moitié des revenus du travail partent en impôts, taxes et charges sociales

Très lourd fardeau fiscal… En prenant en compte tous les impôts, taxes et autres prélèvements sociaux, le taux de prélèvements obligatoires sur les revenus du travail atteint 56,61% en France, selon une étude de l’Institut Molinari. Soit le deuxième ratio le plus élevé de l’Union européenne.

Concrètement, un salarié tricolore touche, en moyenne, 53.647 euros de salaire brut par an (en incluant les charges patronales), calcule l’institution. Sur ce total, il supporte 30.371 euros de prélèvements obligatoires (TVA, impôt sur le revenu, charges sociales…), et peut donc disposer à sa guise de 23.276 euros, ce qui constitue son pouvoir d’achat réel.

Autre façon de voir les choses : cette année, les Français devront attendre jusqu’au 26 juillet pour fêter leur « libération fiscale », c’est-à-dire le moment symbolique à partir duquel leur revenu annuel brut dépassera le montant des impôts et taxes auxquels ils sont soumis.

En Europe, seule la Belgique fait pire, avec un taux d’imposition réel de 60,25% et un jour de libération fiscale fixé au 8 août. A l’inverse, il s’établit au 14 mars à Chypre, où les prélèvements représentent seulement 19,97% des revenus, contre 45,06% en moyenne parmi les 27 pays membres (en hausse de 0,95 point par rapport à 2012).

Ce mauvais classement de l’Hexagone s’explique surtout par le poids des charges patronales, qui concentrent 58,6% du fardeau fiscal et social des Français, contre 39,7% en moyenne dans l’Union européenne. Les charges salariales représentent 29% (contre 20,8%), l’impôt sur le revenu 7,3% (contre 31%) et la TVA, 5,2% (contre 8,6%).

Et la pression fiscale ne devrait pas se relâcher dans les prochaines années, la nécessité d’assainir les finances publiques obligeant le gouvernement à augmenter les prélèvements obligatoires afin de doper les recettes de l’Etat. Rien qu’en 2014, plusieurs hausses de taxes et d’impôts sont déjà prévues, à commencer par le relèvement de la TVA et la réduction du quotient familial.

http://www.capital.fr/finances-perso/actualites/en-france-plus-de-la-moitie-des-revenus-du-travail-partent-en-impots-taxes-et-charges-sociales-860972

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Y’en a MARRE du chômages et surtout des mensonges de François Hollande

Posté par ippolito le 26 juillet 2013

Chômage: 14.900 demandeurs d’emplois supplémentaires en juin, nouveau record à 3,279 millions en France

 Après une accalmie en mai, le nombre de demandeurs d’emploi sans activité est reparti à la hausse en juin, avec 14.900 nouveaux inscrits en métropole dans cette catégorie, atteignant un nouveau record à 3,279 millions, selon les chiffres publiés mercredi par le ministère du Travail.

Il s’agit du 26e mois consécutif de hausse. Sur un an, l’augmentation des inscrits dans cette catégorie est de 11,2% (+0,5% en juin). Au total, en ajoutant à cette catégorie les personnes ayant eu une activité réduite, on atteint 4,799 millions d’inscrits, soit une hausse de 4100 personnes.

Dans un communiqué, le ministère du Travail a estimé que la hausse était « restée contenue » en juin. « Après une forte progression observée sur les quatre premiers mois de 2013 (35.000 en moyenne en catégorie A) », « cette progression modérée du nombre de demandeurs d’emploi confirme une amélioration sur le front du chômage, même si elle ne traduit pas encore l’inversion de la courbe du chômage qui est l’objectif des prochains mois », indique le ministère.

Le chômage chez les jeunes en baisse

Mardi, lors d’un déplacement à Dunkerque dans le Nord, François Hollande a réaffirmé que sa « première volonté » était d’inverser la tendance à la fin de l’année.

Alors que le nombre d’inscrits en catégorie A (sans aucune activité), avait marqué une pause inattendue en mai, avec seulement 100 inscrits supplémentaires, le ministre du Travail Michel Sapin avait déclaré lundi : « La première bataille est de stopper la hausse » et « nous sommes dans cette phase ».

Durant l’année écoulée, en moyenne, 27.000 nouveaux chômeurs sans activité ont poussé la porte de Pôle emploi chaque mois. Toutes catégories confondues, et outre-mer compris, Pôle emploi recensait à la fin juin 5,4 millions de personnes, un plus haut historique.

« Pour la deuxième fois consécutive, le nombre de jeunes demandeurs d’emploi de moins de 25 ans recule, phénomène inobservé depuis le début de 2011″, se réjouit toutefois le ministère du Travail. En juin, la baisse dans cette catégorie d’âge est de 0,3% (+9,5% sur un an). A l’opposé, les plus de 50 ans sont toujours les plus touchés (+0,9% sur un mois, +16,4% sur un an).

Deux millions de personnes à plus d’un an de chômage

Signe de la longueur de la crise, le nombre de chômeurs de longue durée explose: en métropole, près de 2 millions de personnes pointent à Pôle emploi depuis plus d’un an (+16%). Et près de 550.000 sont au chômage depuis plus de 3 ans, un chiffre en hausse de 19,1% sur un an.

Conséquence de cette explosion du chômage de longue durée, les demandeurs d’emploi indemnisés par Pôle emploi sont proportionnellement de moins en moins nombreux (-0,2% en mai, +9,5% sur un an).

Parmi les motifs d’entrées à Pôle emploi, les fins de CDD (près de 25%) et de missions d’intérim (5,3%) occupent toujours une large place. Les licenciements économiques ne concernent que 2,7% des nouveaux inscrits.

Concernant les sorties des listes, les reprises d’emploi déclarées sont en baisse (-4%). Les radiations sont a contrario en hausse de plus de 8%. Sur un an, dans la catégorie A, la Corse, les Pays de la Loire, la Bretagne et la Champagne-Ardenne affichent les plus fortes hausses du nombre d’inscrits.

http://www.huffingtonpost.fr/2013/07/24/chomage-demandeurs-emplois-juin-nouveau-record-france_n_3644829.html?utm_hp_ref=france

Publié dans Y'en a marre de François Hollande, Y'en a marre du chômage | Pas de Commentaire »

 

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