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Y’en a marre de la hausse de la TVA

Posté par ippolito le 1 décembre 2013

Combien va vous coûter la hausse de la TVA au 1er janvier ?

Jean-Luc Mélenchon appelle à défiler, dimanche, contre la hausse de la TVA, prévue au 1er janvier. Quel sera l’impact de cette augmentation ? Francetv info a effectué trois simulations, de la famille de quatre personnes au célibataire.

En plein ras-le-bol fiscal, nombreux sont ceux qui, au sein de la majorité, redoutent que ce soit « la goutte de trop ». Au 1er janvier, le taux réduit de TVA restera à 5,5%, mais le taux intermédiaire passera de 7% à 10%, et le taux principal passera de 19,6% à 20%. Deux augmentations qui font craindre une hausse des prix. Selon les premiers calculs de l’Insee, la hausse du 1er janvier devrait déboucher sur une augmentation moyenne des prix d’environ 0,35%.

Pour tenter d’avoir un ordre d’idée assez concret, francetv info a donc choisi de faire trois simulations mensuelles, avec trois types de ménages différents. Résultat : même en cas de répercussion intégrale de la hausse de la TVA sur les prix, l’impact en fin de mois resterait relativement limité (+0,6% à +0,8%).

Exemple 1 : un célibataire parisien, dépensant 2 200 euros par mois
Julien a 29 ans et habite à Paris. Lui qui voyage beaucoup risque d’être assez fortement touché par le passage du taux de TVA dans les transports publics, de 7% à 10%. Si la SNCF reporte intégralement la hausse sur le prix du billet, son aller-retour en TGV à Marseille lui coûtera, par exemple, près de 4 euros plus cher au 1er janvier. Son abonnement de métro risque, lui aussi, de lui coûter quelques euros de plus tous les mois…

Alors comment ces entreprises de transport en commun répercuteront-elles la hausse de la TVA ? Spécialiste de l’économie des transports, Yves Crozet, interrogé par Terra Eco, estime que « la répercussion de la TVA sur le prix du billet sera quasiment automatique, car ni les opérateurs, ni les collectivités ne voudront assumer ce coût ». Mais pour Claude Faucher, délégué général adjoint de l’Union des transports publics et ferroviaires (UTP), « à trois mois des municipales, la tendance ne sera sans doute pas à l’augmentation tout de suite. Certains réseaux ont déjà annoncé que la discussion se fera au printemps pour une augmentation au 1er juillet. »

Exemple 2 : un couple avec deux enfants, dépensant 2 700 euros par mois

Laura et Olivier, 37 ans, ont deux enfants et habitent à Nantes. Seront-ils fortement impactés par la hausse de la TVA au 1er janvier ? Classée à droite, l’association Familles de France parle d’ »un impôt injuste pour les familles, en particulier nombreuses », alors que « les familles sont à l’origine de la consommation, et donc de la croissance ».

Selon une étude menée en 2008 pour l’Insee, les 10% de ménages les plus pauvres consacrent 11,52% de leur pouvoir d’achat à la TVA, alors que les 10% les plus riches n’y consacrent que 5,92%. Autrement dit, plus une famille est aisée, moins elle est touchée par la hausse de la TVA. Et a contrario, plus son niveau de vie est faible, plus elle est concernée…

Exemple 3 : un couple de retraités, dépensant 900 euros par mois
Marie-Odile et Gérard, eux, ont 71 ans. Ils ont tous les deux une retraite moyenne, et ont recours à plusieurs services à la personne : plusieurs fois par mois, ils se font, par exemple, livrer des repas à domicile, font appel à une entreprise pour faire le ménage et le repassage… Des services qui vont voir leur taux de TVA augmenter au 1er janvier de 7% à 10%.

Or, « le secteur des services à la personne est l’un de ceux qui se révèlent les plus sensibles aux hausses de taxes, du fait de la faiblesse des marges dégagées », souligne Le Nouvel Economiste. Par conséquent, « la moindre augmentation décidée par les pouvoirs publics ne peut qu’être répercutée sur le prix facial des services ». Marie-Odile et Gérard devront donc faire un choix : soit payer davantage, soit avoir moins recours aux services à la personne, soit – comme le craignent les entreprises du secteur – se tourner vers le travail au noir…

Conclusion : un impact non négligeable sur la consommation des ménages

Les économistes sont unanimes : il est pour l’instant difficile d’anticiper l’impact précis de la hausse de la TVA sur les prix. « En théorie, l’impact en cas de répercussion intégrale serait une hausse des prix de 0,5%. Mais en pratique, la répercussion n’est jamais intégrale, souligne Cédric Audenis, chef du département conjoncture de l’Insee, contacté par francetv info.

En moyenne, elle devrait en réalité se situer autour de 70%. » Auteur d’une étude sur la question en 2008, l’économiste Clément Carbonnier précise que, d’après ses observations empiriques, la répercussion sur les prix sera proche de 100% dans les services ou sur les boissons alcoolisées, alors qu’elle sera plutôt de l’ordre de 66% dans l’hôtellerie-restauration, et de 50% sur les biens industriels.

Résultat : les prix ne devraient pas augmenter en moyenne de 0,5%, mais de 0,35%. Et encore. « Au 1er janvier, le crédit d’impôt compétitivité va redistribuer 20 milliards d’euros aux entreprises. Celles-ci pourront alors augmenter leurs marges, embaucher davantage, ou baisser les prix. Et à l’Insee, nous nous attendons à un impact à la baisse sur les prix », fait valoir Cédric Audenis.

Une chose est sûre : alors que le pouvoir d’achat des ménages a déjà reculé de 0,9% en 2012 – du jamais vu depuis 1984 –, cette augmentation de TVA, même limitée, va bel et bien peser un peu plus sur le porte-monnaie des Français, en particulier celui des ménages les moins aisés.

Et l’impact sur l’économie ne sera pas négligeable. Selon les premiers calculs de l’Insee, la consommation des ménages devrait progresser d’environ 0,8% en 2014 en raison de la hausse de la TVA, alors qu’elle aurait pu atteindre 1,15% si cette augmentation n’avait pas eu lieu. Pas vraiment de quoi faciliter le sacro-saint retour de la croissance.

Par Bastien Hugues

http://www.francetvinfo.fr/economie/impots/combien-va-vous-couter-la-hausse-de-la-tva-au-1er-janvier_467926.html

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Y’en a marre du budget de la défense en 2013

Posté par ippolito le 1 décembre 2013

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Carton jaune de la Cour des comptes sur la gestion du budget de la défense en 2013

La Cour des comptes regrette que les dépenses d’équipements jouent, comme chaque année, le rôle de variable d’ajustement au profit de la masse salariale et des opérations extérieures

La Cour des comptes estime que la budgétisation des opérations extérieures et de la masse salariale s’est révélée « systématiquement insuffisante ces dix dernières années ».

Dans son rapport sur les crédits du budget de l’Etat ouverts par décret d’avance pour un montant total de 1,24 milliard d’euros de crédits de paiement au total, la Cour des comptes adresse un carton jaune au gouvernement pour sa gestion du budget de la défense.

Car en contrepartie de ce décret d’avance, Bercy a annulé des crédits, dont ceux de la mission Défense qui « fait l’objet d’annulations importantes ». Au total, précise-t-elle dans son rapport publié ce vendredi, 1,75 milliards d’euros en autorisations d’engagement (AE) et 741,3 millions d’euros en crédits de paiement (CP) ont été annulés.

« Les dépenses d’équipements jouent, comme chaque année, le rôle de variable d’ajustement au profit de la masse salariale et des OPEX, alors qu’elles étaient nécessaires pour respecter le calendrier de la loi de programmation militaire », regrettent les sages de la rue Cambon. Ainsi, le décret d’avance annule 205,9 millions d’AE et 464,8 millions de CP (dont 15 millions de titre 2), principalement au sein du programme 146 (Equipement des forces).

Des annulations complémentaires sont prévues dans le projet de loi de finances rectificative (1,54 millions en AE et 276 millions en CP), également sur ce programme pour l’essentiel. Un programme 146 qui nourrit les industriels et préserve l’emploi…

Des reports de charges en hausse

Pour autant, le ministère devrait récupérer des crédits via des ressources exceptionnelles. « Ce point est confirmé par un accord interministériel entre Défense et Budget prévoyant l’octroi de ressources exceptionnelles (REX) supplémentaires en 2014 afin de financer les dépenses de 2013 qui n’auront pas pu être financées sur cet exercice du fait des annulations », confirme la Cour des comptes, qui pourtant reste très prudente sur ces fameuses REX : « les crédits annulés seront donc a priori rouverts en 2014 mais ces recettes ne sont toutefois pas garanties ».

Selon la Cour, cette opération ne fera qu’augmenter le report de charges de la mission Défense déjà conséquent. Les arrêtés de report du 28 mars 2013 concernaient 12,6 milliards d’AE et 69 millions de CP.

La budgétisation des opérations extérieures dans la ligne de mire

La Cour des comptes critique la budgétisation des surcoûts des opérations extérieures (OPEX). Une habitude. Alors que, en moyenne, le coût des opérations se situe depuis plusieurs années autour de 800 millions d’euros, la loi de finances initiale (LFI) 2013 prévoit des crédits à hauteur de 630 millions d’euros.

« Une budgétisation en LFI plus réaliste aurait permis, tout en couvrant les autres OPEX (de l’ordre de 600 millions), de réduire les montants ouverts par décret d’avance pour l’opération au Mali », déplore la Cour. Au titre des OPEX, 578 millions ont été ouverts afin de couvrir la plus grande partie du coût de l’opération Serval au Mali, dont le coût total est estimé à 647 millions d’euros.

« Cette situation paraît devoir perdurer dans la mesure où le projet de loi de finances 2014 abaisse les crédits OPEX à 450 millions, expliquent les sages de la rue Cambon. Or, l’opération Serval devrait se poursuivre dans un format supérieur à celui prévu initialement, le retrait d’Afghanistan continue à se traduire par des coûts élevés (259 millions en 2013) et la situation en Centrafrique soulève des interrogations ».

La France, qui dispose déjà sur place d’un contingent de 410 hommes, s’apprête à intervenir à Bangui en augmentant d’au moins un millier d’hommes sa présence. De fait, les montants budgétés dans le PLF 2014 pourraient être dépassés. Et la Cour estime que « la budgétisation des OPEX s’est systématiquement révélée insuffisante ces dix dernières années ».

Dérapage de la masse salariale

Outre les OPEX, le décret d’avance a ouvert 189,6 millions d’euros de crédits de masse salariale. Le ministère de la défense impute ce dépassement aux dysfonctionnements du calculateur Louvois – « comme l’an dernier », rappelle le rapport -, à de moindres attributions de produits au profit du service de santé des armées et au dynamisme de certaines dépenses de guichet telles que l’indemnisation du chômage des anciens militaires ou celles des victimes de l’amiante.

Pourtant, comme l’écrit la Cour des comptes, « de tels dépassements de crédits de titre 2 sont constants sur les quatre dernières années, même s’ils sont inférieurs cette année au niveau de l’an dernier (il se situait à 270 millions d’euros hors OPEX) ».

La Cour avait déjà souligné que la budgétisation initiale pour 2013 serait vraisemblablement insuffisante en dépit d’une remise à niveau de 200 millions d’euros de crédits budgétaires supplémentaires. « L’ouverture de crédits en décret d’avance résulte donc davantage d’une sous-budgétisation que de l’imprévisibilité », critique la Cour.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20131129trib000798584/carton-jaune-de-la-cour-des-comptes-sur-la-gestion-du-budget-de-la-defense-en-2013.html

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Y’en a marre des prévisions impitoyables pour 2014

Posté par ippolito le 1 décembre 2013

Chômage : les prévisions impitoyables pour 2014

De la Commission européenne à l’OCDE en passant par le FMI, les grandes institutions économiques s’attendent à ce que le nombre de demandeurs d’emploi continue à augmenter en 2014.

Le temps presse : dans quelques semaines, le gouvernement devra rendre compte de son engagement à entamer une baisse durable du chômage fin 2013 – une promesse que François Hollande a semblé nuancer ce jeudi, avant de faire marche arrière. Les chiffres de Pôle Emploi pour le mois d’octobre, qui seront publiés en fin d’après-midi, en diront plus sur les chances de voir s’inverser la fameuse courbe.

Toutefois, plusieurs prévisions publiées récemment par de grandes institutions économiques ont battu cet espoir en brèche. Dernière en date : l’OCDE, qui prédit dans son rapport annuel que le taux de chômage atteindra 10,8% l’année prochaine, contre 10,6% en 2013. Il faudrait attendre 2015 pour le voir (légèrement) refluer, à 10,7%. Peu avant, la Commission européenne misait elle aussi sur un chômage en hausse, le voyant passer de 11% à 11,2% l’année prochaine. 

Le mois dernier, l’OFCE livrait elle aussi des pronostics pessimistes. Selon l’institut français, «aucune amélioration notable du chômage n’est à attendre d’ici la fin de l’année 2014». 

Certes, la multiplication des contrats aidée ainsi que le Crédit d’impôt compétitivité emploi permettraient une «stabilisation» entre la fin de cette année et le début de la suivante. Mais «le taux de chômage repartirait ensuite à la hausse jusqu’en fin d’année 2014, les créations d’emplois dans le secteur non-marchand étant insuffisantes pour absorber la hausse de la population active».

En octobre également, le FMI pronostiquait un chômage quasi-stable en 2014, voyant son taux passer de 11% à 11,1%. En septembre enfin, les prévisions de l’Unedic (assurance chômage) misaient sur 75 000 inscrits supplémentaires en catégorie A l’année prochaine. 

Dans chaque scénario, la hausse du chômage est faible – en tout cas largement inférieure à celle de 2013, où les effectifs de la catégorie A devraient augmenter de 170 000 selon l’Unedic. Mais aucune institution ne s’attend à un franc retournement de la courbe l’année prochaine.

On mesure donc la taille du défi que s’est lancé le gouvernement. «Cette promesse [de faire baisser le chômage avant fin 2013] m’a toujours laissé perplexe», soulignait récemment auprès de Libérationle leader de la CFDT, Laurent Berger. 

De son côté, l’exécutif mise sur une reprise de la croissance, conjuguée au traitement social du chômage et à sa politique favorisant l’investissement des entreprises. Il aura cependant fort à faire pour que la «baisse durable» ne se transforme, au mieux, qu’en simple accalmie.

Dominique ALBERTINI

http://www.liberation.fr/economie/2013/11/28/chomage-les-previsions-impitoyables-pour-2014_961869

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Y’en a marre du coût du site web de l’Elysée

Posté par ippolito le 1 décembre 2013

Combien va coûter la web série de l’ Elysée ?

L’ Elysée s’est payé une web série aux frais des contribuables pour se faire un coup de promo. 

Avec une cote de popularité au plus bas, l’ Elysée a décidé de se payer une campagne promotionnelle aux frais des contribuables. L’ Elysée à déjà mis en ligne le début de cette web série, sorte de reportage scénarisé entre téléréalité et documentaire, dont le but est de montrer les coulisses de la présidence. 

Ces vidéos ont été réalisées par le service communication de l’ Elysée et ont donc été payées avec l’argent des contribuables. Un moyen détourné et coûteux pour tenter de redorer le blason de la présidence.

On ne connait pas encore le coût de la web série de l’ Elysée, mais à l’heure où les français doivent se serrer la ceinture, pressés par les incessantes hausses d’impôts, pas sûr que cette initiative réussisse a redorer l’image de l’ Elysée…

source: europe1.fr

http://www.observatoiredessubventions.com/2013/combien-coute-la-web-serie-de-l-elysee/

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Y’en a marre des salaires et des statuts avantageux de la ville de Paris

Posté par ippolito le 1 décembre 2013

Des salaires et des statuts avantageux qui font des envieux

La Ville de Paris a déjà été épinglée par la chambre régionale des comptes pour la générosité des salaires versés à ses dirigeants.

Bertrand Delanoë aime à le répéter : « Paris vaut bien quelques sacrifices. » Financiers, bien sûr. A l’en croire, le maire de Paris ne se sera guère enrichi pendant ses mandats. « Une fois payés mes impôts et cotisations, il me reste 4.000 euros net de salaire par mois. » Paris n’est cependant pas avare de ses deniers. Les 163 élus du Conseil de Paris émargent à 4.186 euros brut, les adjoints au maire à 5.512 euros brut.

Plus que pour ses élus, Paris est surtout montré du doigt pour ses fonctionnaires, en particulier les hauts dirigeants. Depuis 1984, une « quatrième fonction publique » atypique est ainsi née : la Ville peut, selon les situations, choisir de s’aligner tantôt sur la fonction publique d’Etat, tantôt sur la territoriale.

Et elle fait souvent le choix le plus avantageux pour ses agents, celui de l’Etat. Pour les cadres, les rémunérations peuvent y atteindre 7.000 euros brut, contre 5.000 dans la territoriale, selon l’iFRAP, un think tank libéral.

La Ville a aussi fabriqué un statut sur mesure pour ses professions pénibles – éboueurs, fossoyeurs et égoutiers –, bénéficiant d’un avancement de carrière rapide et de départs à la retraite anticipés (entre 52 et 57 ans).

Sans compter vingt jours de RTT annuels pour tous les agents. « Je ne pense pas que le salaire et le statut soient si avantageux comparés aux villes voisines. Nous sommes en train de nous comparer à elles pour avoir un état des lieux objectif », se défend l’adjointe aux ressources humaines, Maïté Errecart.

Des recrutements à prix d’or

Au quotidien, la grande majorité des agents parisiens ont des revenus modestes, car 70 % sont de catégorie C. Cela dit, le salaire médian est, toutes catégories confondues, de 1.879 euros net, soit près de 200 euros de plus que dans l’ensemble de la territoriale. Paris distribue aussi largement sa « prime départementale » qui varie selon le revenu (7.000 bénéficiaires contre 160 dans les années 2000).

La Ville a été rappelée à l’ordre par la chambre régionale des comptes. Les sages se sont surtout émus du montant de certains salaires et primes alloués aux hauts dirigeants – jusqu’à 40.000 euros par an de primes. La Ville dit y avoir mis bon ordre : en 2010, les dix plus hauts salaires gagnaient en moyenne 157.128 euros par an ; aujourd’hui, 148.000.

Paris assume toutefois de continuer de recruter parfois à prix d’or, notamment des énarques et des ingénieurs des Ponts. « Nous sommes obligés de nous aligner sur les ministères », assure Maïté Errecart. « Le statut est trop avantageux. S’aligner sur la territoriale permettrait de faire des économies », affirme Agnès Verdier-Molinié, de l’iFRAP. Les deux candidates ont promis des efforts en ce sens.

Par Laurence Albert

http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0203122596174-des-salaires-et-des-statuts-avantageux-qui-font-des-envieux-632284.php

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Y’en a marre de la hausse des tarifs des assurances

Posté par ippolito le 1 décembre 2013

Les tarifs des assurances auto et habitation vont augmenter en 2014

Selon Les Echos l’augmentation devrait aller jusqu’à 2,8% dans l’assurance auto et jusqu’à 5% dans l’assurance habitation.

Le prix des assurances auto va augmenter en 2014. (MAXPPP)
Mauvaise nouvelle sur le front des primes d’assurance auto et habitation. Les tarifs vont encore augmenter jusqu’à 5% en 2014 indiquent Les Echos. Pour les automobiles, il faudra compter sur des hausses comprises entre 0 et 2,8% l’année prochaine.

Mais le quotidien économique prévient qu’elles « seront lissées sur plusieurs exercices, car sur ce marché ultra-compétitif, il est difficile pour un acteur de trop sortir du rang ». Pour expliquer ces augmentations, les assureurs avancent la hausse continue de la charge de bris de glace, et le poids toujours plus lourd de l’indemnisation des sinistres corporels.

Les assurances habitation ne seront pas non plus épargnées par le mouvement. La hausse des primes sera même plus forte, allant de 2,5 à 5%. En cause, les aléas climatiques de 2013, la hausse des cambriolages et des sinistres incendie, et la hausse du taux intermédiaire de TVA de 7 à 10% qui va augmenter le coût des réparations sur le bâti.

http://www.challenges.fr/revue-de-presse/20131129.CHA7749/hausse-des-tarifs-des-assurances-auto-et-habitation-en-2014.html

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