Y’en a marre du coût des déplacements de François Hollande

Posté par ippolito le 1 novembre 2014

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Un déplacement de Hollande en province coûte 41 000 euros et mobilise plus de 200 policiers et gendarmes

L’exercice est classique : en chute dans les sondages, le président doit « renouer » avec le peuple. Des déplacements en province sont alors organisés : dans les usines, dans les entreprises, aux contacts des élus locaux, des associations, avec, si possible, un bain de foule pour que les images soient reprises dans les journaux télévisés. François Hollande n’échappe pas à la règle : malgré un agenda international surchargé, il a prévu une série de déplacements en province dans ses prochaines semaines.Le dernier en date a eu lieu à Angoulême.

 

Et contrairement aux impressions données par les images des JT, ce ne sont pas de simples déplacements de terrain avec un président entouré par trois ou quatre gardes du corps. A Angoulême, pour trois heures sur place, « 200 à 300 fonctionnaires, gendarmes et policiers, ont été mobilisés pour éviter tout dérapage », explique Le Parisien. Des renforts ont même été acheminés de Bordeaux.

Une logistique particulièrement coûteuse :  « En France, en 2013, il a effectué 56 déplacements pour un coût de 2,3 millions d’euros, soit un coût moyen de 41 000 euros par déplacement », explique le député René Dosière, spécialisé dans le budget de l’Elysée.

41 000 euros et plus de 200 policiers pour un simple déplacement en province de trois heures ?

Oui, et le pire, c’est que Hollande a fait des efforts pour diminuer ces coûts. Car en 2011, les 77 déplacements de Nicolas Sarkozy avaient coûté… 9,7 millions d’euros, soit 126 000 euros par déplacement. Sans aucun effet sur les sondages.

*** Source
- Éric Hacquemand, « Le président bunkérisé à Angoulême », Le Parisien, 09.10.2014

http://www.politique.net/2014103002-cout-deplacement-en-province-hollande.htm

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Y’en a marre du train de vie de l’Elysée et de nos élus

Posté par ippolito le 12 janvier 2013

Le train de vie de l’ Elysée a enfin été revu à la baisse selon le député PS René Dosière.

Hollande avait pourtant mal débuté sa présidence en nommant 38 ministres, soit 5 portefeuilles supplémentaires par rapport aux derniers mois de la présidence Sarkozy, faisant ainsi passer le nombre de conseillers ministériels de 499 sous Fillon, à 514 sous Ayrault ( +3%).

Mais l’ Elysée a finalement décidé de baisser les dépenses, en réduisant le nombre de chauffeurs, cuisiniers, maîtres d’hôtel ou jardiniers au service des ministres de 2435 à 2293 ( en baisse de 6%).

Malgré cette réduction du personnel, certains effectifs augmentent: 3 chauffeurs supplémentaires au ministère des Affaires étrangères de Laurent Fabius, et 2 supplémentaires au ministère de la Justice.

D’après René Dosière, le montant total des salaires des conseillers des ministres sous contrat a baissé de 2,4 % ( voir  Salaires des conseillers d’ Ayrault).

Voici toutes les réductions des dépenses de l’ Elysée

Rémunérations totales ( contractuels dans les cabinets, 41 % des effectifs)

A Matignon en 2011: 1 780 000 euros

A Matignon en 2012: 1 716 000 euros

Dans les ministères en 2011: 18 287 000 euros

Dans les ministères en 2012: 17 862 000 euros

Le montant des primes a baissé en moyenne de 8 % selon René Dosière ( voir Toutes les primes des ministres). La rémunération des personnels de la fonction support ( chauffeurs, cuisiniers…) sous contrat ( 6 % de l’ensemble des personnels dits de « support ») a baissé de 40 %.

Voici les salaires moyens des conseillers des ministères sous contrat les mieux payés

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère de l’ Intérieur est de  10 193 euros par mois.

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère du Redressement productif est de 10 176 euros par mois.

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère de l’ Économie et Finances est de 9 252 euros par mois.

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère de la Réforme de l’État est de 9 238 euros par mois.

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère du Budget est de 9 160 euros par mois.

Voici les salaires moyens des conseillers des ministères sous contrat les moins bien payés

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère de la Famille est de 5 050 euros

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère du Développement est de 5 563 euros par mois.

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère des Affaires sociales est de 5 986 euros par mois.

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère des Personnes âgées est de 6 087 euros par mois.

Le salaire moyen brut d’un conseiller sous contrat au ministère des Français de l’étranger est de 6 456 euros par mois.

Selon René Dosière, si l’ Elysée continue son effort de réduction des dépenses, 7,5 millions d’euros seront économisés chaque année.

source: lepoint.fr

http://www.impots-economie.com/reduction-des-depenses-de-l-elysee/

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Y’en a marre de Hollande, ou de l’optimisme de l’intelligence et le pessimisme de la volonté et surtout des politiques en général

Posté par ippolito le 27 décembre 2012

Hollande, ou l’optimisme de l’intelligence et le pessimisme de la volonté

«Je suis pessimiste avec l’intelligence, mais optimiste par la volonté», confiait le révolutionnaire italien Antonio Gramsci. En plus de six mois à l’Elysée, le président français a fait sienne la maxime inverse.

«Je suis pessimiste avec l’intelligence, mais optimiste par la volonté», confiait le révolutionnaire italien Antonio Gramsci. Le réformiste français François Hollande prend étrangement le contre-pied de cette formule célèbre.

Au milieu de la tempête, alors que la récession rôde et que le chômage explose, le président de la République affiche une sérénité à toute épreuve. Rien n’atteint vraiment cet homme protégé par un sens de l’humour qui lui permet de tenir à distance les avanies.

Intimement persuadé que tout finira par s’améliorer en un juste retour des choses, il se garde de chercher à forcer le destin. Cet optimiste congénital laisse le volontarisme aux visionnaires naïfs et aux décideurs aventureux.

Ca s’en va et ça revient

Vainqueur inattendu de l’élection présidentielle de 2012, Hollande est convaincu d’être né sous une bonne étoile, trait de caractère qui le porte à considérer chaque problème sous un angle résolument positif. 

A l’égal de Jacques Chirac dans les années soixante-dix, il est doté d’une acuité visuelle remarquable qui lui permet de distinguer «le bout du tunnel» bien avant la plupart de ses semblables.

Pénétré d’une philosophie benoîtement cyclique, le président Hollande ne se laisse jamais abattre par les sombres prévisions de ces fâcheux de conjoncturistes. Selon la dernière note de l’Insee, la France est sur la pente d’une croissance quasi-nulle en 2013; le pouvoir d’achat recule tandis que 40.000 emplois par trimestre risquent d’être détruits l’année prochaine.

Face à cette situation pathétique, pas question néanmoins, pour le chef de l’Etat, de changer de cap. L’essentiel serait de garder le moral. «Ça va être dur, très dur, mais on va s’en sortir», a-t-il pronostiqué le 21 décembre. Et de promettre une «inversion» de la courbe du chômage «à la fin de l’année 2013».

Hollande répète depuis longtemps que la croissance reviendra bien un jour ou l’autre. Selon lui, l’Europe aurait déjà résolu ses difficultés. «On est en fin de crise de la zone euro», a-t-il affirmé début novembre au Laos, concédant tout de même que l’on est pas encore «en fin de crise économique».

Mais cela ne saurait tarder. «Les conditions sont réunies pour un retour de la croissance en 2013» en Europe, veut croire le président français.

Hollande n’a pas fondamentalement changé d’analyse depuis sa campagne présidentielle. Il a toujours anticipé un début de quinquennat marqué par la récession, la réduction des déficits et des serrages de vis en tous genres. A cette rude première phase doit ensuite succéder celle de la croissance retrouvée.

«La reprise va arriver, c’est une question de cycle», se rassure-t-il dans des confidences au Monde. Ce scénario rose d’une happy end aurait l’immense mérite de lui permettre d’aborder les échéances électorales de la fin du quinquennat dans de bonnes conditions…

Ils votent tout

Le président Hollande affiche une placidité aussi résolue sur le plan politique. Les tiraillements au sein de l’équipe gouvernementale ne le troublent pas outre-mesure.

Peu importent les limites, de plus en plus criantes, de Jean-Marc Ayrault. Pour l’hôte de l’Elysée, le Premier ministre présente surtout l’avantage d’être réputé dénué d’«esprit de calcul», autrement dit de ne pas avoir «d’ambition pour le suite».

Les tensions au sein de la majorité parlementaire avec des élus écologistes et communistes qui renâclent de plus en plus? L’ancien premier secrétaire du PS, expert en arrangements, s’en amuse:

«Ils votent tout. Il faut voir ce qu’on leur a fait avaler: pacte de compétitivité, budget européen, baisse des dépenses… Alors, il faut les ménager.»

Le stratège —et parfois tacticien— de l’Elysée est persuadé que ses alliés sont coincés. Que les communistes ne peuvent aller trop loin dans leurs critiques avant les décisives échéances municipales de 2014. Que les écologistes, du moins ceux qui comptent, prennent plutôt goût au pouvoir. Et que Jean-Luc Mélenchon n’a d’autre choix que de s’enfermer dans un rôle aussi valorisant que marginalisant.

Hollande n’est pas davantage affecté par le résultat des législatives partielles, qui se sont pourtant soldées par de franches victoires de la droite sur fond de démobilisation d’un électorat de gauche désarçonné. Comme son lointain prédécesseur François Mitterrand, il mise gros sur les divisions de l’adversaire.

La guerre entre Jean-François Copé et François Fillon n’est pas terminée. Nicolas Sarkozy n’a pas dit son dernier mot. Le président socialiste est résolu à profiter de cette absence de leadership clair à droite.

Accompagner la mutation

Avec de telles analyses, on conçoit aisément que le chef de l’Etat ne prenne guère au sérieux ceux qui tirent les sonnettes d’alarme et l’implorent de prendre de fortes initiatives. Qu’on ne compte pas sur lui pour s’engager dans on ne sait quelles audacieuses réformes de structure.

Hollande semble penser que, malgré ses défauts, le système économique en place saura résoudre ses contradictions. L’important serait alors de faire preuve de «réalisme» en respectant les intérêts de chacun.

C’est ainsi que la réforme bancaire en projet se situe terriblement en-deça des engagements pris par le candidat Hollande. Elle ne prévoit pas une réelle séparation entre les activités de dépôt et de crédit et, d’autre part, les investissements spéculatifs. Elle n’interdit même pas, en réalité, le «trading haute fréquence» emblématique des excès de la finance.

De l’avis des spécialistes, la réforme bancaire française s’annonce plus timide que celles qui ont été adoptées en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis! Après avoir démagogiquement ciblé la finance comme son «véritable adversaire» pendant la campagne, Hollande s’est résolu à composer sagement avec le lobby bancaire.

Le manque de volontarisme menace également de se faire sentir sur le terrain de la réforme du marché du travail, sur lequel Hollande avait un peu imprudemment appelé de ses vœux un «compromis historique» entre syndicats et patronat.

En cette fin d’année, les négociations piétinent. La CFDT elle-même hésite à ratifier un projet d’accord en l’état très insatisfaisant pour les salariés. Quand bien même il serait finalement conclu, sa portée limitée ne marquerait nullement l’ouverture d’une ère nouvelle dans les rapports sociaux. Là encore, l’impulsion que l’on serait en droit d’attendre d’un gouvernement de gauche se fait cruellement désirer.

Au final, l’optimisme bonhomme de Hollande fait le lit d’un fatalisme arrangeant. Prisonnier d’une vision du monde héritée des années soixante-dix, le président n’a pas pris la mesure du dérèglement et de l’épuisement de notre système économique.

A l’instar de beaucoup de gens —à gauche comme à droite— il communie toujours dans la croyance en une «croissance» capable de guérir tous les maux.

Son ambition, confiait-il en octobre au Monde, se limite à accompagner la «mutation» du capitalisme financier «par la négociation, dans la justice». Un socialisme des convenances: «Les autres l’auraient fait sans doute, mais brutalement.» 

Eric Dupin Journaliste et essayiste. Dernier ouvrage paru: La Victoire empoisonnée (Seuil). 

http://www.slate.fr/story/66543/hollande-optimisme-pessimisme-volontarisme-strategie

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Y’en a marre de dépenser de l’argent pour rénover le site de l’Elysée surtout en période de crise

Posté par ippolito le 24 décembre 2012

Coût du nouveau site de l’ Elysée  

Le nouvelle version du site internet de l’ Elysée est en ligne depuis le 18 décembre.

Le nouveau site de l’ Elysée a coûté la bagatelle de 50 000 euros. 50 000 euros pour un nouveau design ainsi qu’un affichage plus rapide du site de l’ Elysée, aux frais des contribuables, réalisé par la cellule web de l’ Elysée.

Parmi les modifications apportées au site de l’ Elysée, on peut remarquer que le drapeau français présent sous le logo dans l’ancienne version a aujourd’hui disparu. 

Pourquoi l’ Elysée a-t-il décidé de supprimer le drapeau français du site internet ? Le drapeau français apparaît pourtant toujours sur le compte twitter de l’ Elysée.

A quoi bon dépenser 50 000 euros en période de crise et de hausses d’ impôts pour supprimer le drapeau français du nouveau site internet de l’ Elysée ?

source: ladepeche.fr

http://www.observatoiredessubventions.com/2012/cout-du-nouveau-site-de-l-elysee/

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Y’en a marre du train de vie du gouvernement

Posté par ippolito le 4 décembre 2012

Le député René Dosière a décortiqué les dépenses des cabinets ministériels

Le spécialiste des dépenses publiques a encore frappé. Après l’Elysée, René Dosière épingle le train de vie du gouvernement. 

Le nombre de conseillers des cabinets ministériels a crû de 17,2% entre 2008 et 2009 et la rémunération moyenne mensuelle des personnels contractuels de ces cabinets a augmenté de 12,8%, relève jeudi le député (app-PS) René Dosière.

«Le gouvernement ne connaît pas la crise»

Pour obtenir ces chiffres, l’élu de l’Aisne a décortiqué le document budgétaire de Bercy consacré aux «personnels affectés dans les cabinets ministériels», envoyé cette semaine au Parlement dans le cadre de l’examen du budget de l’Etat pour 2010.

Dans un communiqué intitulé «Le gouvernement ne connaît pas la crise», il met en parallèle «la politique drastique de réduction du nombre des fonctionnaires dans les administrations» et «ces augmentations démesurées», «incompréhensibles dans la période de crise qui frappe durement les Français».

7.157 euros brut de salaire

«Quelle confiance peut-on accorder» à un gouvernement qui «ne cesse d’augmenter son train de vie» et «dont la devise est « faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais »?», interroge René Dosière. Le nombre de conseillers ministériels est passé de 534 à 626 en un an (+17,2%).

S’agissant des traitements, la rémunération mensuelle moyenne des membres contractuels (non fonctionnaires) de ces cabinets a augmenté de 12,8% sur la même période pour s’établir à 7.157 euros brut.

http://www.20minutes.fr/france/367008-France-Le-train-de-vie-du-gouvernement-en-augmentation.php

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Y’en a marre du train de vie de l’Elysée

Posté par ippolito le 28 novembre 2012

Les déplacements de François Hollande en métropole coûtent cinq fois moins cher que ceux de Nicolas Sarkozy…

Rémunérations en baisse, personnels moins nombreux, train de vie réduit: Le député PS René Dosière a salué ce mardi un projet de budget de l’Élysée pour 2013 qui «traduit dans la durée le souci d’une présidence modeste» de François Hollande.

Lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale, il a détaillé un projet de budget en «diminution sensible» de 10,124 millions d’euros (-8,8%) par rapport au dernier budget dépensé en 2011. 

La réduction des dépenses présidentielles est de 4,2% par rapport au projet de budget pour 2012. Au total, l’Élysée devrait dépenser 105,433 millions d’euros en 2013, contre 115,658 millions en 2011.

Rémunérations en baisse

Car les personnes travaillant pour le chef de l’État sont désormais moins nombreuses: elles étaient 852 au 1er juillet dernier, contre 882 au 1er janvier 2012, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, ce qui représente selon René Dosière une économie de 3,2 millions d’euros. 

Le cabinet de François Hollande compte ainsi 40 collaborateurs, contre 47 en fin de mandat de Nicolas Sarkozy et «une soixantaine» en 2011. Les effectifs du GSPR, qui assurent la sécurité du chef de l’État, ont également fondu, passant de 90 à 64.

De même, les rémunérations des membres du cabinet présidentiel sont en baisse: la moyenne des trois salaires les plus élevés est passée de 21.146 euros nets mensuels à 13.000 euros. 

Comme il l’avait promis pendant la campagne présidentielle, la rémunération de François Hollande lui même est en baisse de 30% depuis le 15 mai, à 14.910 euros bruts (contre 21.300 euros bruts pour son prédécesseur Nicolas Sarkozy).

Le train plutôt que l’avion

Par ailleurs, les déplacements de François Hollande en France métropolitaine coûtent «cinq fois moins cher» que ceux de Nicolas Sarkozy (15.699 euros contre 85.554 euros), a affirmé René Dosière. 

Une différence qui s’explique selon lui par le recours à des moyens de transport moins coûteux, avec notamment l’utilisation du train plutôt que de l’A330 présidentiel, mais aussi par un déploiement policier moins important.

En ce qui concerne les déplacements à l’étranger, leur coût est inférieur d’un tiers à ceux de Nicolas Sarkozy, estime René Dosière. Il compare ainsi le voyage de François Hollande -en train- à Bruxelles les 28 et 28 juin dernier, qui a coûté selon lui 77.674 euros, à celui de Nicolas Sarkozy dans cette même ville début mars, dont la facture s’est montée à 114.147 euros (dont 30.594 euros d’avion).

L’absence de statut de Trierweiler, «pas une situation saine»

Pour autant, il reste des progrès à faire en matière de transparence, a souligné le député PS. Il a ainsi regretté que la conjointe du chef de l’État ne dispose toujours pas de statut. 

Chauffeur, attaché de presse ou garde du corps, les collaborateurs de Valérie Trierweiler sont juridiquement «les collaborateurs du président», a-t-il souligné en déplorant un manque de transparence. «Ce n’est pas une situation saine» et «il faudrait sans doute régulariser cela».

René Dosière s’étonne aussi du nombre élevé d’heures supplémentaires qui atteignent à l’Élysée l’équivalent de «60 personnes à temps plein». Certaines personnes, essentiellement dans les services d’intendance selon lui, travaillent plus de 60 heures par semaine. Et de s’interroger «sur la manière dont la législation du travail est appliquée à Élysée».

René Dosière, qui scrute le budget de la présidence depuis une dizaine d’années, s’est élevé mardi contre les accusations du rapporteur (UMP) Jérôme Chartier qui avait dénoncé la faible utilisation de «Air Sarko One», l’A330 présidentiel, soulignant «qu’un appareil commence à coûter cher lorsqu’il ne vole pas. 

Et justement, l’A330 présidentiel ne vole pas du fait de la décision du chef de l’État et c’est bien ce qui fait qu’il coûte très cher». Des arguments balayés par René Dosière. «Ce qu’a fait le rapporteur c’est un tract politique, pas un rapport parlementaire», a accusé le député PS.

http://www.20minutes.fr/politique/1041690-rene-dosiere-salue-budget-elysee-modeste

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