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Y’en a marre du gaspillage de l’argent public

Posté par ippolito le 21 décembre 2013

PUTEAUX VA DÉPENSER 137 000 EUROS EN CARTES DE VOEUX

La ville de Puteaux ( Hauts-de-Seine) va dépenser 137 000 euros en cartes de voeux pour l’année 2014 sur le thème du père Noël.

La mairie de Puteaux va envoyer 30 000 cartes de voeux pour 2014. Le coût unitaire de ces cartes voeux, après négociation, s’élève à 3,81 euros HT au lieu de 4,55 euros HT.

Au total, les cartes de voeux de la mairie de Puteaux coûteront plus 137 000 euros aux contribuables, sans compter les frais d’envoi et le coût de distribution.

Le site monputeaux.com révèle également que la mairie de Puteaux a dépensé 788 395 euros HT pour l’ Opération Puteaux Neige.

Et alors que les énormes gaspillages s’accumulent à Puteaux ( voir La mairie de Puteaux dépense 12 millions d’ euros par an en communication et Le grand gaspillage du « village du théâtre » de Puteaux), le Conseil municipal n’a accordé qu’une subvention de 1000 euros pour le Téléthon, et ne verse toujours rien aux Restos du Coeur…

source: www.monputeaux.com

http://www.observatoiredessubventions.com/2013/puteaux-va-depenser-137-000-euros-en-cartes-de-voeux/

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Y’en a marre de l’austérité

Posté par ippolito le 21 décembre 2013

TVA, retraites, dépenses publiques: la note va être salée en 2014

En cette fin d’année 2013, le gouvernement et sa majorité parlementaire ont voté toute une série de lois qui participent de l’aggravation de l’austérité pour les Français.

Le gouvernement et sa majorité parlementaire ont eu la main lourde, en matière d’austérité, en cette fin d’année. Les différentes lois votées dans les derniers jours de cette session parlementaire vont coûter plusieurs milliards d’euros directement ou indirectement aux Français, particulièrement dans les classes populaires et les couches moyennes.

TVA

Première mesure, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2014, l’augmentation du taux de TVA, que le gouvernement a, malgré son caractère injuste et l’ampleur des protestations, maintenu. 

En passant, pour l’une, de 19,6 % à 20 %, et pour l’autre, de 7 % à 10 %, elle coûtera plus de 6 milliards d’euros aux contribuables. Une étude de la CGT finances illustre l’injustice d’une telle taxe, montrant que la TVA représente une dépense égale à 11,59 % pour 20 000 euros de revenu et seulement 7,51 % pour 100 000 euros ! 

À cela s’ajoute le refus du gouvernement de baisser, comme il s’y était engagé, la TVA de 5,5 % à 5 % sur les produits de première nécessité. Le tout pour financer une partie du crédit impôt compétitivité emploi de 20 milliards d’euros, dont vont bénéficier les entreprises… sans condition d’engagement en faveur de l’emploi.

Retraites

La loi sur la réforme des retraites, elle, non seulement allonge, pour les jeunes, la durée de cotisation à 43 annuités, mais elle augmente les cotisations retraite de 0,15 % pour les salariés.

 Cette même augmentation, pour les patrons, sera compensée par une baisse de leurs cotisations de la branche famille de la Sécurité sociale. Pire, le gouvernement gagne 600 millions sur les retraités, en déplaçant d’avril à octobre l’indexation des retraites sur l’inflation : une perte de 0,6 % de pouvoir d’achat pour les petites retraites.

austérité budgétaire

Dernier aspect négatif de la loi de finances 2014, la décision de baisser la dépense publique de 15 milliards par an jusqu’en 2017, dont 1,5 milliard sur le dos des collectivités territoriales. 

Outre le fait que cette baisse se traduira par une fragilisation des services publics et même une baisse de l’intervention, cela risque aussi d’entraîner, dans les collectivités locales, une augmentation de la fiscalité sur les ménages pour maintenir les services de proximité. 

La dernière loi votée, celle sur les métropoles, non seulement participe de la baisse de la dépense publique, mais, au nom de la sacro-sainte compétitivité des territoires, éloigne les lieux de pouvoir des citoyens. Ce n’est jamais un facteur favorable à une meilleure prise en compte des besoins des populations.

http://www.humanite.fr/m/node/555756

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Y’en a marre de la fonction publique en France

Posté par ippolito le 21 décembre 2013

La puissance publique, frein à la reprise

Dans son livre Pourquoi je vais quitter la France, Jean-Philippe Delsol dénonce le modèle français, financé par la dette et l’impôt, qui étouffe le pays. 

C’est à peine croyable : en France, il y a désormais davantage d’actifs rémunérés par l’Etat que par le secteur privé! Cette mainmise de la puissance publique sur la population active est mise en lumière par l’avocat fiscaliste Jean-Philippe Delsol dans Pourquoi je vais quitter la France (paru le 21 novembre), écrit au nom d’un patron de PME désespéré. 

Pour démontrer sa thèse, il fait le compte de ceux qui sont rémunérés par l’Etat ou soutenus par la collectivité. Pour commencer, les 5,2 millions de salariés du secteur public au sens strict – Etat, collectivités locales, fonction hospitalière…-, dont les effectifs ont augmenté de plus de 36 % depuis 1983. 

14,55 millions d’actifs tirent leur revenu de l’Etat: c’est plus de la moitié de la population active, qui compte 28 millions de personnes en France.

Ils représentent 22 % de l’emploi contre 15 % en moyenne dans les autres pays de l’OCDE. A cette aune, il y aurait donc, estime l’auteur, 1,5 million de fonctionnaires en trop. 

Ensuite, il ajoute les 2 millions de salariés du secteur parapublic, c’est-à-dire des structures juridiques contrôlées majoritairement par l’Etat ou les collectivités. Puis viennent 60% du 1,6 million d’emplois du secteur associatif, premier bénéficiaire des emplois aidés « que les gouvernements ont créés depuis quatre décennies sans que leur effet sur l’emploi n’ait jamais été démontré ». En 2012, 490 000 contrats aidés ont été initiés, dont 430000 dans le secteur non marchand. 

Le cru 2013 est du même ordre, mais il faut lui ajouter les 100 000 emplois d’avenir et les 12000 contrats de génération créés par François Hollande pour tenter d’inverser la courbe du chômage. 

Les seconds étant plus efficaces que les premiers : en effet, selon une enquête du ministère du Travail de novembre 2012, six mois après la fin de l’aide de l’Etat associée à leur contrat, 60% des salariés sortis en 2010 d’un contrat aidé du secteur marchand bénéficiaient d’un emploi durable, contre 25 % pour les ex-bénéficiaires d’un contrat du secteur non marchand. 

Delsol ajoute ensuite la part des agriculteurs qui vivent des revenus de la PAC (environ 50 %). Enfin, il inclut ceux qui ne recoivent pas de salaires de la collectivité mais en tirent des revenus accidentels : 3,22 millions de chômeurs et 1,3 million de bénéficiaires du RSA. Ce sont donc, au final, 14,5 millions de personnes sur une population active de 28 millions. Et le calcul se permet même d’oublier les salariés des entreprises « concessionnaires » de l’Etat. 

Pour Jean-Philippe Delsol, l’Etat, en imposant son intervention partout, « modifie l’esprit même de la société en la fonctionnarisant ». Il lui fait perdre le sens du risque et de l’efficacité, de l’initiative et de la diversité. Et de citer Bastiat, pour qui « l’Etat est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde ». 

« Jusqu’au jour, reprend Delsol, où le système ne pourra plus fonctionner parce qu’il y aura de moins en moins de gens qui travaillent plus pour supporter de plus en plus de gens qui travaillent moins. Le système s’enrayera définitivement lorsque les derniers qui entreprennent ne supporteront plus d’être surimposés et honnis à la fois. » 

Sans être aussi pessimiste dans les conclusions – et sans assimiler, comme lui, les gens qui vivent grâce à l’Etat à des gens qui ne travaillent pas -, il est difficile de ne pas être interpellé par ces chiffres.  

En 2009, le modèle français était encensé, puisque la récession était moins profonde en France qu’ailleurs : l’Etat, lui, ne licenciait pas. Mais cet édredon protecteur, financé de plus en plus lourdement par la dette et l’impôt, finit par étouffer le pays. C’est lui qui, aujourd’hui, l’empêche de redémarrer. 

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/economie/la-puissance-publique-frein-a-la-reprise_1301850.html#KBcQtJgSQ8KXfTRl.99

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