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Y’en a marre de la politique économique de la France

Posté par ippolito le 20 novembre 2013

Quand Harvard démolit la politique de la gauche

Un professeur de la prestigieuse université démontre par A + B que notre politique économique est un désastre. Pourtant rien ne change. Silence, on coule !

Tandis que la France s’enfonce dans un marasme absolument sans précédent, tellement lourd qu’on ne sait plus comment faire en sorte que les socialistes s’en aperçoivent, ceux-ci ne trouvent rien de plus urgent que de s’attaquer au problème du racisme.

Tous les jours, des usines ferment et des entreprises sont liquidées, mais c’est à la une d’un journal que personne ne lit que la gauche tout entière consacre son attention. Ne craignant pas de se caricaturer elle-même, cette grande famille fiscale s’est réunie ce week-end dans un cinéma de Saint-Germain des Prés, à l’initiative de Bernard-Henri Lévy.

Le président de la République en personne y est allé de son commentaire depuis Israël, où il était interviewé par une Ruth Elkrief qui s’adressait à lui comme on parle à une personne très âgée dont on n’est pas certain qu’elle nous comprenne bien. Ce qui frappait, comme d’habitude, c’est la joie de ce bonhomme, qui en dépit de sa chute libre dans l’opinion continue de discourir avec gourmandise, semblant par moments contenir un rire malvenu montant irrépressiblement du fond de son indéfectible optimisme. Espérons qu’il donne son corps à la science : des voies nouvelles s’offriront à la neurologie.

La politique économique de la France est une catastrophe

Les élections présidentielles ont donné le pouvoir politique à des fous. Ces gens sont tellement aveuglés par leur dogme qu’ils prennent des mesures qui sont en train d’achever le malade. Notre pays observe, interloqué, son médecin lui administrer (c’est le cas de le dire) les dernières doses de poison. Une bonne nouvelle : si nous nous relevons de ce quinquennat, nous pourrons conquérir le monde, et au-delà.

Le professeur Philippe Aghion, qui enseigne l’économie à l’université de Harvard – laquelle sera bien sûr accusée par l’Unef d’être une fac de droite, néfaste, inféodée à Goldman Sachs, bien moins utile au bien commun que le département sociologie de Lyon 2 -, a publié une tribune lapidaire dans Le Monde du 16 novembre dernier.

Il dit en substance : 1. Il y a des politiques économiques qui marchent. 2. Elles ont été testées ailleurs et ont démontré leur efficacité. 3. La politique économique de la France est une catastrophe.

Il écrit notamment que « les comparaisons internationales montrent que les ajustements reposant sur les réductions de dépenses publiques ont permis de rétablir la croissance, tandis que l’ajustement basé sur des chocs fiscaux a entraîné des récessions fortes et prolongées ».

Pourquoi les chauves qui nous gouvernent n’écoutent-ils pas cet homme ? Qui d’autre écoutent-ils ? Cécile Duflot et sa licence de géographie ? Benoît Hamon et sa licence d’histoire ? Yamina Benguigui et son remarquable apport à la vie politique française ?

À qui avons-nous confié le fameux monopole de la violence légitime, la faculté de faire des lois, de donner des ordres aux préfets, de commander à l’administration, d’édicter des circulaires, de nommer tel ou tel directeur de telle ou telle institution, de nous représenter sur la scène internationale, de décider de la politique migratoire, des interventions militaires, des programmes scolaires ?

Jusqu’où iront-ils, et qui les arrêtera ? Gaspard Proust a eu raison de souligner que grâce aux sondages, le chef de l’État allait bientôt pouvoir connaître l’identité de ceux qui le soutiennent. Les journalistes de Minute, peut-être. Par gratitude.

http://www.lepoint.fr/invites-du-point/charles-consigny/quand-harvard-demolit-la-politique-de-la-gauche-20-11-2013-1758871_1449.php

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Y’en a marre de l’augmentation de la taxe sur l’électricité

Posté par ippolito le 20 novembre 2013

La taxe sur l’électricité pourrait augmenter de 9 euros

La Commission de régulation de l’énergie (CRE) préconise d’augmenter la taxe pour les énergies renouvelables et les tarifs sociaux de 9 euros en 2014. Cette hausse devrait servir à compenser les charges pesant sur EDF

La CSPE, payée par les particuliers via leur facture d’électricité, pourrait bien augmenter de 9 euros au lieu des 3 euros prévus en 2014. (Philippe Huguen – AFP)1 / 1
Les énergies renouvelables vont peser un peu plus sur la facture d’électricité des Français. Selon le rapport de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), la contribution au service public de l’électricité devrait augmenter de 9 euros en 2014 pour équilibrer les charges d’EDF.

Cette taxe, la CSPE, sert à financer les missions de service public d’EDF dans trois domaines: les énergies renouvelables, la péréquation tarifaire, qui assure l’égalité de tarifs sur tout le territoire, et les dispositifs sociaux.

En 2012, ces charges de service public ont coûté 4,83 milliards d’euros à EDF. Pour 2013, elles devraient atteindre 5,13 milliards d’euros, et pour 2014, 6,18 milliards d’euros selon les prévisions de la CRE. Dès lors, il faudrait augmenter la CSPE de 9 euros par mégawattheure en 2014, au lieu des 3 euros prévus par la loi, estime la CRE.

Le coût des énergies renouvelables en hausse

L’essentiel de ces charges provient des énergies renouvelables. En 2012, le rachat d’énergie d’origine éolienne a coûté 555 millions d’euros, et celui du photovoltaïque plus de 1,8 milliard d’euros, soit 450 millions de plus que prévu.

La CRE explique cette augmentation des charges par une baisse des prix sur le marché de l’électricité, alors qu’EDF doit racheter l’électricité à des tarifs fixes, et par une hausse des puissances installées dans la photovoltaïque.

La tendance ne devrait pas s’inverser pour 2013 et 2014. La CRE prévoit respectivement 3 et 3,72 milliards d’euros de charges liées aux énergies renouvelables. Elles représenteront ainsi 60% des coûts supportés par EDF en 2014 au titre de missions de service public, dont 38,7% pour le photovoltaïque seul.

Extension des tarifs sociaux et régions isolées

Autre charge répercutée au consommateur via la CSPE: la péréquation tarifaire. Ce dispositif prévoit un tarif national unifié, même dans les régions mal raccordées, comme la Bretagne ou les DOM. Une égalité du territoire qui a coûté 1,3 milliard d’euros à EDF en 2012. Pour 2014, cette charge va grimper à 1,65 milliard d’euros.

Enfin, les tarifs sociaux et de première nécessité, ont représenté 93 millions d’euros de charges en 2012, soit moins de 2% des charges de service public. Cette part devrait doubler en 2014, avec l’extension des tarifs sociaux à quatre millions de foyers. Le dispositif social coûterait alors 350 millions d’euros à EDF.

http://www.bfmtv.com/economie/taxe-l-electricite-devrait-augmenter-9-euros-649484.html

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Y’en a marre du chômage et surtout des mensonges de François Hollande

Posté par ippolito le 20 novembre 2013

ÉCONOMIE. Chômage : l’OCDE ne prévoit pas de baisse en France avant 2015

L’OCDE a indiqué mardi dans son rapport annuel de conjoncture tabler pour la France sur un taux de chômage de 10,6% cette année, grimpant à 10,8% l’an prochain pour décliner très légèrement à 10,7% en 2015.
 
Le président François Hollande a fait de l’inversion de la courbe du chômage dès cette année son grand objectif politique. Si elle advient, ce sera avant tout grâce à des dispositifs d’emplois aidés mis en place par le gouvernement, ont déjà averti les économistes.

L’Organisation de coopération et de développement économique, qui qualifie la croissance française d’ «erratique», table sur une progression du Produit intérieur brut de la France de 0,2% cette année, 1,0% l’an prochain puis 1,6% en 2015.

Elle estime que «davantage de réformes structurelles seront nécessaires pour doper la compétitivité» française, notamment pour «développer les incitations à travailler», mais qualifie de «bienvenu» l’effort de réduction de la dépense publique promis par le gouvernement.

Le ton du rapport publié mardi est modéré, alors que la même OCDE avait été plus mordante la semaine dernière à l’occasion de la publication d’un rapport spécifique sur la compétitivité en France.

Partant du constat de la perte de compétitivité de la France, l’OCDE avait alors estimé qu’elle était «le symptôme de faiblesses économiques sous-jacentes».

Ce recul «ne renvoie pas seulement à la question de la capacité d’exportation de la France mais d’une manière plus générale à sa capacité productive et à son potentiel de croissance», affirmait alors le club des pays riches.

http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/11/19/chomage-l-ocde-ne-prevoit-pas-de-baisse-en-france-avant-2015

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Y’en a marre d’être taxer surtout pour les PME

Posté par ippolito le 20 novembre 2013

En Europe, seule l’Italie taxe plus ses PME que la France

Le cabinet PwC a comparé dans 189 pays les impôts et charges que paie une entreprise moyenne de 60 salariés. Les résultats se passent de commentaires.

En plein débat sur le ras-le-bol fiscal, voici une étude qui pourrait donner du grain à moudre aux partisans d’une baisse des impôts pesant sur les entreprises. D’après le dernier rapport « Paying Taxes 2014″ de la Banque mondiale et de PwC, le taux d’imposition total en France tutoie des sommets.

A 64,7% des bénéfices commerciaux (voir ci-dessous la méthodologie), il est le plus important en Europe derrière l’Italie (65,8%). Soit bien au-dessus de la moyenne européenne (41,1%) et mondiale (43,1%) sur les 189 pays étudiés par le cabinet sur l’année 2012.

Si son taux d’impôt sur les sociétés est relativement modeste (8,7%, contre 8,2% il y un an), la principale raison de ce niveau de prélèvements est à chercher du côté des cotisations sociales. L’Hexagone est, en la matière, championne d’Europe, avec le taux de charges sociales le plus élevé du vieux continent (51,7% des bénéfices commerciaux), devant la Belgique (50,3%) et l’Italie (43,4%).

Les ménages également soumis à des prélèvements obligatoires records 

Les entreprises françaises ne sont pas les seules à avoir été mises à contribution. Les ménages ont aussi dû mettre la main à la poche ces dernières années, de sorte que le taux de prélèvements obligatoires (qui repose sur un autre calcul et qui concerne aussi les contribuables) atteint un nouveau record cette année à 46,3% du PIB.

Une autre étude publiée en mai dernier de la Commission européenne confirmait aussi la place de la France parmi les nations de l’UE qui prélèvent le plus ses citoyens et ses entreprises. Et il y a quelques jours à peine, l’OCDE se fendait d’un rapport de 90 pages de conseils à la France pour améliorer sa compétitivité, en insistant notamment sur la nécessité d’alléger la pression fiscale sur les entreprises.  

La mondialisation exacerbe la concurrence fiscale

Car dans un contexte de renforcement de la concurrence mondiale, PwC observe que le taux d’imposition total des sociétés a eu tendance à baisser depuis le début des années 2000. Le niveau d’imposition est ainsi passé de 53,4% en 2004 à 44,3% en 2012. Y compris pendant la crise puisque sur un an, il recule de 1,1 point (après s’être déjà replié de 0,3 point en 2011).

Toutefois, tandis que le niveau global baissait partout dans le monde jusqu’en 2008, des différences régionales notables apparaissent désormais. Aujourd’hui, seules les entreprises africaines et sud-américaines connaissent une baisse de leur taux d’imposition.

Rappelons cependant que ce sont celles qui connaissent les taxes les plus lourdes. En Europe, le niveau de prélèvements se maintient. Ce qui s’explique notamment par la volonté de certains pays de réduire leurs déficits publics en captant de nouvelles ressources, plutôt que de miser sur un environnement économique plus favorable aux entreprises.

Les entreprises moins taxées en Europe qu’en Amérique du Nord

Dans ce domaine, ce sont les pays du Moyen-Orient, profitant de la manne pétrolière, qui taxent le moins les entreprises, avec un taux d’imposition total de 23,7%. Viennent ensuite ceux de la région Asie Pacifique. De façon contre-intuitive, PwC constate que les entreprises européennes sont moins ponctionnées que leurs homologues d’Amérique du Nord (qui ont un taux d’imposition total de 41,4%).  

Pour arriver à ces chiffres, l’étude évalue la part d’impôts que doit payer une entreprise type fictive. Celle-ci compte 60 employés, appartient à son président et remplit une quinzaine de critères précis (comme un taux de marge brute de 20% ou la distribution de 50% de ses bénéfices en dividendes à ses propriétaires à la fin de sa deuxième année d’existence).

L’enquête de PwC et de la Banque mondiale s’intéresse ici au taux d’imposition total. Ce dernier mesure l’intégralité des charges qui pèsent sur une entreprise comme l’impôt sur les sociétés, les cotisations versées pour les salaires mais aussi l’imposition des dividendes ou des plus-values. En revanche, elle ne prend pas en compte la TVA, considérée comme une taxe prélevée par l’entreprise pour le compte de l’Etat mais qui est payée par les acheteurs finaux.

Le total des prélèvements, déductions fiscales comprises, est comparé aux bénéfices commerciaux tels que définis par PwC (et qui diffèrent quelque peu de la notion comptable de bénéfices avant impôts).

Cette méthode a l’avantage de permettre des comparaisons internationales plus aisées et de prendre en compte l’ensemble des taxes et impôts effectifs auxquels sont soumises les entreprises au cours de leur vie à un instant donné. Et pas seulement les taux affichés, comme le faisait une étude d’Ernst & Young publiée en 2012.

http://www.challenges.fr/economie/20131119.CHA7179/seule-l-italie-taxe-plus-ses-pme-que-la-france-en-europe.html

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