Y’en a marre de la baisse du livret A

Posté par ippolito le 3 août 2013

L’Etat pickpocket !!!

Ce 1er août 2013, le livret A est passé à 1,25% (celui du LDD également).

Ainsi à partir d’aujourd’hui le plafond de votre livret A (22.950 euros) qui vous « offrait » 401,60 E ne vous rapportera plus que 286,90 E.

Le motif invoqué par le ‘’voleur’’ est la baisse de l’inflation.

Rappelons qu’en janvier 2013 il était à 2,25% avant de chuter à 1,75% le 1er fevrier.

Ce nouveau vol de « Rapetout » va passer comme une lettre à la Poste parce que les 63 millions de possesseurs de Livret A ne peuvent placer leurs économies en toute sécurité nulle part ailleurs !!!!!

Or, l’inflation, qui était de 2% en 2012, sera de 1,50% en 2013. Cela veut dire que chaque fois que vous croyez percevoir une économie vous perdez effectivement 0,25% de votre capital placé.

Si cette ridicule économie servait à redresser notre pays, la France, nous l’accepterions bien volontiers mais ce n’est pas le cas. Elle bénéficiera en tout premier lieu à la CDC (Caisse des Dépôts et Consignations) qui perçoit 65% du montant total de nos livrets A, ce qui lui permettra :

**D’une part de prêter moins cher (2,25%) aux collectivités locales afin de financer les logements sociaux. Prêts que nous rembourserons nous-mêmes par des hausses de la fiscalité locale.

**Et d’autre part permettra également à la CDC de se rembourser une partie des 4 milliards qu’elle a perdu dans la faillite douteuse de la banque DEXIA, dont 1 milliard provenait de « nos » livrets A.

Nous serons ainsi volés deux fois.

Les 35% restant, soit environ 50 milliards, iront vers les banques de dépôts et leur permettront d’augmenter les rendements de leurs autres produits à court terme et ainsi de se « refinancer » à nos frais.

Les banques vont donc gagner de l’argent en nous prêtant notre argent, qui ne leur coûtera rien.

Bravo les pickpockets !

Est-ce que ce ne serait pas du « vol en bande organisée » ?

Il ne nous reste plus qu’à attendre la prochaine décision des pickpockets qui nous gouvernent en espérant que ce ne sera pas, comme en Argentine il y a dix ans, la confiscation pure et simple de nos « Livrets A ».

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-etat-pickpocket-139205

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Y’en a marre que le budget de l’automobiliste continue d’augmenter et de l’abaissement de son pouvoir d’achat

Posté par ippolito le 6 juin 2013

Les automobilistes français roulent moins et ça leur coûte plus cher

Le budget de l’automobiliste augmente alors qu’il roule moins, indique l’Automobile Club Association qui dénonce, au passage, le projet d’alignement des taxes du diesel sur celles de l’essence.

Selon cet instantané dressé par l’ACA, l’automobiliste français moyen qui a opté pour l’essence roule dans une Renault Clio neuve, a parcouru 8.751 km en 2012 soit 271 km de moins que l’année précédente.

Cet usage plus modéré a néanmoins entraîné des dépenses plus importante qu’en 2011. La facture totale s’élève en moyenne à 6.049 euros, soit une progression de 1,2% par rapport à 2011.

L’ACA n’évalue pas par hasard le budget moyen de l’automobiliste moyen en se basant sur une véhicule équipé d’un moteur essence. Ce n’est en en effet qu’à partir de 9.433 km que le même modèle diesel devient intéressant financièrement. En 2012, le prix du litre de SP95 a augmenté de 4,40 % (de 1,50 € à 1,57 €) soit plus de 2 fois l’inflation.

Des différences régionales non négligeables

Autre particularité de cette étude. Elle prend en compte les particularismes locaux. On apprend ainsi que c’est en PACA que le budget est le plus élevé. Il atteint 6.332 euros. Il est par contre le plus faible en Lorraine, avec 5.598 euros.

Le budget de l’automobiliste diesel en hausse de 4,4%

L’automobiliste diesel roule par contre dans une Peugeot 308. Son budget est nettement plus élevé puisqu’il frôle les 8.000 euros (7.991 euros), en progression de 4,4% par rapport à l’année précédente.

Il parcourt en moyenne 15.368 km. Le litre de gazole a quant à lui augmenté de 4,5 % en passant, d’une année sur l’autre, de 1,34 € à 1,40 €, soit plus de deux fois l’inflation.

L’ACA dresse également d’autres profils types comme celui de l’automobiliste qui roule en voiture low cost ou en voiture d’occasion. Le premier est équipé d’une Dacia Logan et dépense en moyenne 5.449 euros, soit un budget équivalent à 88% de celui qui roule en voiture française comparable.

Il parcourt 8.751 km, la même distance que celui qui roule en Clio d’occasion de 4 ans, mais dont le budget annuel est très inférieur : 2.787 euros, soit 54% de moins que celui qui a acheté un véhicule neuf.

La voiture, un produit de luxe ?

Didier Bollecker a dénoncé le poids considérable de la taxation dans le budget de l’automobiliste moyen: « 24% au minimum pour un véhicule de 4 ans et jusqu’à 75% du budget si l’on prend en compte les coûts d’exploitation d’un véhicule d’occasion ».

Selon le président de l’ACA, il n’y a pas de produit autant taxé que l’automobile en France. « Et pourtant, ce n’est pas un produit de luxe, mais une nécessité » pour tous les Français qui privilégie leur auto comme moyen de locomotion quotidien pour 70%.

Si l’on prend les taxes que paient l’automobiliste qui roule à l’essence, sur 100 euros, 33 euros concernent l’amortissement de la voiture, 29 euros le carburant, 12 euros le péage, 8 euros l’assurance, 8 euros l’entretien, 6 euros le garage du véhicule et 4 euros les frais financiers.

Face à cette hausse du budget, l’automobiliste aura tendance à rogner tous les postes. Il va tout d’abord moins rouler, davantage bricoler sa voiture, acheter des pièces de rechange sur internet…

Cela a d’autre part une conséquence sur le vieillissement du parc automobile français : supérieur à 8,2 ans. Du coup on vend moins de voitures et les constructeurs, font la tête…

Ne pas surtaxer le diesel

L’ACA a profité de l’occasion pour livrer une charge en règle contre l’alignement de la taxation du diesel sur celle de l’essence, un projet dans les cartons du gouvernement. Cette « petite manipulation », pour reprendre la terminologie employée, rapporterait 8,5 milliards d’euros à l’Etat, explique Didier Bollecker, dont 4 milliards d’euros prélevés sur les particuliers.

« Comme s’il fallait augmenter de 20 centimes les taxes pour diminuer les particules fines du diesel », renchérit Roger Braun, le directeur général pas très convaincu par l’effet d’une telle mesure sur la pollution du gazole dans un pays où dorénavant 60% des automobilistes ont choisi la motorisation diesel.

Cette augmentation correspond à une hausse de 15,3% du prix du gazole en période de pouvoir d’achat stagnant. Un risque qu’il ne faut donc pas prendre.

Pour l’ACA, la solution passe par un alignement des taxations, mais dans le sens inverse. Il faut aligner les taxes qui pèsent sur l’essence sur celles qui pèsent sur le diesel. « L’Etat redistribuerait 2 milliards de pouvoir d’achat ».

Un gain à tous les étages: pour les fans du diesel qui ne seront pas surtaxés, pour ceux qui roulent à l’essence et qui gagneraient ainsi du pouvoir d’achat, pour les constructeurs qui verraient ainsi leurs gammes à essence relancées et pour les raffineurs, la France important du diesel et exportant du SP 95.

« Et ce n’est pas une provocation », s’est justifié Didier Bollecker. Pas sûr qu’il soit pour autant entendu par le gouvernement.

http://www.challenges.fr/automobile/20130604.CHA0271/l-automobile-club-association-estime-le-budget-des-automobilistes-a-cru-de-1-2.html

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Y’en a marre des syndicats et du patronat qui pourraient geler les retraites

Posté par ippolito le 12 mars 2013

-Pourquoi syndicats et patronat pourraient geler les retraites

Jusqu’alors, en France, il n’était pas question de s’attaquer aux revenus des retraités. Le tabou a failli être levé ce jeudi pour l’Agirc et l’Arrco. Prochain RDV le 13 mars.

Le déficit du régimes des retraitres atteindrait 18,8 milliards d’euros en 2017 

Syndicats et patronat avaient rendez-vous ce jeudi 7 mars pour une ultime séance de négociation sur les retraites complémentaires -l’Agirc pour les cadres et l’Arrco pour les employés- qui n’a finalement pas abouti à un accord. Les deux parties ont convenu de se retrouver le 13 mars. 

Au menu: renflouer les caisses de ces régimes dont les déficits atteindront, cette année, près de 4,5 milliards d’euros. Petite révolution, le gel des pensions pourrait être acté.

Jusqu’alors, en France, il n’était pas question de s’attaquer aux revenus des retraités. Un tabou en passe d’être levé, et pas seulement du côté des partenaires sociaux. Le gouvernement, qui cherche lui aussi à réaliser des économies pour le régime de base des retraites, semble séduit par cette désindexation des pensions par rapport à la hausse des prix, qui tourne autour de 2% par an.

Un pouvoir d’achat rogné

L’enjeu financier est conséquent: une revalorisation des pensions versées par le régime général inférieure de 1 point à l’inflation aboutirait à une économie de 750 millions d’euros, selon la Cour des comptes. « C’est une mesure à fort rendement », reconnaissent Maël de Calan et Simon Bertoux, corapporteurs de l’étude de l’Institut Montaigne sur la dépense publique, parue en décembre 2012. 

Selon leurs estimations, un gel pur et simple des retraites rapporterait ainsi entre 3 et 4 milliards d’euros par an.

Une économie importante, tant les pensions pèsent lourd dans les dépenses de l’Etat. Alors, pour atteindre les objectifs de serrage des dépenses publiques du gouvernement, soit 60 milliards en cinq ans, pourquoi ne pas désindexer l’ensemble des prestations sociales (allocations familiales, indemnisations chômage, minima sociaux…)? Patrons et experts commencent à poser la question.

10 milliards d’économies à la clé

Selon l’Institut Montaigne, il serait possible de gagner près de 10 milliards d’euros par an. Mais cette solution radicale revient à grignoter le pouvoir d’achat des allocataires. En Allemagne, par exemple, où les pensions ont été désindexées depuis 2004, le pouvoir d’achat des retraités a perdu plus de 10%. 

La recette présente toutefois plusieurs avantages. D’abord, elle est facile à mettre en oeuvre: « Les effets d’une désindexation sont rapidement visibles, bien plus qu’une importante réorganisation de l’administration, qui prend du temps et est difficile à mettre en place », souligne l’économiste François Ecalle.

Autre bénéfice, elle s’avère quasi indolore politiquement, à condition toutefois d’en préserver les plus bas revenus. « Si elle est encadrée dans le temps, il n’y a pas de risque qu’elle grève la consommation », assure enfin un haut fonctionnaire spécialiste du budget.

http://www.challenges.fr/economie/20130307.CHA7049/pourquoi-syndicats-et-patronat-sont-d-accord-pour-geler-les-retraites-complementaires.html

 

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Y’en a marre du prix du jambon-beurre et surtout de la baisse de notre pouvoir d’achat

Posté par ippolito le 3 mars 2013

Le prix du jambon-beurre flambe dans les boulangeries

Le prix moyen de ce sandwich s’établit désormais à 2,68 euros. Il n’a progressé que de 1,5% en moyenne mais de près de 11% dans les boulangeries.

Le jambon-beurre a toujours la cote. À raison de 1,31 milliard d’unités englouties en 2012, cette indémodable recette représente toujours près des deux tiers (62%) des ventes même si la baguette est peu grignotée par d’autres formes de pain. 

Peu avant le salon spécialisé Sandwich & Snack Show vient d’être publié l’indice jambon-beurre réalisé à travers l’Hexagone par le cabinet Gira Conseil en prenant pour modèle le fameux Big Mac Index.

Il ressort de cette cinquième étude annuelle qu’un jambon-beurre se vend en moyenne, tous lieux de vente confondus, à 2,68 euros, en progression modérée de 1,51% sur un an. Une évolution qui cache de grosses disparités: 

le prix a bondi de 10,9% dans les boulangeries indépendantes pour passer à 2,98 euros et également grimpé de 3,1% à 1,94 euro là où il est le moins cher dans les hypermarchés et supermarchés. 

En revanche, dans les cafés, bars, brasseries où le sandwich reste le plus chèrement tarifé, à 3,07 euros, le prix a reculé de 2,1%.

Sandwich des villes et sandwich des champs

«C’est assez normal, relève Bernard Boutboul, directeur de Gira Conseil: les plus chers doivent s’ajuster à la crise et ceux qui étaient moins chers avant en profitent. Les boulangers tirent particulièrement bien leur épingle du jeu, car ils réussissent à mettre en avant la qualité de leurs produits et la vendent au prix fort.»

Par ailleurs, l’étude démontre aussi l’existence d’un fossé grandissant entre le jambon-beurre des villes et des champs. En moyenne, le sandwich est en effet 6,15% plus cher dans les grandes agglomérations. 

Sans grande surprise, c’est à Paris que le parisien, l’autre nom du jambon-beurre, est le plus cher puisqu’il culmine désormais à 3,26 euros. Ceux qui veulent faire des économies devront chercher du côté de Saint-Brieuc où le sandwich affiche un petit 2,20 euros.

Par Jean-Bernard Litzler

http://www.lefigaro.fr/conso/2013/02/28/05007-20130228ARTFIG00508-le-prix-du-jambon-beurre-flambe-dans-les-boulangeries.php

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Y’en a marre des prix des carburants et surtout des promesses non tenues

Posté par ippolito le 28 février 2013

Carburants : les prix au plus haut depuis août 2012

Un prix au plus haut depuis le 28 août 2012. L’essence sans-plomb 95-E10 coûte en moyenne 1,626 €/litre ce lundi matin, selon Carbeo.com, le premier comparateur des stations-service et des prix des carburants en France. Il s’agit du tarif le plus élevé depuis que le gouvernement avait rencontré les distributeurs de carburants pour limiter la hausse des prix.

Les 60 litres de sans plomb coûtent 7,20€ de plus qu’au 1er janvier

Si le 95-E10 est le carburant le plus touché par la hausse, tous les autres sont marqués par une augmentation régulière. Certes, ce lundi matin, les prix sont en moyenne inférieurs de 2,2 centimes à ceux de la date de référence du 28 août.

Mais depuis le début de l’année 2013, ils sont clairement orientés à la hausse. Et en cette période de vacances scolaires, faire le plein revient de plus en plus cher aux automobilistes.

Depuis le 1er janvier, le gazole a par exemple augmenté de 7,6 centimes par litre, soit pour un plein de 60 litres une augmentation de 4,6€. Par ailleurs, le prix d’essence sans plomb a augmenté de façon plus importante avec une hausse de 12 centimes par litre en moyenne, soit pour un plein de 60 litres une augmentation de 7,20 euros.

Les prix moyens le 25 février

Gazole = 1,436 €/litre

SP 95 = 1,636 €/litre

SP95-E10 = 1,626 €/litre

SP 98 = 1,660 €/litre

GPL = 0,884 €/litre

E85 = 0,929 €/litre

http://www.leparisien.fr/automobile/carburants-les-prix-au-plus-haut-depuis-aout-2012-25-02-2013-2597165.php

LeParisien.fr

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Y’en a marre de l’inflation

Posté par ippolito le 25 février 2013

Les hosties plus chères à cause du prix du blé

Entre 2007 et 2013, le prix du sachet de 1000 hosties est passé de 11,30€ à 20,59€. 

À Lourdes, les sœurs qui fabriquent les hosties subissent la crise. La flambée du prix du blé et la demande en baisse les ont obligées à augmenter les prix de vente.

La fabrication et la vente d’hosties de Lourdes ne sont plus pain bénit pour les dix-sept sœurs cloîtrées du monastère de la Visitation de Lourdes. «Pendant longtemps, cela nous a suffi pour vivre», se souvient à regret Françoise Agnès, la mère supérieure de cette communauté fondée au XVIe siècle par saint François de Sales et Jeanne de Chantal.

«Mais, aujourd’hui, le compte n’y est plus, explique-t-elle en véritable chef d’entreprise. Ça s’est compliqué à partir de 2007 avec la flambée des cours du blé et de la farine de près de 30%. Depuis, avec la crise, tout le reste a aussi augmenté. Cela a majoré nos coûts de production.»

Pour faire face, la communauté a dû répercuter les hausses auprès de ses clients. Entre 2007 et 2013, le prix du sachet de 1000 hosties est ainsi passé de 11,30€ à 20,59€.

«Mais l’enfer ne s’est pas arrêté là. Nous avons été mises en concurrence avec des entreprises laïques italiennes, espagnoles et même américaines qui proposent du pain consacré à un prix plus bas grâce à des machines très performantes», poursuit la religieuse en chef, en économiste avisée. 

Du coup, de nombreux prêtres et aumôniers français et étrangers en pèlerinage dans la cité mariale ne viennent plus passer commande.

Une baisse du nombre des fidèles

Résultat? Les sœurs ne vendent pratiquement plus qu’aux sanctuaires de Lourdes et aux églises du diocèse des Hautes-Pyrénées.

À ces rudes effets de la mondialisation s’ajoute la défection du nombre de communiants. «Quand Jean-Paul II était venu à Lourdes, nous avions vendu 2 millions d’hosties en deux jours, se souvient avec émotion sœur Marie Agnès, l’assistante de la mère supérieure. Maintenant, les sanctuaires ne nous en prennent qu’aux alentours de 45.000 tous les deux mois. Nous sentons la baisse du nombre de fidèles.»

L’an dernier, les 350.000 hosties vendues n’ont généré qu’un chiffre d’affaires de 20.000€. «Heureusement, certaines d’entre nous avaient travaillé avant de rejoindre la Congrégation. Grâce à leurs petites retraites, nous parvenons à vivre.» Conscientes qu’à défaut de miracle le «business» risque encore de se dégrader, les sœurs ont décidé de se diversifier. Elles se sont lancées dans la réalisation d’icônes et d’ornements pour habits sacerdotaux.

«Mais jamais nous n’arrêterons de faire des hosties, promettent-elles. C’est pour nous un apostolat, une merveilleuse façon de faire partager l’amour du Christ, nous qui sommes l’âme des pèlerinages.»

Et, les sœurs de conter la «recette» et les secrets de fabrication des hosties qui ont longtemps fait le bonheur du monastère. 

Vingt kilos de farine de blé spéciale mélangés à 21 litres d’eau de la grotte de Lourdes produisent une pâte qui est ensuite déversée en fine couche entre deux plaques de fonte très chaudes. Quarante secondes plus tard, les hosties sortent des plaques d’une cinquantaine de centimètres de long et de 5 mm d’épaisseur. 

Après refroidissement, elles sont découpées en hosties par une fraiseuse puis emballées. Les hosties qui mesurent entre 8 et 13 cm de diamètre sont destinées aux grandes célébrations, les autres, celles de 3 cm de diamètre, aux cérémonies classiques.

Par Guillaume Atchouel

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/21/01016-20130221ARTFIG00437-les-hosties-plus-cheres-a-cause-du-prix-du-ble.php

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