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Y’en a marre de la hausse de la TVA et de la baisse de notre pouvoir d’achat

Posté par ippolito le 12 septembre 2013

Hausse de la TVA : les biens et services touchés et ceux qui seront épargnés

Zoom sur les différents taux qui s’appliquent en France et leur évolution prévue pour le 1er janvier 2014. Si la majorité des produits et services va subir une hausse de la TVA, quelques-uns y échapperont.

Le gouvernement va-t-il faire un geste pour le 7ème art ? Selon Les Echos, la TVA sur les tickets de cinéma pourraient être ramenée à 5% l’an prochain, contre 7% actuellement.

 Ce serait l’une des rares concessions de Matignon, qui a prévu d’augmenter cette taxe le 1er janvier 2014 pour la plupart des biens et services. Le point sur les différents taux qui s’appliquent en France (hors Corse et Outre-mer, qui bénéficient de régimes spécifiques plus favorables) et leurs futures évolutions.

> Le taux normal passera de 19,6% à 20% au 1er janvier

Ce taux concerne la plupart des biens et services : produits high-tech, véhicules, vêtements, coiffeurs, boissons alcoolisées… Fixé depuis 2001 à 19,6%, il devait être relevé à 21,2% le 1er octobre 2012. 

Cette hausse, décidée par Nicolas Sarkozy, avait été annulée par la majorité socialiste, une fois arrivée au pouvoir. Un geste de courte durée puisque l’exécutif a finalement décidé de le fixer à 20% à partir du 1er janvier prochain. Ce relèvement de 0,4 point entraîne, par exemple, une hausse de 2 euros pour un bien coûtant 500 euros TTC.

Le logement intermédiaire devrait toutefois échapper à ce coup de bambou. Afin de stimuler la construction de ces biens immobiliers à loyers maîtrisés, destinés à ceux qui ne peuvent prétendre aux logements sociaux mais dont les ressources sont trop limitées pour accéder au parc privé, François Hollande a annoncé en juin une baisse de 19,6% à 10% de la TVA sur ce secteur.

> Le taux intermédiaire va être relevé de 7% à 10%

Créé par le gouvernement Fillon, dans le cadre des mesures de réduction du déficit public, ce taux existe seulement depuis début 2012. Etabli à 7%, il concerne essentiellement d’anciens biens et services taxés à 5,5% : restauration, hôtellerie, transports publics, médicaments non remboursables…

Ce taux intermédiaire grimpera à 10% l’an prochain. Mais quelques secteurs devraient être épargnés. Le président de la République a d’ores et déjà annoncé une baisse de la TVA sur le logement social (construction et travaux de rénovation), à 5%. C’est ce même coup de frein qui devrait être appliqué aux tickets de cinéma.

> Le taux réduit sera abaissé de 5,5 à 5%

C’est le seul taux qui connaîtra un recul au 1er janvier prochain. Il concerne quasi exclusivement des produits de première nécessité : 

boissons non alcoolisées, produits alimentaires pouvant être conservés (sauf exceptions, comme le chocolat, les confiseries ou le caviar), équipements pour personnes dépendantes, cantines scolaires, abonnements aux gaz et à l’électricité… Sont aussi inclus, depuis cette année, les livres, qui étaient auparavant taxés à 7%.

> Le taux super réduit va être maintenu à 2,1%

Rares sont les biens et services qui bénéficient de ce taux « super réduit », auquel l’exécutif n’a pas touché. Citons notamment les médicaments remboursés par la Sécurité sociale, la presse, la contribution à l’audiovisuel public ou encore certaines représentations théâtrales et spectacles de cirque. Tous ceux-ci seront donc épargnés par la hausse de la TVA au 1er janvier prochain.

Thomas Le Bars

http://www.capital.fr/finances-perso/actualites/hausse-de-la-tva-les-biens-et-services-touches-et-ceux-qui-seront-epargnes-870157

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Y’en a mar du dérapage du déficit en 2013 et surtout des mensonges et des promesses non tenues du gouvernement

Posté par ippolito le 12 septembre 2013

Pourquoi la France ne tiendra pas son objectif de déficit en 2013

Pierre Moscovici confirme le dérapage du déficit en 2013. Il sera supérieur à 3,7 %, malgré une croissance annoncée conforme à la prévision du gouvernement.

Le ministre de l’Économie a reconnu que l’objectif de déficit de la France ne serait pas tenu en 2013 malgré son abaissement de 3 % à 3,7 % dans le programme de stabilité.

Le ministre de l’Économie Pierre Moscovici a confirmé mardi que le déficit public de la France serait supérieur à la prévision de 3,7 % du produit intérieur brut (PIB) en 2013, comme il l’avait déjà laissé entendre. « Nous n’avons pas souhaité un plan de rigueur face à une situation de faible croissance : autrement dit, le déficit public sera légèrement supérieur à ce qui était attendu », a-t-il détaillé sur RMC, en rappelant que la Commission européenne avait prévu un taux entre 3,7 et 3,9 %.

Ce dérapage est toutefois assez inquiétant dans la mesure où il devrait intervenir alors que le gouvernement paraît en position de tenir sa prévision de croissance pour 2013. 

« La croissance de 0,1 % est un minimum ; la France, à qui on promettait la récession, est en train de rebondir », a en effet estimé le ministre après le rebond de 0,5 % au deuxième trimestre. Dans ces conditions, le déficit aurait donc théoriquement dû être conforme à ce que prévoyait le gouvernement. 

Sauf si les dépenses ne sont pas aussi bien maîtrisées qu’annoncé ou si la croissance ne permet pas de faire rentrer autant d’impôts qu’attendu (les économistes parlent de l’élasticité soit la façon dont les recettes varient en fonction de la croissance). 

Dans son rapport annuel sur les perspectives des finances publiques, la Cour des comptes avait estimé que ce facteur pouvait entraîner jusqu’à 0,3 point de dérapage du déficit, soit 6 milliards d’euros. Ce qui signifie que même si la croissance attendue par le gouvernement est au rendez-vous (0,1 %), le déficit pourrait s’inscrire à 4 % du PIB. 

Priorité aux baisses de dépenses

Pierre Moscovici affirme néanmoins qu’il sera en position de tenir ses nouveaux objectifs de réduction du déficit après les deux ans donnés par Bruxelles pour revenir à 3 % de déficit : « Le déficit va baisser en 2014 par rapport à 2013 sur une trajectoire qui nous permettra d’être en deçà de 3 % en 2015″, a promis le ministre. Ce dernier doit adresser les prévisions macroéconomiques du gouvernement pour 2013 et 2014 au Haut Conseil des Finances publiques d’ici vendredi.

Interrogé sur les hausses d’impôts à prévoir en 2014, il a expliqué vouloir « une France bien gérée, économe, où les déficits structurels sont maîtrisés d’abord par la maîtrise de la dépense publique et non par les prélèvements obligatoires ». Selon lui, l’effort de réduction des déficits pour 2014 sera donc fait « à plus des deux tiers » par des économies dans les dépenses. 

http://www.lepoint.fr/economie/pourquoi-la-france-ne-tiendra-pas-son-objectif-de-deficit-en-2013-10-09-2013-1722795_28.php

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Y’en a marre que la pauvreté continue de progresser en France

Posté par ippolito le 12 septembre 2013

Pauvreté : l’enquête alarmante du Secours populaire‏

La pauvreté progresse en France. Ce n’est pas une surprise. Selon le sondage Ipsos pour le Secours populaire, les femmes célibataires sont les principales victimes d’une situation sociale qui ne cesse de se dégrader.

En 2013, ils sont 41 % à déclarer avoir connu une situation de pauvreté. C’est l’information révélée par le sondage Ipsos pour le Secours populaire (1). Aujourd’hui, l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) estime à 8,6 millions le nombre de personnes en France vivant sous le seuil de pauvreté. Pour rappel ce dernier est de 964 euros pour une personne vivant seule. 

Une enquête récente de l’Insee montre par ailleurs que les femmes sont moins touchées par le chômage que les hommes. Toutefois, le taux de chômage de celles-ci augmente plus rapidement. Elles sont aussi plus nombreuses à occuper des emplois à temps partiel et sont moins bien rémunérées que les hommes pour un poste équivalent. 

Parmi elles, les mères célibataires sont frappées de plein fouet par la pauvreté, selon le sondage publié le 5 septembre, par le Secours populaire.  

Problème pour payer son loyer dans les temps, pour se procurer une alimentation saine et équilibrée, ainsi que pour régler certains actes médicaux ou encore s’acheter des vêtements convenables, voilà la situation de ces mères parfois victimes de violences conjugales ou sans nouvelles d’un compagnon qui ne verse pas de pension alimentaire. 

Les sacrifices pour leurs enfants sont alors nécessaires. 51 % déclarent se priver de loisir et de sorties. 53 % disent se passer de l’achat d’un vêtement. « L’étude révèle ce que nous constatons sur le terrain au jour le jour dans nos 1 300 permanences », confie Henriette Steinberg, secrétaire nationale du Secours populaire, dans les colonnes du journal Libération. Si ces mères célibataires jugent plutôt satisfaisantes leurs conditions de logement, d’accès au soin, de déplacement, ou du soutien de leur entourage, elles sont 77 % à être mécontentes de leur niveau de vie et 95 % se disent inquiètent pour leur avenir. 

Pour ces mères, leur situation ne pourra s’améliorer qu’en luttant en priorité contre les écarts de salaire entre les hommes et les femmes à postes équivalents. 

La réforme du système des retraites pour assurer de meilleures pensions aux femmes qui ont interrompu leur carrière est aussi évoquée. Najat Vallaud-Belkassem, chargée du droit des femmes, était présente dans les locaux du Secours populaire lors de la présentation de l’enquête. Elle a rappelé qu’un projet de loi sur « l’égalité femme-homme » sera prochainement examiné devant le Parlement. 

Présenté en Conseil des ministres le 3 juillet dernier, le projet prévoit entre autre d’interdire l’accès aux marchés publics aux entreprises qui ne respecteraient pas les dispositions sur l’égalité professionnelle. L’expérimentation dans dix départements d’un mécanisme contre les impayés de pension alimentaire en collaboration avec les caisses d’allocation familiale est également prévue. 

La réforme des retraites qui sera présentée en Conseil des ministres le18 septembre prochain contient elle aussi des dispositions en faveur des femmes. Cependant elles ne devraient pas parvenir à réduire la différence de 25 % qui sépare en moyenne leurs pensions de celles des hommes. 
  
(1) Sondage Ipsos-Secours populaire réalisé par Internet du 18 au 24 juillet auprès d’un échantillon représentatif de la population française de 849 personnes (méthode des quotas)

THIBAULT LE BERRE

http://www.marianne.net/Pauvrete-l-enquete-alarmante-du-Secours-populaire_a231938.html

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Y’en a marre des promesses et des mensonges de François Hollande

Posté par ippolito le 12 septembre 2013

Hollande n’a pas tenu sa promesse d’inverser la courbe du chômage

« Mes promesses, je les tiendrai », déclarait le candidat François Hollande. Mais, comme la plupart de ses prédecesseurs, le président Hollande a rapidement déchanté, et appris à faire des promesses sans les tenir. C’est ainsi que le 9 septembre 2012, sur le plateau du « 20 heures » de TF1, le chef de l’Etat garantissait d’ »inverser la courbe du chômage d’ici un an ».

Une promesse répétée lors des vœux présidentiels du 31 décembre, et repoussée de trois mois à l’occasion : « Toutes nos forces seront tendues vers un seul but : inverser la courbe du chômage d’ici un an, [...] coûte que coûte. »

Moquée, la promesse était pourtant réfléchie : elle reposait sur l’espoir d’une conjoncture un peu moins récessive, mais aussi – et surtout – sur la montée en puissance des emplois aidés mis en place au début du quinquennat.

Mais, un an plus tard, force est de constater que le pari est raté, et la promesse non tenue. Avec 8 100 demandeurs d’emploi de plus en catégorie A en juillet, le chômage a connu son vingt-septième mois de hausse consécutive, ce dans toutes les catégories (jeunes, 25-55 ans, seniors). Depuis 2008, l’augmentation se poursuit sans qu’une autre tendance se dessine.

Il reste maintenant jusqu’au 31 décembre à M. Hollande et son gouvernement pour inverser la fameuse courbe. Au début de juillet, il se disait « confiant sur l’inversion de la courbe du chômage. Nous allons y arriver ». 

En attendant, l’UMP ne s’est évidemment pas privée de cette occasion de railler M. Hollande. Dans un communiqué, Camille Bedin, secrétaire générale adjointe du parti, estime que « la situation s’est même aggravée » en un an, et juge « urgent que François Hollande fasse de l’emploi sa priorité au lieu d’attendre les bras ballants un retour de la croissance mondiale ».

Par Samuel Laurent

http://www.lemonde.fr/emploi/article/2013/09/09/hollande-n-a-pas-tenu-sa-promesse-d-inverser-la-courbe-du-chomage_3473518_1698637.html

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Y’en a marre de la réforme ratée des retraites

Posté par ippolito le 12 septembre 2013

Une réforme des retraites ratée?

La fameuse réforme des retraites qui s’annonçait explosive semble faire, en partie, consensus auprès des syndicats. Pourtant, selon moi, le président François Hollande est vraiment passé à côté de cette réforme. 

Réforme, vous avez dit réforme ? Pour moi, cette réforme est ratée. Pourquoi? Premièrement, car nous assistons à un replâtrage sans repartir sur de bases saines, essentielles selon moi. Nous constatons donc une fausse réforme, ou, dit autrement, un nouveau matraquage fiscal déguisé en réforme.  

Deuxièmement, car le gouvernement se contente d’augmenter les cotisations vieillesse. Un mauvais signe pour les Français, déjà mis de nombreuses fois à contribution et qui risquerait d’étouffer la croissance qui commence à repartir.  

Troisièmement, car le courage n’est pas de la partie. En effet, des trimestres de cotisation seront rajoutés progressivement, à partir de 2020. Pourquoi pas maintenant? J’ai le sentiment que les Français sont enfin prêts pour des réformes courageuses comme l’ont montré les syndicats qui se sont montrés coopératifs. 

Ensuite, le gouvernement a mis en place une stratégie d’évitement: il a mis en place un compte pénibilité qui restreint les économies -le but de la réforme- mais qui apaise les Français et les syndicats.  

Quatrièmement, car cette réforme était annoncée comme juste. Mais pour moi, ce sont seulement de belles paroles. Il faut souligner l’avancée majeure sur la pénibilité, mais qu’en est-il des 36 régimes spéciaux et des inégalités majeures entre le privé et le publique? 

Si on les supprimait, nous pourrions alors instaurer un système juste et qui ferait des économie à hauteur de plusieurs milliards d’euros (en 2013, l’Etat a dépensé 7,7 milliards d’euros pour financer les régimes spéciaux).  

Cinquièmement, car une nouvelle réforme sera nécessaire dans les prochaines années. L’actuelle est, comme je l’ai dit précédemment, superficielle.  

C’est pourquoi je pense que François Hollande doit sortir du classement Pol story… car sa réforme est tout simplement ratée. 

- 1 point pour le président François Hollande dans le classement Pol Story de la semaine. 

http://www.lexpress.fr/actualite/5-raisons-qui-montrent-que-la-reforme-des-retraites-est-ratee_1276942.html

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Y’en a marre des hausses d’impôts décidées et envisagées par le gouvernement

Posté par ippolito le 12 septembre 2013

Les hausses et les baisses d’impôts décidées et envisagées

En attendant la «pause fiscale», Le Figaro passe en revue les principaux changement fiscaux à anticiper pour 2014.
• Augmentation de la TVA

En attendant la «pause fiscale», Le Figaro passe en revue les principaux changement fiscaux à anticiper pour 2014.

Alors que les prélèvements obligatoires ont atteint en 2013 le taux record de 46,3 % du PIB, la «pause fiscale» annoncée par François Hollande est à relativiser. Bercy vise certes une «stabilisation» des prélèvements l’année prochaine. Mais si le gouvernement compte épargner les entreprises, la facture va continuer à augmenter pour les ménages, en particulier pour les plus aisés. Revue des principaux changements fiscaux.

LES HAUSSES DÉJÀ DÉCIDÉES

Le taux normal de la TVA va passer au 1er janvier de 19,6 % à 20 % et le taux intermédiaire (restaurant, travaux du logement, cinéma) de 7 à 10 %. Le taux réduit (alimentation, gaz et électricité) va en revanche être ramené de 5,5 % à 5 %. Ces mesures, votées fin 2012, doivent rapporter 6,4 milliards pour financer une partie du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE).

• Baisse du plafond du quotient familial

Déjà réduit dans le précédent budget, le plafond du quotient familial va être abaissé de 2 000 à 1 500 euros. Ce coup de rabot vise les familles les plus aisées. Le gouvernement en attend une économie de 1 milliard. Selon Bercy, 1,3 million de ménages sont concernés, les plus riches, soit 12 % de ceux avec enfants. Leur impôt augmentera en moyenne de 768 euros sur un an. Mais, pour certains, les impôts bondiront de 500 euros par demi-part, soit 500 euros pour un enfant, 1 000 euros pour deux enfants et 2 000 euros pour 3 enfants… L’impact sera maximal à partir d’un revenu de 77 160 euros pour un couple avec 2 enfants et de 95 640 euros avec 3 enfants.

• Hausse des cotisations retraite

Contrairement à celle prévue pour les entreprises, la hausse des cotisations retraite des salariés ne sera pas compensée. Elle est de 0,15 point en 2014 et au total de 0,3 point d’ici à 2017. S’y ajoutera un relèvement déjà acté des cotisations de retraite complémentaire, décidé par les partenaires sociaux. Par ailleurs, la majoration de 10 % des pensions pour familles nombreuses sera désormais fiscalisée.

• Relèvement des droits de mutation

Il s’agit d’un impôt payé lors de l’acquisition d’un bien immobilier. Les départements peuvent jusqu’à présent appliquer un taux d’imposition maximal de 3,8 %. Ils vont être autorisés à monter jusqu’à 4,5 % en 2014.

• Taxe à 75 % sur les revenus supérieurs à 1 million

Cette mesure symbolique sera finalement acquittée par les entreprises. La question est de savoir si cette taxe s’appliquera sur les revenus de 2013 ou de 2014.

• Nouvelle imposition sur les dividendes et intérêts

Jusqu’à présent taxés à un pourcentage fixe, les dividendes et intérêts vont être imposés selon le barème de l’impôt sur le revenu, ce qui augmentera la facture pour les plus hauts salaires.

LES HAUSSES ENVISAGÉES

• Suppression de niches

Le gouvernement veut s’attaquer aux niches fiscales qui ont représenté en 2012 un «manque à gagner» fiscal de 70,8 milliards. Bercy, qui a déjà prévu de supprimer des réductions d’impôts pour les familles ayant des enfants dans le secondaire, devrait étendre cette mesure aux étudiants. L’État va gagner 445 millions d’euros avec cette seule mesure. Bercy souhaiterait par ailleurs diminuer les avantages fiscaux des salariés dont la complémentaire santé s’inscrit dans un contrat collectif, selon Les Échos.

LES BAISSES DÉJÀ DÉCIDÉES

• Cice: Crédit impôt compétitivité recherche

Le Cice va permettre aux ­entreprises de récupérer l’an ­prochain 4 % de leur masse ­salariale, soit une dépense de 10 milliards pour l’État.

• Indexation sur l’inflation du barème de l’IR

Elle sera rétablie en 2014, après avoir été levée en 2012 par ­François Fillon et confirmée en 2013 par Jean-Marc Ayrault.

• Chute de la fiscalitésur les plus-values des cessions immobilières

La cession d’une résidence secondaire est exonérée de taxe depuis le 1er septembre au bout de 22 ans, contre 30 ans auparavant.

• Adoucissement de la taxation des plus-values de cessions mobilières

En réponse à la révolte des «Pigeons», la taxation des plus-values de cessions d’actions et d’obligations sera certes alignée sur le barème de l’impôt sur le ­revenu, mais donnera droit à des abattements.

BAISSE ENVISAGÉE

• Réduction de l’impôt sur les sociétés

Bercy envisage de baisser l’impôt sur les sociétés, l’un des plus ­élevées d’Europe (33,3 %) de 1 point, comme l’indiquait Le ­Figaro le 4 septembre.

http://www.lefigaro.fr/impots/2013/09/07/05003-20130907ARTFIG00335-les-hausses-et-les-baisses-d-impots-decidees-et-envisagees.php

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