• Accueil
  • > Archives pour le Mercredi 14 mai 2014

Y’en a marre du montant des aides alimentaires

Posté par ippolito le 14 mai 2014

2               2               2

1 MILLION D’ EUROS D’ AIDES ALIMENTAIRES POUR LA CISJORDANIE ET GAZA

La France a débloqué une subvention d’ 1 million d’euros pour des aides alimentaires destinées à la Cisjordanie et Gaza.

Cette enveloppe d’ 1 million d’euros pour des aides alimentaires dans les Territoires palestiniens a été accordée par la France dans le cadre de son programme d’aide alimentaire. Cette subvention sera versée à l’UNRWA et au Programme alimentaire mondial.

Dans les Territoires palestiniens, 1,57 millions de personnes sont aujourd’hui en situation d’insécurité alimentaire, notamment à cause du blocus de Gaza et de la hausse des prix des denrées alimentaires. La France a donc décidé de renouveler son soutien à l’UNRWA et au Programme alimentaire mondial pour venir en aide aux réfugiés des Territoires palestiniens.

La France devrait renouveler cette aide aux Territoires palestiniens cet été en débloquant une nouvelle subvention.

source: consulfrance-jerusalem.org

http://www.observatoiredessubventions.com/2014/1-million-d-euros-d-aides-alimentaires-pour-la-cisjordanie-et-gaza/

Publié dans Y'en a marre des gaspillages de l'argent public | Pas de Commentaire »

Y en a marre de l’Europe

Posté par ippolito le 14 mai 2014

8               8               8

Ce que coûte l’UE, ce qu’elle rapporte

La France verse davantage à Bruxelles qu’elle ne reçoit. Un investissement qui masque les bénéfices non financiers de la construction communautaire.

Il n’y a pas que les agriculteurs français qui touchent des chèques de Bruxelles. Les visiteurs les plus attentifs du Louvre-Lens (1 million en un an) s’en seront rendu compte à la vue du rectangle bleu étoilé. L’antenne artoise du célèbre musée parisien a, elle aussi, été financée par les Vingt-Huit, à hauteur de 20%. Un exemple inattendu, parmi d’autres, des retombées concrètes de l’Union.

Que rapporte vraiment ­l’Europe, combien coûte-t-elle? Du seul point de vue comptable, la France est un « contributeur net », qui donne davantage qu’il ne reçoit. Notre pays verse environ 20 milliards d’euros par an au budget européen, pour 12 milliards d’aides diverses en retour. L’intégration suppose que les plus aisés financent le développement des plus pauvres.

« Cette contribution ne se fait pas à fonds perdus. Notre commerce extérieur est réalisé à 58% avec des pays de l’Union, nous avons intérêt à avoir des partenaires rapidement mis à niveau, ce seront autant de consommateurs intéressés par nos produits », plaide l’eurodéputé Brice Hortefeux, tête de liste UMP dans la circonscription Centre-Auvergne-Limousin. « Cet argent est un investissement. Et ce que nous apportons au pot commun permet à la France de peser au sein de l’Union, d’avoir une influence sur les autres », renchérit sa collègue Pervenche Berès, tête de liste PS en Île-de-France.

La PAC représente l’enveloppe la plus importante versée par l’Europe en France : 9,5 milliards d’euros, soit près des trois quarts des dépenses de l’Union sur le sol français. Les autres aides servent à financer des dossiers économiques, sociaux, culturels…

En 2012, 74.553 projets français ont reçu un appui de l’UE. Les exemples abondent : couverture en haut débit de l’Auvergne, rénovation thermique de HLM, TGV Est, production et distribution de films français, recherche médicale, etc. Une enveloppe est consacrée au soutien des territoires éloignés du continent (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Réunion, Mayotte) et à la moitié la moins riche des régions françaises. Une autre est dévolue aux programmes de coopération en matière de police et de justice.

« Comptes d’apothicaire absurdes »

Mais le bilan ne peut s’arrêter au seul résultat comptable. Les avantages politiques, économiques et humains de l’Union échappent à l’équation, à commencer par la paix et la libre circulation. Par exemple, les retombées des programmes ­Galileo (satellites) ou Iter (réacteur expérimental thermonucléaire) ou celles, plus individuelles, des diplômes étrangers obtenus par les étudiants avec Erasmus n’entrent pas dans le tableur.

Et le processus, certes lent et imparfait, continue de produire ses effets. « Nous avons récemment créé le brevet européen, valable dans 25 États. Auparavant, les sociétés devaient déposer leurs innovations dans chaque pays. Cela ne coûte rien au contribuable mais divise par cinq le coût de gestion des brevets. Le reste, ce sont des comptes d’apothicaire absurdes », souligne l’eurodéputé Robert Rochefort, tête de liste UDI-MoDem dans le Sud-Ouest.

De même, la sécurité et la stabilité juridique des investissements, du commerce, des transports, des réseaux d’électricité et de gaz, des placements, etc., est incommensurable. Sans l’Union, la France devrait négocier 27 accords, dans chaque domaine, avec chacun des pays, générant une coûteuse complexité.

Qui paye? Qui gagne?

Cette carte représente le solde entre les contributions financières de chaque pays à l’UE et le montant des aides reçues. En négatif, les grands pays paient davantage qu’ils ne reçoivent. En positif, les plus pauvres sont bénéficiaires. La France affiche l’écart le plus élevé, derrière l’Allemagne. Notre pays est le deuxième financeur et le troisième bénéficiaire des retours. Sur 100 euros d’impôts payés par les contribuables français, 8 euros partent à Bruxelles et près de 5 reviennent en subventions. Ces sommes doivent être relativisées au regard de la richesse de chaque État. La contribution nette de la France à l’Union représente seulement 0,4% de son PIB.

Nicolas Prissette – Le Journal du Dimanche

http://www.lejdd.fr/International/UE/Ce-que-coute-l-UE-ce-qu-elle-rapporte-665648

Publié dans Y'en a marre de l'Europe | Pas de Commentaire »

Y’en a marre des frais de bouches des ministres

Posté par ippolito le 14 mai 2014

5              5              5

Frais de bouche : juste avant le remaniement, le ministère de l’Économie a dépensé 754 500 euros en boucherie, charcuterie, fromages, etc.

On a d’abord cru à une blague. Mais non. Selon Le Canard enchaîné, l’administration de Bercy a lancé un appel d’offres pour couvrir les frais de bouche des sept ministres de Bercy et de leurs cabinets pendant une année sous la douce appellation de « Fourniture et livraison de denrées alimentaires pour les services d’intendance de l’hôtel des ministres et du cercle des directeurs des ministères économiques et financiers ». Rien d’anormal, il faut bien nourrir les cabinets et les ministres.

Sauf que cet avis a été publié au « Bulletin officiel des annonces des marchés publics » le 28 mars. C’est-à-dire entre les deux tours des municipales, juste avant le remaniement et la nomination d’un gouvernement « resserré ». Or, depuis, Bercy a fondu : de quatre ministres de plein exercice (avec des cabinets pléthoriques) et trois ministres délégués, le ministère de l’Économie est passé à seulement deux ministres et trois secrétaires d’Etat. Bercy compte donc deux membres du gouvernement en moins et des cabinets ministériels plus réduits (puisqu’un ministre de plein exercice dispose de davantage de conseillers qu’un secrétariat d’État).

La liste des courses

Trop tard pour réduire la facture du ravitaillement ? L’hebdomadaire ne précise pas si cet appel d’offres de 754 500 euros peut être remis en cause. En tout cas, la liste des courses fournie par Le Canard donne le tournis : « La boucherie au sommet de l’État (viande bovine, ovine, porcine, veau et produits tripiers), c’est 95 000 euros ; la volaille, 24 000 euros ; la charcuterie, 14 500 euros ; les fromages et crémeries, 43 000 euros ; la boulangerie, 19 000 euros ».

Mieux : « pour les produits de la mer, le ministère évalue les besoins de ses patrons pour leurs réceptions à 152 000 euros pour un an ». Pour les fruits et légumes, la facture est de 156 000 euros. Quant aux produits frais et surgelés, c’est 143 000 euros. En revanche, pour les « mignardises, les macarons, chocolats fins et pièces salées apéritives », il faudra se serrer la ceinture : la facture n’est « que » de 14 000 euros.

Reste une question : alors que la presse évoquait depuis des semaines un futur remaniement, pourquoi l’administration de Bercy n’a-t-elle pas attendu ce fameux remaniement afin de connaître le nombre exact de ministres et de conseillers pour faire ses courses ? Mystère. Conclusion du Canard : « Les caisses de l’État sont vides, mais les frigos sont pleins ».

*** Source
- « Bonne bouffe à Bercy », Le Canard enchaîné n°4876, 09.04.2014

http://www.politique.net/2014051001-bercy-frais-de-bouche.htm

Publié dans Y'en a marre des gaspillages de l'argent public | Pas de Commentaire »

 

MesMots |
The World News Times |
Conserver notre cadre de vi... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Manger!...Manger!
| sauver mon exploitation
| PASSION OCEAN